Quand une tempête atlantique déclenche des pluies exceptionnelles de plus de 200 millimètres en un temps record.
Vendredi dernier, la ville de New York a été submergée par des inondations d’une ampleur sans précédent, provoquant le chaos dans la métropole. Les rues se sont transformées en torrents impétueux, les stations de métro ont été inondées, et l’aéroport de La Guardia a connu des annulations et des retards massifs. Mais quel est l’origine de cette catastrophe météorologique ?
Une tempête chargée d’humidité venue de l’océan Atlantique est à l’origine de ce phénomène dévastateur. En l’espace de quelques heures, plus de 200 millimètres de pluie sont tombés, submergeant la ville sous un déluge incontrôlable. Les images diffusées par les agences, les médias locaux et les réseaux sociaux montrent comment l’eau est montée au niveau des fenêtres des voitures, paralysant la circulation et forçant certains conducteurs à abandonner leurs véhicules. Dans de nombreuses stations du vaste réseau de métro de la ville, ainsi que dans les sous-sols des bâtiments, des cascades d’eau étaient visibles.
Cette catastrophe nous rappelle la vulnérabilité des zones urbaines face aux caprices de la nature ou et de la météo, et soulève des questions cruciales sur la préparation de la ville aux événements climatiques extrêmes. Les autorités de New York devront tirer des leçons de cet épisode dramatique pour mieux protéger la ville et ses habitants à l’avenir.
Rezo Nòdwès
