Polyphonie, engagement et ellipses dans « Dyaman nan bidonvil » de Zafèm, et « Petite fleur du Ghetto » de Jean D’Amérique

0
1348

Lundi 17 juillet 2023 ((rezonodwes.com))–

Le texte littéraire, pour faire plus court, la poésie peut-il/ elle tout dire ? Ne trouve-t-il pas son lieu dans l’économie du verbe/ du mot ? Max Dominique, le critique des nuances,  dans son essai « L’Arme de la critique littéraire« , a tracé la frontière entre le fictif et le lyrique ~ndlr  le roman et la poésie, en ces termes  : «Là où le poème suggère et indique, et ne vise point à dégager de façon précise les voies du combat révolutionnaire- , le roman peut aller plus loin, analyser et ébranler¹»  (Max Dominique p.55). Si le texte poétique ( la poésie) ne prétend guère de tout dévoiler ou dire, elle constitue une ébauche, au contraire, elle se panse dans l’économie verbale. D’où la place de l’ellipse ou de la figure elliptique dans l’œuvre  !  L’ auteur ou l’artiste peut utiliser dans sa création des figures où il  n’affirme pas mais, au moins, suggère.

Dans le souci de l’économie du dire, le narrateur, à partir de l’angle où se tient-il, peut choisir d’ignorer, de passer sous silence ou faire le black-out sur différents moments de l’histoire ou du récit dont il juge secondaires ou anodins. C’est du procédé elliptique qu’il s’agit ou dont use le récitant dans la mise en œuvre de la trame narrative. Le black-out ou  passage sous silence ( turn-off) des épisodes narratives demeure moins un artifice purement fictionnel qu’un aiguisage au silex des traits ou des lignes-forces de l’histoire. À deux pas, le rôle vif de l’ellipse.

Ainsi notre article éludera-t-il dans ces deux textes  » Dyaman nan bidonvil » de Zafèm et « Petite fleur du ghetto » de Jean D’Amérique le parti-pris de l’ellipse, du choix et de l’usage de la polyphonie et de l’engagement.

Engagement et Littérature

Dans un autre article paru dans les colonnes de Le National (La littérature en ces temps nus de la débâcle) , on a abordé la question de l’engagement de l’auteur ou de l’artiste comme le vecteur qui situe ce dernier dans ses rapports au social. «Demeure engagée toute littérature ou œuvre qui fait corps aux rapports antagoniques à l’œuvre dans une société donnée ²», a-t-on proclamé. De quelle manière situer  » Dyaman nan bidonvil » et  » Petite fleur de ghetto » comme des textes portant des quartiers de conscience, témoignant du présent, coulant dans le moule du vécu ?

La chanson de Zafèm  » Dyaman nan bidonvil » sonne comme un écho à la mention spéciale 2015 du Prix René Philoctète de la Poésie  » Petite Fleur du Ghetto ». Dans quelle optique le premier texte s’ inspire du second ?  Cas d’intertextualité, Gérard Genette et Julia Kristeva ne sont jamais trop loin !

Remarquons l’usage dans les deux textes, particulièrement dans les titres, des tropes mettant les termes en opposition. Sont catégorisées comme des figures d’opposition : l’oxymore, le chiasme, l’antithèse, le paradoxe, etc.  » Dyaman nan bidonvil et Petite Fleur du Ghetto » peuvent considérés des énoncés évoquant la figure du paradoxe. En effet, il se définit comme  » une opinion contraire à l’idée commune, afin de surprendre, de choquer, d’inviter à la réflexion ».

Les deux textes touchent la problématique des enfants des quartiers précaires d’Haïti. Ceux-ci vivent dans des conditions infrahumaines dans les ghettos, les cités et les bidonvilles. « Dyaman nan bidonvil » et « Petite Fleur du Ghetto » constituent une radiographie à la limite cruelle de la vie des enfants d’ici et d’ailleurs ( des quartiers précaires à travers le world). Ils ne recommandent pas moins à tous y compris  à celles ( aux autorités) qui ont la charge de la barque nationale la protection de ces petits êtres fragiles qui n’ont pas demandé de naître. Chacun des deux textes  exposent, d’une part, la difficile situation de ces enfants mais, d’autre part, infèrent sur les conséquences induites de ces manquements.

