Haïti Kidnapping : Masterminds, Psychopathes, Martyrs!

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Un business criminel juteux au profit des officiels démentiels et des véreux sans-aveux officieux bichonnés par un système de médiocratie rancie dégénérée qui fait la promotion du lynchage et du sauvage, ce kidnapping musclé implémenté et sponsorisé par des écervelés de la pire espèce traumatise, décapitalise, déshumanise et brise les cœurs et les esprits. Le démon a envahi notre beau petit monde. Il y a urgence dans la demeure !

En 1996, le pays entier était stupéfié en apprenant le cas de kidnapping perpétré sur le petit « Boris Potensky ». Ce phénomène abject paraissait si singulier dans le cadre de notre histoire de peuple libéré de la fournaise ardente de l’esclavage que de nombreux esprits étaient surchauffés face à cette triste nouvelle. Avant la transition de panique vers le Y2K, n’étaient les œuvres hollywoodiennes du genre Commando, Rambo, Speed, MacGyver, K-2000, l’Haïtien moyen n’aurait pas découvert ne serait-ce que fictivement le côté pervers de cet acte ignoble qui se positionne de manière diamétralement opposée à nos us et coutumes.

En 2004, à la suite de l’extrême exaspération instiguée par une majorité « non-zwit » de la population dont les GNBistes du groupe 184 allaient en faire leur beurre, on assistait au désistement du président édenté en chute libre, Jean Bertrand Aristide. Démission forcée ou volontaire, nous ne saurions être affirmatifs car n’avons jamais disposé de la teneur de la lettre oblique de la Maison Blanche haïtienne remise au Bureau Ovale selon un certain deal opaque. Pour se donner une certaine « bonne conscience », les perdants récalcitrants du parti Lavalas allaient évoquer le prétexte d’un kidnapping présidentiel que la population digérait à l’époque tel un néologisme de son champ lexical non bien garni des mots qui causent des morts et des maux.

Peu à peu, l’installation des casques bleus de l’ONU, notamment des Brésiliens au lendemain de 2004, nous faisait habituer avec un tel concept affreux, insinuait-on, puisque ce phénomène courant au Brésil commençait à s’enraciner au pays au cours de la présence d’une Minustha porteuse de malheur.

Causalité ou corrélation entre l’avènement de la Minustha et le kidnapping ? En tout cas, cela nécessiterait plus d’investigation. Il s’ensuivrait alors que ces missions onusiennes ne nous portaient pas uniquement des coups tragiques tangibles dans le viol de nos jeunes garçons et de nos femmes et surtout dans un choléra fatal du contingent népalais qui a endeuillé des milliers de familles. Elles auraient également facilité la pénétration atroce du kidnapping dans la psychè des jeunes croupis dans l’oisiveté et donc exposés à la convoitise d’être facilement la proie des caméléons politiques qui ne peinent à les utiliser pour toute sorte de projets odieux.

O Dieu ! Les résultats sautent aux yeux ; progressivement, la société mal gouvernée est passée de rat-pa-kaka à kokorat puis à des mawozo kidnappeurs et tueurs armés jusqu’aux dents mais dépourvus d’âmes, de dialectiques, de cœurs. Dans l’indignation, la démence de la raison au niveau de son excellence s’y affiche sans la moindre gêne via la distribution d’argent, armes et munitions aux abrutis des bidonvilles avilis. Les contrebandiers économiques et politiques ordonneraient également à ces êtres animalisés de semer la pagaille, de kidnapper, de violer, de tuer ou de relâcher. Ils leur préparent en temps utiles des discours imbibés de mots ronflants qu’ils viennent marmotter devant les caméras de la presse locale prostituée et la presse internationale assoiffée de sensation.

À  la Frankenstein, les architectes de la descente aux enfers n’ont plus le contrôle des monstres qu’ils ont créés pour le besoin d’une cause affairiste et électoraliste ; aujourd’hui les jeunes lourdement armés transformés en des bêtes sauvages ont pris du poil de la bête ; ils avilissent leurs patrons qu’ils ont clairement pointés du doigt. Sous cet empire du pire, cela s’empire et s’envenime car les monstres moyens détiennent des moyens de recruter des petits monstres en dehors de l’autorisation du Mastermind du crime. L’énorme mission des cerveaux du chaos placé en amont consistant à détruire ces chimères et psychopathes en aval autrefois à leur solde parait de plus en plus chimérique.

Cerveaux du crime et exécuteurs, à la Babel !

