Un ex-président de moins sans maison de plage luxueuse qui serait acquise grâce à la corruption et perception de pots-de-vin. A sa sortie de prison, peu importe la date exacte, (3, 6 mois, 1 an, 6 ou 12 ans), l’ex-président Lula ne pourra plus profiter d’aller respirer de l’air frais sur les plages de Sao Paulo depuis le balcon de son appartement en litige situé au bord de mer, car il a été finalement vendu mardi pour $600.700
Sao Paulo, mercredi 16 mai 2018 ((rezonodwes.com))–La maison de plage, un triplex, que possédait l’ancien-président Lula, ce qui lui aurait valu la prison pour 12 ans, sous l’accusation d’avoir accepté de pots-de-vin et de pratique de corruption, a été vendue mardi aux enchères sur Internet pour $ 600 700.
Toutefois, en attendant que tous les détails administratifs soient réglés, le triplex continue d’être placé sous le contrôle d’OAS. Celle-ci est l’entreprise de construction accusée d’avoir offert cette propriété à Lula en échange de faveurs dans l’attribution de contrats de marchés publics juteux au bénéfice de Petrobras.
L’appartement, d’une superficie de 297 m2 et situé à Guarujá, une station balnéaire près de Sao Paulo, dispose de quatre chambres, une piscine et un espace pour barbecue, selon la description du site qui a vendu mardi la maison aux enchères.
Sur le site, les internautes ont pu suivre toutes les procédures de vente et remarquer comment l’acheteur dont l’identité n’a pas été révélé, a fait l’acquisition de l’immeuble depuis la capitale Brasilia.
Notons que l’ancien président Lula, 72 ans, a plaidé non-coupable tout en assurant « qu’il n’existe nulle part des documents prouvant que le triplex lui appartiendrait« .
