C’est inacceptable que des membres d’un gouvernement incapable de rendre disponibles les produits de première nécessité continuent de jouer au trompe l’œil sur la scène internationale. Il n’existe aucun autre pays au monde autre que celui dirigé par des esclaves à talent pour lesquels on déroule le tapis rouge sur la scène internationale, pour services rendus, qu’une telle situation socio-politique économique dégradante persiste. Malheur au peuple haïtien s’il se fait complice de la tragédie électorale planifiée par Ariel Henry et ses allies André Michel, Edmonde Beauzile, Moise Jean Charles, Reginald Boulos…
Jeudi 18 aout 2022 ((rezonodwes.com))— Faire le plein de carburant dans une pompe à essence en toute quiétude, désormais, c’est du passé en Haïti où le prix du gallon de gazoline, varie entre 750 et 1000 Gourdes, disponible en vente publique, mais illégale, dans les coins de rue.
Le pire, cet état de fait ne date pas de cette semaine et la communauté internationale persiste et signe qu’il n’y a pas mieux que cette équipe dirigeante, championne de la corruption et de l’incompétence, pour organier des élections n’inspirant aucune confiance.
A l’OEA, mercredi matin, lors d’un récital destiné exclusivement pour le plaisir des oreilles des tuteurs du régime PHTK3, le ministre de facto des Affaires Extérieures, Jean Victor Geneus, dans un discours utopique, a promis monts et merveilles.
Son speech a situé Haïti dans un autre monde, bien loin de celui où le Département d’État l’a placé. Pourtant, Geneus, debout devant ses tuteurs à l’OEA, aurait oublié qu’Haïti, selon les autorités de Washington, se range désormais dans une “short list” de pays à dicter de A a Z.
Rien ne va plus en Haïti. C’est le chaos total. Le Core Group qui a ses représentants directs sur le terrain, s’il désirait ardemment un vrai et réellement changement en Haïti, devrait encadrer la population pour l’aider à frayer ce passage vers la terre promise, car le régime PHTK a fait son temps.
Les haïtiens expriment toujours un attachement manifeste aux Etats-Unis, cependant, ils ont du mal à digérer le soutien ferme d’un champion de la démocratie à une équipe de personnes indexées de corruption et aptes à entrainer un pays au fond du gouffre.