À force que ce régime en putréfaction ponde de mauvais maîtres à penser dans un élan de divergence nourri par l’inquiétude électorale qui se pointe à l’horizon, les maîtres débiles et les bourreaux serviles du système craqué ne se comprennent plus ; ils ne s’aiment plus au point qu’ils s’entretuent. Quelques semaines avant l’acte crapuleux de l’assassinat spectaculaire du président indécent, les Léviathans du régime procédaient déjà au recrutement de mercenaires étrangers en vue de planifier des échecs et mat aux petits bandits de la rue qui osaient hypothéquer la paix dans les hauteurs au voisinage des résidences des gros bandits. Les stratagèmes se multipliaient, et sont entrés dans le jeu vicié des anti-jeux de tergiversation, machination et conspiration concoctés par les concepteurs pour éliminer les sales petits monstres des bidonvilles. Les effractions dans les prisons suivis d’assassinats des bandits fugitifs qui avouaient être en mission de protection et de promotion de présidents escrocs, sénateurs kidnappeurs, contrebandiers économiques et politiques de tous les camps en sont des preuves notoires.

Sans conteste, ce sera à l’avantage de la société si les sales petits monstres avalent leurs extraits de naissance. Toutefois, le problème de la turbulence sociale resterait entier sans l’expulsion voire l’expiration radicale des gros monstres qui sont les concepteurs du chaos systémique. Entre les mains de la vaillante population en léthargie se trouvent les clés de voûte du rétablissement de la paix sociale pour qu’enfin le pays s’en remette et se remette sur les rails du développement.

Peuples, élevez vos linteaux ! Aux grands maux les grands remèdes, certes. Mais, ce n’est certainement pas à travers la substitution de la machette à la bible que fin ultime sera marquée au phénomène avilissant du kidnapping. C’est par le biais de réflexions et de politiques publiques avisées et donc par l’option de plébisciter des gouvernants compétents à tous les échelons de la vie politique que les sociétés empruntent la voie de la modernité.  Après que la transition saura nettoyer les déchets laissés en héritage par ce régime politique puant et répugnant, faites de vos cartes électorales vos instruments salvateurs pour voter les asecs, casecs, magistrats, députés, sénateurs et présidents à la hauteur des attributions qui leur sont confiées.

Un quart de siècle après le scandale de « Ti-Boris », le kidnapping s’infiltre insidieusement puis hideusement pour s’installer avec arrogance dans notre quotidien insomniaque et schizophrénique. Au cours de la dernière décennie de syncope politique, Haïti a semé à l’hypophyse de la sphère stratégique des ivraies, des imposteurs et des escrocs aux étiquettes de « bandi legal ». Sans surprise mais avec désolation, elle y récolte des coquins, des malandrins et des assassins de grands chemins qui la capotent dans un destin abominable. Du non-sens PHTK à la sans-essence ARN « Alliance pour la Réduction de la Nation », ces bandits notoires du gang Sweet-mimi voudraient récidiver sur la scène politique pour achever d’un dernier coup mortel la patrie pétrie d’inepties, d’escroqueries et de péripéties. Ce serait pessimiste sinon défaitiste que les beaux-esprits puissent laisser faire les arrivistes et les affairistes dans leur hallucination de perdurer dans la bulle officielle ad vitam aeternam.

Haïti serait-elle les 27 750 km carrés que nos ancêtres ont légués au prix de leur sang comme héritage exclusif à la bande politique infâme truffée d’incultes et de cupides pilotée par Michel Martelly et d’autres nuls, mules et crapules dans son sillage ? Inimaginable de percevoir avec quelle aisance la décence laisse confortable l’imposture et l’impudeur. Seuls des compatriotes insensés prendraient l’option de « gouyer » à des balles de Michel Martelly.  En plus de miner le terrain avec des armes de calibre pour protéger leurs biens mal acquis, après ce que vient de faire cette famille politique aux « dwèt long » dans les fonds Petrocaribe, Dollars-Cinquante, le contrat Dermalog, les organismes autonomes, les ministères ; si les citoyens ne soulèvent pas, c’est qu’ils ont perdu le sens de la « mounite ».

Le sauvetage du pays de ce paysage social sauvage et de cette catalepsie politique et économique requiert que les criminels des rues, les gangsters à cravates et les officiels démentiels de mauvaises vies et mœurs soient cloitrés dans une demeure éternelle entre les quatre murs ou entre les quatre planches. L’heure est urgente, Haïti n’en peut plus. La vaillance, la conscience et l’excellence sont interpellées à s’indigner puis à s’engager pour qu’Haïti cesse de plonger de façon si effrénée dans la dégénérescence.

Kidnapping : Plat complet du trauma

Épargne de tant d’années de dur labeur en un jour évaporée en fumée, construction sur plusieurs décennies en des heures détruites, édifice érigé selon des plans quinquennaux en une minute incendiée à la « Babekyou », des années de sacrifice d’études trépassées dans un laps de temps comme du sel fondu sous « Lapli », des amitiés nourries en tant d’activités professionnelles en « 5 secondes » disparues, des liens spirituels consolidés via la trinité sur des bases journalières ou triennales en un dimanche ébranlé, des mariages couronnés de noces d’argent en une minute déstabilisé par des agents de Lucifer ; ainsi ronge cet insolent kidnapping effroyable qui ne respecte « ni père ni pape ». Ce kidnapping cruel porte les gênes pathogènes de la honte, la colère, l’anxiété, la dépression, l’appauvrissement.

