Carly Dollin : Les novices visent des œuvres nocives !

1
1233

Toute une nation déchue et une jeunesse terrassée dans l’ivresse en raison de diverses dérives massives ; telles sont les répercussions négatives de l’ovation autopunitive du « Vive les novices ! » dans les sphères décisives. Regrettable !

Lundi 14 septembre 2020 ((rezonodwes.com))– L’ineptie électorale superlative de 2010, comparable à l’option illogique d’emprisonner Jésus pour libérer Barabbas, a sans conteste chaviré le navire national dans un atavisme décennal estampé de vices obsessifs et d’œuvres nocives excessives ! Dix années de perdues, évaporées dans la banalité, la cupidité, la cécité, la surdité et la médiocrité abusives qui se soldent en une parasité agrégative, atteignant son apogée.

Viendront très prochainement les mouvances électives à la suite de la mise en place d’une transition incontournable détentrice de l’agenda du changement constitutif patent. Ainsi, des approches correctives s’imposent tant sur le plan de l’inclusion politique active de la diaspora que dans la vigilance de l’exclusion des dossiers louches dans les tiroirs électoraux, à supporter par des pièces justificatives. Des malins, coquins, malsains, vilains, hautains, inhumains et malandrins caressant le rêve de déposer leurs fesses rabòday sur des fauteuils prestigieux de notre nation historique. Putain ! Il faut en finir avec ce traintrain génocidaire.

Les forces vives sont en présence du timing décisif de réaliser une césarienne libératrice face à cette grossesse ectopique chronique de la république ! La bêtise ne doit pas être répétitive. Tant vaut le dirigeant, tant vaut la nation.

Une nation qui se veut compétitive doit jurer en permanence de plébisciter aux postes électifs et sélectifs des adeptes adhésifs aux valeurs de la scientificité et de la magnanimité. Des idées antagoniques à cette dynamique éprouvée de la modernité seraient apparentées à une option psychotique de suicide collectif. « Errer est humain, se relever est divin, persister dans l’erreur serait diabolique ».

Le décor cynique et chaotique dépeint par les sadiques

Séries de mensonges itératifs – stratagèmes subversifs, projets fictifs, caravanes spéculatives, rancune verticale corrosive, palanquées d’idées évasives, crimes successifs, gaspillages expansifs, manèges conspiratifs, discours officiels impulsifs, dilapidations cumulatives, désordres administratifs de surfacturation et de pluri-facturation, intrusions intempestives d’amitié factice et motifs obstructifs à la justice – les leaders de l’exécutif, du judiciaire et du législatif pourris, addictifs aux mœurs congestives et de tendance corruptive, ont traîné la cité dans un contexte privatif et maladif inédit.

En définitive, les expériences récentes devront nous inculquer la leçon limpide et instructive que des acteurs politiques primitifs, aux cerveaux dépressifs et aux cœurs vides, ne feront que badigeonner les axes officiels d’immondices et de zizanies explosives.

Ce ne sont pas des détectives persuasifs en des rapports narratifs et des études contemplatives qui objecteront au constat évident que les directives et la feuille de route des imposteurs et usurpateurs hyperactifs de cette clique politique inculte consistaient à métamorphoser la mission des institutions régaliennes en des velléités lucratives à leur profit et à celui des intrusifs pharisiens aux yeux vairons et aux nez allongés.

Le leitmotiv de tels représentatifs lascifs consiste à se perdre dans des projets festifs egocentriques pour s’enrichir de façon indigne, accordant des palliatifs à titre de reste et miette aux effets lénitifs, destinés aux plus de 11.5 millions de chétifs insignifiants qui vivotent et végètent dans une apparence défective. La seule erreur de ces millions de fautifs – éternels plaintifs de la barbarie et de l’atrocité résultant de la gouvernance mazette – découle dans le seul fait qu’ils aient poussé leurs cris de naissance sous un ciel iconique en matière de liberté, de paix et de justice. Toutes, des œuvres relatives aux vertus universelles devenues aujourd’hui l’apanage des nations dites modernes, compétitives et constructives.

Les natifs abattus de l’Ile pulvérisée sont déraisonnablement victimes d’une rancune vindicative et punitive à cause de sa geste aspirative, corrective et anticipative à la création des conventions internationales qui bannissent les actes oppressifs, les comportements ségrégatifs et les codes prohibitifs à la paix et à l’épanouissement intégral de l’être humain.

Vous rêvez sécurité et développement ? Alors, optez pour la science et la conscience !

Les références normatives, les pensées persuasives et les perspectives positives sont conclusives à propos de la relation négative caricaturale entre la médiocratie et le développement participatif. Clair comme du Crystal, les acteurs dépressifs, subjectifs, agressifs dans les vices, génies des invectives, du snif et des actes transgressifs, se dressent comme des barrières obstructives au changement effectif.

Peinent toujours à s’exhiber dans la luminosité, les solutions nutritives, les tableaux productifs et les attitudes perfectives susceptibles de conduire un peuple vers des eaux paisibles et des rives jouissives quand le gouvernail est assuré par des incompétents, des cupides et des insouciants.