 » Sonje yo pa bliye yo

Ba yo lavi souple

Gade yo pa inyore yo

Yo anvi viv tande »

Ces énoncés, repris en refrain, impliquent les droits des enfants, de ces enfants ne sont guère protégés et garantis ( songe yo pa bliye yo/ ba yo lavi/ gade yo pa inyore yo) les enfants ou leurs droits sont négligés, ignorés, ces enfants ne vivent pas).

Ailleurs :

 » Granmoun a dizan/ pran responsabilite paran/ fè yo tonbe vann kò / grangou ap bay presyon » les lignes suivantes décrivent  le vécu assez noirci des enfants de nos bidonvilles.

Le chanteur/ narrateur, dans  » Dyaman nan bidonvil »,  face au déni des responsabilités, en dépit des conseils prodigués  tant aux parents responsables qu’aux irresponsables, dressent les conséquences futures de ces inconséquences ( demen n a wè l/ demen n va wè l), ou ( Nesesite timoun yo/, s on chay lou k mare nan kou n/ k i fèk kare jennen n/  si n pa demele n aji an granmoun) et ( se pa nan lari anba bouch brigan pou y al aprann / Bese / brase).

Jean D’Amérique ne dira pas le contraire dans  » Petite Fleur du ghetto » (2015). Les résultats ne diffèrent guère dans le refus d’assumer des responsabilités. Et courir aux risques demeure très grand. Il ne manquait que ça pour que le bazar s’ installe et pourrisse la vie sociale :

 » Plénitude

de mains cruelles

qui donnent leur signature

au braquage

… de sombres instants

qui témoignent/ du déraillement des êtres/ que le malaise du sans-pain / a enfantés » ( p.7)

Plus loin, il cloue :

 » Il pleut/ des bijoux de malheur/ si pressés/

de cribler des corps » (p.13) où  » la saison se nomme assassin ».

Curieux !  Certainement pas ! Les conséquences de l’abandon des enfants des quartiers difficiles ( bidonvilles) n’ accoucheront au final que ce Polichinelle. Curieux !  Surpris !  Certainement pas !  Si Zafèm et Jean D’Amérique peignent d’une manière atroce le tableau de nos manquements ! Et ce tableau, une constante des sociétés enveloppées dans le sous-développement, se retrouve notamment ici ( Haïti) mais un peu partout.

L’ellipse comme procédé de style dans « Dyaman nan bidonvil » et « Petite fleur du ghetto »

Passer sous silence une scène ou des faits, en dépit des lignes de renforcements que cela peut attribuer au récit, joue un rôle fondamental dans la narration. Évelyne Amon considère l’ ellipse comme  » une omission volontaire d’un fragment de l’histoire. Sa durée est parfois clairement définie ( mis, jours, heures… ), parfois simplement suggérée ». Si, d’une part, elle accélère le récit ;  de l’autre, elle « fait l’économie des scènes de transition », poursuit Mme Amon.

Le romancier et le dramaturge peuvent en user. Et cela joue une fonction pas moins importante dans l’œuvre romanesque ( économie de scènes) et dramatique ( effet de surprise). Le poète ou le compositeur en fait aussi un usage dans la production de son œuvre. Il ne faut pas oublier que le texte lyrique/ poétique est le territoire vécu de l’ellipse.

L’étude des textes « Dyaman nan bidonvil » et « Petite Fleur du ghetto » nous permet de relever la place de l’ellipse dans les deux œuvres. Ces vers de Jean D’Amérique respirent ce parfum de l’ellipse, où le verbe se  panse/ mais aussi se pense dans l’économie du dire, même de la parole. Le poète ne dit pas, il effleure, il suggère ce qui renforce la magie vécue du verbe. Ailleurs, ne dit-on pas, dans je ne sais quelle évangile la Parole se fait chair ? L’ellipse chez Jean D’Amérique se laisse voir et dessiner entre les blancs, véritable de plages de silences parlant que dans le compagnonnage entre les mots et des images ( tropes).

