Texte original publié le 14 décembre 2024 La Commission de Venise a émis des recommandations cruciales concernant les élections à venir en Haïti, dans un contexte marqué par une insécurité généralisée et la domination des gangs armés sur une partie importante du territoire. Ces recommandations soulignent la nécessité de prendre des mesures exceptionnelles pour empêcher
Arrestation d’Alfredo Antoine : Accusations graves et saisies d’armements. L’expression à la Duvalier, « complot contre la sûreté intérieure de l’État« , est totalement déconnectée de la réalité, puisque cet Etat est défaillant et n’a pas de dirigeant légitime et constitutionnel à sa tête depuis 2021. Le vendredi 4 avril 2025, la Police Nationale d’Haïti (PNH), via
Flashback – 7 mai 2021 : Rosny Desroches dénonce l’utilisation des gangs par le pouvoir. Vision 200 – Professeur Rosny Desroches : « La violence est l’arme privilégiée des acteurs politiques haïtiens. L’opposition s’en sert pour forcer la population à se révolter et le pouvoir utilise les gangs armés pour accomplir ses basses besognes. » Le 7
Haïti, « violence planifiée » selon Fritz Alphonse Jean : les gangs incendient la résidence de l’ex-sénateur Simon Dieuseul Desras, originaire de Saut-d’Eau La tension monte à Saut-d’Eau, localité stratégique du département du Centre, où la résidence de l’ancien président du Parlement haïtien (2012-2015) et ex-ministre de la Planification, Simon Dieuseul Desras, a été incendiée
L’assassinat de deux religieuses à Mirebalais : révélateur d’un Etat haïtien en faillite Mercredi 2 avril 2025, des milliers d’Haïtiens sont descendus dans les rues de Port-au-Prince pour protester contre l’explosion de la violence orchestrée par les gangs armés, tout en exigeant la démission des autorités transitoires et du chef de la Police nationale. Munis
Haïti : 365 jours de transition inutile — chronique d’une continuité mortifère Il serait tentant de faire du 3 avril 2024 une date pivot dans l’histoire d’Haïti, comme si la mise en place du Conseil Présidentiel de Transition (CPT) avait marqué un tournant. Mais ce serait une illusion, un mensonge commode. Car cette transition annoncée,
Haïti : Canapé Vert, Pétion-Ville, Delams, Débussy… se soulèvent contre un pouvoir accusé de dérive et d’inaction et de proximité avec les gangs terroristes criminels. Mercredi 2 avril s’annonce comme un tournant. Baptisé « mercredi noir pour débloquer Haiti » par ses instigateurs dont des analystes politiques de « Matin-Débat », ce jour pourrait marquer une nouvelle
31 milliards G pour une sécurité illusoire : Fils-Aimé continue de se moquer des Haïtiens Le dernier communiqué du gouvernement haïtien annonce en grande pompe la mobilisation de 31 milliards de gourdes pour la sécurité nationale. Une annonce qui aurait pu résonner comme un espoir pour une population éprouvée par l’insécurité grandissante. Pourtant, dans le
minute de la rédaction Mirebalais, nouveau foyer du chaos : chronique d’un effondrement annoncé Parmi les territoires désormais passés sous le joug de groupes armés, Mirebalais s’ajoute à la longue liste des zones livrées à l’arbitraire. Ce lundi matin, la scène est désormais familière : population en déroute, prisonniers libérés, forces de l’ordre absentes ou
Haïti, fin mars Refrain :Haïti, toi qui pleures sans fin,Le vent du désert souffle sur ton pain.Les rues sont mortes, les cœurs en feu,Mais sous les cendres, je vois des yeux. Couplet 1 :Les rues sont vides, les cœurs pleins,Port-au-Prince ne dort plus, elle veille sous la peur.Les blindés brûlent, les mots chancellent,Les promesses se
