Ariel Henry et ses collaborateurs sont, selon Renaud, ceux qui manipulent les ficelles des gangs. Il encourage la population à rester vigilant face aux déclarations des gangs armés, qu’ils soient affiliés aux « gangs à sapate » ou aux « gangs à cravate ».
Jeudi 28 septembre 2023 ((rezonodwes.com)) — Les gangs armés en Haïti semblent monter en puissance dans une tentative désespérée d’influencer la décision du Conseil de Sécurité concernant « le déploiement de mercenaires kényans » pour encadrer Ariel Henry dans ses « basses oeuvres« , selon le Dr. Josué Renaud, leader de l’organisation de défense des droits humains NEHRO, basée aux Etats-Unis.
« Ainsi avec l’expansion continue des territoires perdus aux mains de ces groupes criminels armés agissant selon la volonté de Ariel Henry, le ministre de facto Jean Victor Généus et la représentante de l’ONU en Haiti, auront de solides arguments planifiés et fabriqués à présenter lors de la prochaine réunion du Conseil de Sécurité, menaçant ainsi la souveraineté d’Haïti« . Renaud appelle les Haïtiens à s’unir, « tout comme ils le font actuellement pour la poursuite de la construction du Canal de Ouanaminthe face au raciste Luis Abinader, afin de chasser rapidement Ariel Henry de la Primature pour complicité révélée avec des gangs criminels« .
Selon ses affirmations, l’éventuelle présence du Kenya en Haïti est catégoriquement inacceptable. Cette situation s’explique par l’absence totale de fondement légal ou constitutionnel permettant à un Premier ministre haïtien, qui plus est, dans un contexte d’illégitimité et de corruption, de formuler une telle requête. Le Dr. Henry est vivement critiqué pour ce qu’il considère comme une nouvelle tentative cynique visant à humilier le peuple haïtien, en usant de divers subterfuges pour parvenir à ses objectifs.
Il souligne également que les autorités kényanes devraient être conscientes que, conformément à la Constitution, Haïti est une République gouvernée par un gouvernement bicéphale.
Josué Renaud ne mâche pas ses mots lorsqu’il établit un lien direct entre le Premier ministre Ariel Henry et les gangs du G9. Il exhorte les Haïtiens à persévérer dans leurs efforts pour la construction du canal tout en s’engageant à libérer leur pays. Il souligne l’importance de neutraliser totalement le « leader incontesté des gangs criminels haïtiens, Ariel Henry, ainsi que ses collaborateurs, Andre Michel, Edmonde Beauzile, Saurel Hyacinthe et Mirlande Manigat, » pour éliminer toute menace potentielle.