Fort souvent les familles infortunées prises au piège du kidnapping sont contraintes de recourir à des surendettements titanesques afin de collecter des dizaines ou des centaines de milliers de billets verts de rançons exigées par les ravisseurs. Par les forces maléfiques qui envahissent les cœurs des détraqués de ce système de pourriture, aujourd’hui, le versement de la rançon n’est même pas un gage de garantie pour que les parents et les amis revoient la victime ou reçoivent son cadavre. D’ailleurs, même quand il est revenu vivant de cette expérience cauchemardesque où jours et nuits se confondaient dans une noirceur psychotique, le kidnappé libéré ne peut véritablement poursuivre l’aventure terrestre comme un bon-vivant en dehors de réparation et de prise en charge psychologique.

À la question rhétorique de savoir si les victimes du kidnapping peuvent sortir entières de l’expérience,  les théoriciens et praticiens de la psychologie moderne brandiraient un NON avec véhémence. Car, contrairement à l’animal pour lequel un coup physique reçu n’affecte pas les autres compartiments, l’humain est doté d’un système émotionnel contrôlé par l’amygdale et l’hippocampe qui le rend sensible aux chocs externes. Ces zones de la mémoire de court et de long terme sont susceptibles de causer des angoisses, de l’anxiété, des addictions voire des dépressions. Une expérience d’enlèvement charrie avec elle des effets psychosomatiques regrettables. La souffrance psychique peut même s’avérer plus douloureuse au point que les dommages post-traumatiques peuvent devenir très complexes.  Voilà pourquoi l’on a déjà recensé des victimes, particulièrement des femmes sorties violées du kidnapping qui se sont même suicidées. C’est grâce à notre résilience que de tels cas ne sont pas légion en Haïti. Dieu merci !

Le kidnapping diabolique au pays

Un, deux, trois, …, dix, quinze, puis 17 cas de kidnappings en un seul coup de filet; de l’aube du deuxième millénaire à cette fin dramatique de deux décennies postérieurs catatoniques, la barbarie s’étale à un rythme exponentiel sur cette surface paradisiaque de 27 750 km carrés bizarrement transformés en un enfer. Serviteurs publics, cadres privés, pasteurs, prêtres, professeurs, étudiants, directeurs, chauffeurs, commissaires de police, médecins, infirmières, grossistes, détaillants, motos, taptaps, camions ; ce kidnapping sauvage et démentiel n’épargne rien ni personne. Le diable est logé dans le cœur des « bandi legal » au cœur des fonctions regaliennes de notre Cité captivante qui savait accueillir en princes et princesses les touristes locaux et internationaux.

Des pétales de rose tournées en des épines toxiques, la merveilleuse hospitalité qui savait s’exprimer dans la générosité, l’empathie et le partage du meilleur butin avec l’étranger et au visiteur reçu en roi est cruellement substituée à une extrême xénophobie épicée de crimes. De ce contexte bancal d’un paysage mafieux piloté par des animaux politiques impitoyables, il en résulte une périlleuse anomie sociale qui serait un cas clinique typique des réflexions académiques qui soutiennent la forte causalité positive entre capital humain et développement soutenable. Quand ce sont des ramassis de vaniteux et des esprits de débris qui dirigent un pays, ce n’est certainement pas une surprise que le décor économique et social soit gribouillé de majigridis et de graffitis funestes.

On croyait à tort que l’apothéose de ce climat de la psychose dans une connivence officielle-officieuse a été vécue dans la stupidité de brouillage de pistes d’auto kidnappings inventés par des ministres flagorneurs et des chefs de sécurité de ce régime crapuleux. En effet, la pire expérience collusoire allait être vécue dans la récupération des Dominicains tombés dans la ravine diabolique puis sauvés des eaux grâce à une directrice Habitant toujours présente à chaque fois que le régime entreprend d’exécuter un sale boulot. Des centaines de compatriotes ont déjà fait les frais de ce désastre sociétal, pourtant le nouvel épisode de cette  série hollywoodienne macabre impliquant les voisins enlevés puis récupérés par Magalie comme bonne « femme samaritaine » nous a convaincus qu’un coup de fil du Palais national ou de la Primature aux bases Croix-des-Bouquets, Grand ’Ravine et Village du Diable aurait évité de lourds débours financiers et l’exécution des otages. En dehors de quelques cas marginaux, qu’il soit de type « Antenne,  ingénieur ou rabòday », le kidnapping est entrepris à tous les échelons de la vie ; mais, il est coiffé d’en haut par des vilains qui trônent sur les fauteuils prestigieux de la république historique.

