« L’État ne vous abandonnera pas », déclare cyniquement Alix Fils-Aimé plus d’une semaine après les violences annoncées par des gangs terroristes à Mirebalais
Après chaque drame, le gouvernement s’empresse de convier des « délégations » pour l’aider à projeter l’image d’un « bon père » soucieux de son peuple. Tandis que Mirebalais demeure sous le joug des gangs armés depuis l’assaut du 31 mars dernier — sans qu’aucune intervention publique significative ne soit enregistrée —, le Premier ministre