Le politique et la République

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Lundi 10 mai 2021 ((rezonodwes.com))– La République haïtienne est dans un bureau qui grince l’inutile dans un va et vient complexement piètre et déformé par le silence de la population qui est payé seulement pour accepter l’audience des charités macabres.

Présentement, la question républicaine est pluriellement assassinée par la gloire du banditisme jeunement fort.

C’est la saison des candidats indésirables: ces hommes qui déchirent la constitution par habitude et par talent en exposant leur misérable intelligence dans toutes les veines du pays.Le pays est en forme de bruits audacieux qui trompent les défis d’une jeunesse en péril. Seul le cosmos d’un sens patriotique peut définir l’outrage des rues natives d’injustice légalement en putréfaction.

Cependant, à chaque République son politique pour matérialiser la défense des valeurs en forme d’éthique et pluies de bonheur au terroir: peut-être, la digestion d’une vie normale pour les habitants fatigués-filangués. Toute digestion civique doit passer par le métabolisme conscient d’une génération responsable et critique. Alors, la curiosité des années passées a été en grossesse de calamités et d’objets en récit mal écrit. C’est un débordement en style de viol -presque digne- des futurs en construction, c’est l’autopsie des morts ambulants qui dirigent la voiture haïtienne aveuglement sans dévouement.
La République est édentée dans les discours mensongers d’un hypocrite et irresponsable politique, elle est caillouteuse tout au long de la vertu des institutions…

La République est sur la vallée des crises de toutes sortes:Quel dynamisme à la tuerie des rêves d’autrui.Néanmoins, l’habitat des citoyens se mélange au rythme d’un désastre quinquennatique où les rivières de l’instruction coulent entre sang et inquiétude, entre peine et désarroi… Le politique haïtien est un vomissement contagieux de désolation, un rire de morgues qui augmente la violence dans les chambres analphabètes-faiseurs de lois et dommageurs d’esprits-hélas! 

Entre temps, la République devrait être,par essence, la chose du peuple voulant grandir et participer dans le devenir social, le bien-vivre collectif et le développement économique durable de la Nation. Mais, ici, c’est la démagogie républicaine qui bouge, le non-sens démocratique, l’autoritarisme qui fofile et la dépravation pathétique d’une jeunesse qui se carwashise majusculement pour embellir la dégoûtante tristesse quotidienne.

Le politique et la République ne sont plus source de confiance et de transparence- le politique tue la République- c’est plutôt une menace à la fierté des sacrifices historiquement banalisés: La République est orpheline d’hommes intègres et de femmes insoumises. C’est un choix triste dans la réunion électorale, que seule l’implication totale des personnes avisées peut corriger pour que le cahier des outsiders obtienne une géante leçon non-sue méritée et calculée.Toutefois, jusqu’à présent nous déjeunons l’enfantisme d’une jeunesse mal-organisée ou désorganisée…

La mal-organisation est une voyelle qui ne pense pas à son âge adulte et qui se laisse aller par le charme du facile et de la non-résistance, tandis que, la désorganisation est ce style étrange qui se normalise -même- en observant la pénurie des yeux sociaux visibilisant la tristesse! Un jour, être responsable viendra et le printemps matérialisera les soucis patriotiques.

Malheureusement, la jeunesse se rabòdayise, elle se carwashise et le politique-excellent opportuniste- en profite. Malgré tout, il faut dire que la politique est un exercice conscient d’exposition à l’éthique et à la contribution civique, ce n’est pas une lapidation nationale, ce n’est pas-non plus- une franchise éternelle d’un ce que je veux absolu au détriment du bien commun. Alors, quand le politique est -assez- mal instruit et que la jeunesse est objet de résignation: toute tentative d’édification doit être une priorité éducationnelle…

Il faut changer le politique accidenté et incompétent-incompris par un haïtien politique.L’haïtien politique est, dans toute sa construction humaine, un citoyen qui veut défendre le nationalisme historique, c’est un homme qui écoute les besoins du peuple et sa soif de vivre dignement. Le contraire de toute cette démarche nationale est une jovenelisation mickyïtisée, une opposition grandement fière de son opportunisme en essence de dégoût, une violation démocratique imposée, une honte démagogique exposée en cicatrice et de douleurs nationales.Quelle misère politique pour tuer les envies d’une nation dans son propre camp.

En effet, le nationalisme historique doit être la fierté de l’être haïtien dans un communiqué partagé consciemment pour que chaque citoyen soit membre d’un comité politique ouvert aux idées sainement civiques et constructives.Et alors, c’est pour quand la prise de conscience nationale autour du dialogue afin de consolider le demain haïtien et sa grandeur?

À quand le rejet national de ces dirigeants corrompus et coquins?Toutefois, l’espoir est là, la bêtise politique aussi. Les calamités citoyennes augmentent de façon quotidienne et les pleures populaires sont à l’état de débauche et de cris tristement en colère et en marche.

Céïde Alexis Joanel Kaki. 

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