 » Ma rue / nuits/ assoiffés d’alcool…

Ma rue/ celle des pas aux mille fissures » ( p.59)

 » Moi, toi/ unis/ comme une flingue/ et la main de ce gosse » (p.27)

Dans le texte de Zafèm, cette économie de mots sautent à fleur de peau. Elle coule dans le choix régulé des implicites, sous-entendus et présupposés ( mwen pa vin pou kondane / pito se le kontrè ( ~ nous sommes ici pour encourager~ ), ( Demen n a wè l, demen n va wè l~  cet énoncé sonne comme un avertissement, on perçoit plutôt les conséquences de nos dénis) ou (Nesesite timoun yo/, s on chay lou k mare nan kou n/ ki fèk kare jennen n ~ si nous ne prenons pas soin des nos petits, à l’avenir, on constatera bien les dégâts ) !

L’ellipse fleurit dans l’omission volontaire de certains passages où la bande à Dener Céide et Réginald Cangé en use afin de susciter débats, réflexions et controverses chez les admirateurs, les critiques et le public en général. Mais également pour le plaisir du texte et la charge sémiotique de l’œuvre.

Les différentes scènes évoquées dans le texte de Zafèm tourne autour de ce procédé : l’ellipse. Le narrateur ne veut pas tout dévoiler.  D’ailleurs, on ne peut pas tout dire dans une chanson ! D’ où le choix résolu de la technique elliptique.

La polyphonie dans Dyaman nan bidonvil de Zafèm et Petite fleur de Ghetto de Jean D’Amérique

Le terme « polyphonie », » très utilisé en linguistique moderne, Marion Carel, renvoie à des phénomènes que l’on peut classer en deux familles : ceux qui concernent l’allusion, par un unique énoncé, à plusieurs contenus ; et ceux qui concernent la présence de plusieurs instances énonçantes à l’intérieur de l’énonciation ».

Ainsi, dans la première de ces deux acceptions, la plus banale, [poursuit Mme Carel,] le terme « polyphonie » renvoie au cas où un locuteur fait volontairement entendre plusieurs contenus, sans qu’il lui soit possible de nier les avoir évoqués : exprimés en même temps, ces contenus s’ajouteraient pour constituer le sens de l’énoncé ». De cet ordre d’idée, la linguiste finit par distinguer deux polyphonies :  » une « polyphonie sémantique », attachée au nom de Ducrot, et une « polyphonie intertextuelle », attachée à celui de Bakhtine ».  La présupposition demeure un exemple de polyphonie sémantique.

Pour clore, Marion Carel affirme « que la polyphonie concerne les contenus ou les instances énonçantes, qu’elle soit intertextuelle ou sémantique, elle est généralement représentée par une simple superposition de propositions ou de voix, dont l’effet d’ensemble est parfois évoqué (on parle de dialogisme), mais reste, pour l’essentiel, à décrire ».

Mais André Belleau, dans Bakhtine et le multiple, a noté les particularités de la polyphonie chez Bakhtine. Selon lui, celle-ci peut se définir comme « Ce que Bakhtine nomme l’effet transfigurant de la perception carnavalesque du monde». Se référant aux genres composites ( le roman par exemple) à leur genèse l’ auteur de la Poétique de Dostoïevski a  déclaré qu’ils « ont… un lien commun profond avec le folklore du carnaval. Ils sont tous plus ou moins empreints d’une vision carnavalesque du monde… ».

Toutefois André Belleau a refusé l’utilisation du terme  » polyphonie » de Bakhtine et d’autres qu’ on a coutume d’employer comme « plurivalence, hétérogénéité, qualité kaléidoscopique ou contrapunctique ».

La polyphonie, en raison de ces différentes acceptions, on se restera attacher à la proposition de Marion Carel qui la présente comme « la présence de plusieurs instances énonçantes à l’intérieur de l’énonciation ». Cela implique à l’intérieur d’un texte unique, la présence de plusieurs énonciateurs ( ~ instances énonçantes~) dans le processus d’énonciation. Dans ce cas, on pourrait bien appliquer cette grille d’analyse aux textes étudiés. Dans quelle mesure « Dyaman nan bidonvil » et « Petite Fleur du ghetto » portent une parole polyphonique ou en d’autre terme développent « une vision carnavalesque du monde » (~Bakhtine~) ?  Le carnaval vécu comme multiplicité de voix, de mœurs en fusion.

Les deux textes forment une passerelle de « vision carnavalesque du monde » selon l’expression bakhtinienne du fait qu’ils répondent de la multiplicité des voix en instances d’énonciations.