La Cité matraquée, car truffée de détraqués à sa tête

D’un côté, des cerveaux d’une lignée damnée au sommet d’un Etat en pourriture pris en otage par l’imposture et la sinécure manipulent des animaux détraqués dans les villes péries et les bidonvilles tarés. Des sénateurs, députés, ministres, directrices, contrebandiers économiques et politiques champions de deals criminels sont trempés jusqu’aux os dans les cas de kidnapping, n’est-ce-pas DCPJ ? De l’autre, les psychopathes Izo, Mawozo, Babekyou et Ti-Lapli échappent au contrôle des Masterminds de ce négoce abominable qu’ils accusent dans la rébellion d’être leurs sponsors officiels pour créer la turbulence et causer cette dérive sociétale.

Les petits monstres des ghettos croupissent dans une pauvreté abjecte, pieds nus, torses nues, sans plumes, sans cahiers ; pourtant ils disposent de mitraillettes, kalachnikovs, M-14, M-50, M-60, T-65 au coût unitaire de 5 mille, 8 mille et 10 mille dollars.  Les affairistes politiques sous la direction des flibustiers étrangers les côtoient en permanence pour des missions lucifériennes ; alors, pourquoi chercher ailleurs les inconnus bien connus de ce système d’équations complexes mis en place par des cruels au pouvoir ? Les Saintes Ecritures nous alertent que le méchant fait toujours une œuvre qui le trahit; n’est-ce pas que les relevés téléphoniques de la Digicel ont déjà tout révélé aux investigations de la DCPJ. Yes Aya !

Ce phénomène ignoble d’enlèvement des humains enraciné sous ce régime politique myope bouché par l’inculture, la cupidité et la voracité maniaque arrache le cœur des vulnérables au bercail et à la diaspora. Les bêtes sauvages de cette clique politique nauséeuse hallucinent dans un vœu pieux de maintenir en des bulles officielles hermétiquement fermées leurs postes de sinécure onéreuse pour coller leurs fesses pestilentes sur les fauteuils stratégiques de la magistrature suprême de la Cité pendant cinquante ans.

En perte de dignité, d’autorité et de notoriété, Haïti est envahie par une connivence entre traitres nationaux et faux-amis étrangers. D’un Lafontant arrogant à un Céant néant, puis d’un Lapin pleurnicheur à un Jouthe comique, et enfin d’un Joseph cynique avant de réveiller en vain un somnolent Ariel, les gouvernements donnent des coups d’épées dans l’eau.  La misère s’amplifie. Plus cela change ; plus cela reste le même.

En des accords désaccordés scellés par un pacte faustien avec des bluffeurs d’une part fidèles à St André et des racketteurs politiques d’autre part infidèles à St Michel, Ariel « en rit » alors que la patrie périt. Sans un arrêt capital de cette énorme hémorragie engendrée par cette médiocratie rancie épicée d’inepties, la population affligée continuera de boire le calice jusqu’à la lie. Il faut stopper l’hémorragie.

Le terrain est miné, les références mythiques sont brulées vives, les rescapés observent médusés une société transformée en un véritable capharnaüm. Du haut du sycomore numérique, la diaspora fuitée croupit dans une tragique nostalgie en raison du micmac politique des officiels démentiels soudainement anémiques face aux griffes des animaux détraqués de la jungle épouvantable.

D’une part, le commun des mortels perçoit l’exaspération et l’inconfort de la population abêtie mais bloquée dans une impuissance d’ampleur titanesque telle qu’elle serait inapte à canaliser son courroux en une sainte colère. Les mains liées, languissant dans une crainte criante, elle est amorphe, atone et adynamique à foutre un coup de pied dans la fourmilière criminelle officielle et officieuse. Pourtant, c’est le point de départ du changement drastique souhaité pour changer le système à l’avantage des plus vulnérables. Nous devons interpeller l’intrépidité de Capois-La-Mort.

Au moment de la lecture de ce papier, rappelons-nous que nombreux sont nos frères, nos sœurs et nos amis cagoulés dans une surface restreinte, aux mains des ravisseurs sous la férule des officiels en démence. Dans la vallée de l’ombre de la mort, les kidnappés tutoient l’enfer dans une fine proximité.

Les expériences nous ont déjà inculqué la leçon que ce ne sont pas les « Habitant » officiels détraqués responsables de la spirale de la violence à la Cité qui vont détacher les victimes du lien infernal. Une seule option s’impose : il faut dans la célérité un coup de pied dans la fourmilière.

Libérons Haïti de ses faux-amis et de ses traitres fils.

Carly Dollin

carlydollin@gmail.com

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