Résumé du Chapitre 1 : Un retour aux racines, l’espoir fragile de Belvieu
Dans le premier volet de « Haïti, l’Écho de la Province Oubliée », nous avons vu KEDA et Marc-Antoine revenir à Belvieu, un village à la fois marqué par le temps et l’oubli. Ce lieu, autrefois vivant, est aujourd’hui plongé dans une profonde désillusion, où chaque pierre, chaque regard porte le poids de l’abandon. Leur retour, motivé par le désir de raviver cette terre laissée pour compte, s’inscrit dans une quête plus grande : celle de redonner espoir à une communauté qui n’a connu que le silence des promesses non tenues.
Soutenue par The Kettly Foundation Inc., l’arrivée de KEDA et Marc-Antoine marque un tournant. Belvieu, bien que brisé, n’a pas encore tout perdu. Ce premier chapitre a planté les graines d’une renaissance possible, mais les défis à venir ne feront que croître, et les premiers pas vers la réhabilitation sont déjà marqués par les doutes et les hésitations.
Rendez-vous dimanche prochain pour découvrir le Chapitre 2 :
Alors que KEDA et Marc-Antoine tentent de réanimer la flamme vacillante de Belvieu, le second chapitre de « Haïti, l’Écho de la Province Oubliée » dévoilera les obstacles politiques, les intrigues personnelles et les rencontres bouleversantes qui viendront mettre à l’épreuve leur détermination. Grâce à The Kettly Foundation Inc., dont la générosité ne connaît pas de limite, les premiers projets voient le jour, mais le chemin vers la renaissance est semé d’embûches, où la méfiance des habitants et les échos du passé viennent se mêler au présent.
Ne manquez pas cette suite intense, où l’humanisme de KEDA sera confronté aux réalités les plus dures, et où les promesses de renouveau seront mises à l’épreuve du temps. La diffusion du chapitre 2 se fera dimanche soir prochain sur les réseaux de Rezo Nòdwès, dans le cadre du patronage bienveillant de The Kettly Foundation Inc.
Plongez dans cet univers où les rêves de reconstruction se heurtent à la réalité, mais où, malgré tout, l’espoir survit, tant qu’il y a des cœurs prêts à se battre.
cba