Le texte de Dener Céide déploie une polyphonie où un quatuor de voix se trouve en énonciation. Quatre voix au moins en font un usage. Le chanteur/ narrateur/ compositeur, le chœur, les enfants représentés par le nous (dans nou vle) et le voyageur / l’étranger qui débarque ( Lè w desann avyon an).

Cette vision carnavalesque du monde éclôt dans la multiplicité vocale du texte de Zafèm. Ne démentiront point les extraits ci-dessous.

Les énoncés traduisant la voix du chœur :

 » Sonje yo pa bliye yo

Ba yo lavi souple

Gade yo pa inyore yo

Yo anvi viv tande »

Se suit celle du narrateur/ chanteur :

 » De ti pawòl mwen twouve k nesesè

Mwen p a vin kondane …

Demen n a wè l »

Ou  :    » Yon bann inosan/ yo fèt tou entèlijan/

…. Grangou ap bay presyon »

Les cris insistants des enfants pauvres des bidonvilles constituent un autre versant de la polyphonie afférente :

 » Nou vle nou vle

Mande n mande

Pwoteje n renmen n jan nou merite »

Enfin la voix du voyageur qui débarque ou revient au pays, déterminée par le pronom de la 2ème personne ( w / tu) :

 » Lè w desann avyon an

Rale dola rale papye

Fò w gen anpil fyèl

Pou  di w p ap separe »

Jean D’Amérique s’approprie-t-il de la technique dont ont parlé Marion Carel, O. Ducrot et Mikhaïl Bakhtine ? Elle a été nommée au gré des circonstances  » polyphonie, vision carnavalesque du monde, dialogisme, multiple » ( André Belleau ).

Une voix extérieure ancrée dans l’altérité, la vision du dehors parcourt le poème. Ailleurs circule le souffle/ la voix du poète, à travers l’utilisation du pronom de la première personne (je, moi). Cependant l’emploi de ce  » je  » constitutif ne représente pas toujours l’ expression lyrique de l’auteur. « Je » peut en cacher un autre. Telle une petite fleur du ghetto qui crie sur la ville et le monde sa colère. Une petite fleur qui embouche la trompette du  malheur. Qui s’annonce Malheur ! Le « je » de Jean D’Amérique dialogue parfois un « tu » ( sa mère décédée, Regina, etc).

Savourons quelques extraits où se manifeste un brin de polyphonie.

 »  La  saison

se nomme

mélodie de la gachette »  (p.11)

Ou    » Il  pleut/ des bijoux de malheur/

           si pressés/

           de cribler  des  corps »

« Ici/ petit homme/ fait sa prière / dans une cagoule »… « sa guitare est un calibre » (p.67)

Il semble que la  voix qui  vibre ci-dessus paraît celle d’une extérieure, pas nécessairement celle du poète.

Le  » je » de l’écrivain se manifeste dans les actes de parole où la voix du poète explose en  des accents lyriques brodés de vécus, de quotidiens.

 » Moi, toi/ Unis/ comme un flingue » (p.27)

 » Moi tout entier/ Épouse l’effrondement »

Ou  » je ne voulais pas apprendre à pleurer/

au crépuscule d’un samedi » (p.31)

Et coulent ces vers :

« Mon amie

à l’âme vivante

et au cœur large

assez tendre

pour gifler

la cruauté des humains » (p.33)

Puisque « je » peut révéler un autre, dans le projet de Jean D’Amérique, une certaine ambiguïté de ce « je » se révèle. Y plane un doute puissant  !  Le pronom personnel de 1ère personne est-il ici celui de l’auteur ou celui d’un gars ou d’une fille de nos ghettos ou de nos (fameuses) bidonvilles~ merci pour  l’ironie ! Tenons à ces vers :

 » Corps blotti je suis / dans les cendres de la marge/ moi / refuge de déchirements » (p.61)

Ou  :  »  Je suis / de ces âmes/ qui portent la douleur du jour / comme un tatouage » (p.25)

Et bouclons avec ces vers :

 » Je suis une fleur/

dont la beauté traîne

sous les pieds »(p.63)

Pour ne pas conclure

« Dyaman nan bidonvil » et « Petite fleur du ghetto » portent en eux une problématique identique :  la vie, le sort, l’avenir des enfants, -laissés-pour-compte- des quartiers précaires, ghettos, bidonvilles d’ici et d’ailleurs. Si « Dyaman nan bidonvil » alerte sur le désastre futur, dont malheureusement nous constatons bien, en ce moment, les dégâts, Petite fleur du ghetto n’emprunte pas moins ce cheminement. Un appel au sens des responsabilités des parents, de l’État, de la société en général. Un appel à l’encadrement de ces jeunes pousses ( Yon bann inosan/ yo fèt tou entèlijan/ si te gen mwayen/ k ta vin gran komandan). Les deux textes traitent une thématique commune en dépit du fait qu’ils ont choisi un canal d’expression différent :  le créole pour Dyaman nan bidonvil et le français pour le texte de Jean D’Amérique. Un choix de vocabulaire dépréciatif domine dans les deux textes. Des tropes et des réseaux lexicaux se rapportant à la violence, à la tristesse, à la misère, aux privations » rappellent la déchéance omniprésente ».

« Dyaman nan bidonvil » est une chanson du groupe musical haïtien Zafèm. Elle est gravée sur son premier album  » LAS » ( Lalin ak Solèy) récemment paru ( mai 2023). « Petite fleur du ghetto » de Jean D’Amérique, Jean Berthold Civilus dans l’acte civil, a reçu la mention spéciale du Prix René Philoctète de la Poésie 2015. Une traduction de cette œuvre en créole a été opérée par Erickson Jeudi.

James Stanley Jean-Simon

Écrivain et Président du C.E.L.A.H ( Centre d’Études Littéraires et Artistiques Haïtiennes)

E-mail :  jeansimonjames@gmail.com

Notes bibliographiques

AMON, Évelyne, Français, Les fichiers Vuibert, Premières toutes séries, nouveau programme, Editions Vuibert, Paris, 2002. p.79

BAKHTINE, Mikhaïl, la Poétique de Dostoïevski, traduit du russe, présentation de Julia Kristeva, Paris, Editions du Seuil, 1970, p.152

 Ibid,p.151

Ibid,p.151

BELLEAU, André ,  Bakhtine et le multiple, in Études Françaises, Volume 6, Number 4, novembre 1970. p.481

Ibid, p.483

BELLEAU, A. (1970). Bakhtine et le multiple. Études françaises, 6(4), 481–487. https://doi.org/10.7202/036470ar

CAREL, Marion , « La polyphonie linguistique », Transposition [En ligne], 1 | 2011, mis en ligne le 01 février 2011, consulté le 17 juillet 2023.

paragraphe 1

paragr.2

paragr.79

Référence électronique : URL : http://journals.openedition.org/transposition/365 ; DOI : https://doi.org/10.4000/transposition.365

DOMINIQUE, Max:  Littérature engagée ou désengagement de la littérature, in Maintenant « Dossier Haïti, par de la Papa Doc». no 96. Mai 1970, Montréal.

-DOMINIQUE, Max : L’arme de la critique littéraire; Littérature et idéologie en Haïti, Éditions CIDIHCA, 1988, Québec

JEAN D’Amérique, Petite Fleur du  ghetto, Atelier Jeudi Soir, 2015

JEAN-SIMON, James Stanley,  Petite Fleur du Ghetto : Petite radiographie de nos cruelles cités, in Le National, publié le 6 janvier 2022

https://www.google.com/url?q=https://www.lenational.org/post_article.php%3Fcul%3D203&sa=U&ved=2ahUKEwiBiqGpkpaAAxX5lmoFHerbDNYQFnoECAMQAg&usg=AOvVaw3m4helxWgMetxukXPTG0ga

IBIDEM., La littérature en ces temps nus de la débâcle, in Le National, publié le 14 janvier 2022

https://www.google.com/url?q=https://lenational.org/post_article.php%3Fcul%3D214&sa=U&ved=2ahUKEwic7Na7kJaAAxUpRDABHStrADEQFnoECAQQAg&usg=AOvVaw35yRhfQ2nhC1Btr9ACzKUJ

ZAFEÈM, Dyaman nan bidonvil, album LAS ( Lalin ak solèy ), 2023.

LEAVE A REPLY

Please enter your comment!
Please enter your name here

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.