Aucune surprise de percevoir au final que la barque nationale est basculée dans un labyrinthe éruptif. En effet, aucun pays n’a jamais eu le privilège jouissif de gagner au loto million.  On ne saurait espérer une exception de cette règle dans le cas d’Haïti délaissée dans la risibilité à des corps sans têtes, des squelettes sans cœurs et des têtes sans matières grises installés à l’hypophyse des sphères décisives.

Les histoires du monde civilisé ont prouvé que des caméléons multicolores, des scorpions offensifs et des lions agressifs au timon de la scène politique sont toujours passés champions dans les dossiers rébarbatifs et les actes de corruption dégénérative.

« A qui ne sait où il va, le vent n’est jamais favorable ». Ce n’est définitivement pas un accident quand un soulard ou un chauffard fait renverser un véhicule dans une falaise. Comme cela a été le cas au cours de la dernière décennie, les passagers négligents seraient complices de leur propre échec. Car, ils détenaient l’information vitale que le volant de l’engin a été octroyé à un imposteur véreux, tel un Di Caprio dans la réalisation d’imposture Hollywoodienne « Catch Me If You Can ».

Puissent les rescapés et les survivants, de la turbulence titanique de fédération de gangs officiels et officieux, prendre l’option salvatrice de ne pas récidiver dans la stupidité hyperémotive de voter pour des incompétents, des déviants et des criminels ! La vie étant sacrée, elle ne peut être vécue comme à un jeu de PlayStation ou une œuvre hilarante de Disney World. This is not a game ! Indignons-nous !

Qu’elles soient de l’arène politique, économique ou sportive, les dynamiques actuelles sont dominées par la guerre intensive des talents, peu importe la provenance géographique ou l’enveloppe épidermique des gladiateurs mobilisés dans l’arène. L’accession d’un Noir à la plus haute magistrature du monde politique a constitué l’apothéose expressive de ce principe corrélatif à la compétitivité acharnée.

Mais encore, n’est-ce pas en raison de sa compétence prédictive extensive que Joseph eut bénéficié de la bénédiction de Pharaon pour assurer la gestion efficiente de la cité. Dans la même ligne, au cours de son vécu royal, Moïse a toujours été préféré à Ramsès tant par les autorités que par les femmes exquises, car le premier faisait toujours preuve de perspicacité, d’un esprit inventif et imaginatif. Les théories et plaidoiries pour des gestions efficaces préconisant que les sièges nominatifs et électifs soient occupés par des cerveaux connaisseurs et des cœurs humains remontent à plusieurs siècles.

Loin de l’esprit des décideurs et des penseurs du développement soutenable une idée aristocratique et exclusive d’évincer et de stigmatiser un groupe au profit d’un autre. Il faut plutôt voir dans cette approche attentive l’intérêt suprême de toute nation qui conçoit des agendas compétitifs en faveur des générations actuelles et futures.

Sans des aptitudes cognitives, des approches proactives, des facultés argumentatives et des mentalités constructives, on ne saurait prétendre emprunter le sentier des actions caritatives, constructives et curatives pour actionner les moteurs susceptibles de favoriser des sauts qualitatifs propulsifs à des changements jouissifs et inclusifs.

Cessez le stress et la détresse proliférés par la monstruosité au cœur des institutions clés de la cité !

Comme par une baguette magique, des comiques schizophréniques métamorphosés soudain en sadiques ont badigeonné toute une république historique en des crises économiques et politiques aiguës à travers des caravanes chimériques de promesses astronomiques creuses résultant à la fin des fins en une crise anomique atypique. Dans un mimétisme pathétique, le capitaine bananier tutoie l’asymptote impudique de son prédécesseur alcoolique pour dégainer sa colère en des expressions merdiques devant femmes et enfants, sans se soucier du relais de son laid courroux par une presse scandaleuse, prostituée et compressée dans des projets toxiques.

On ne saurait verrouiller à triple tour dans les oubliettes les prouesses ingénieuses de l’ingénieur sur la Place Occide Jeanty en 2017 qui a été le théâtre de récompenses adversatives aux best practices où voiture, motos et billets ont été octroyés en contrepartie de gouyad rabòday à une portion de la population passée en dérision.

Des dealers convertis en faux leaders – des ministres sinistres, des parlementaires, directeurs et présidents sans expérience, sans science, sans conscience, installés en des décors légers, en dehors des règles de l’art – pillent, brésillent, bousillent et gaspillent dans une gouvernance mazette, les ressources de disettes de la république martyrisée.

Si seulement les pères héroïques détenaient un pouvoir libérateur posthume ! D’un seul coup de canon, Capois La Mort, Toussaint et Dessalines auraient évincé ces cons, caméléons et aliborons au timon des affaires prestigieuses de notre nation, championne des valeurs universelles, accouchée au prix du sang.

De la médiocratie obsessive à la kakistocratie progressive, le déshonneur demeure à l’honneur au cours de toute une décennie répressive. Cela bouge de mal en pis, puisque tapis rouge est déroulé en l’honneur des bluffeurs, des imposteurs, des usurpateurs, des voleurs et dilapidateurs agressifs bien connus et entendus, au vu et au su de tous.

Pourtant, comme si de rien n’était, ces êtres vils et débiles circulent dans la ville en sirène tonitruante, menaçant de paisibles civils en prononçant des discours stériles dans l’arrogance et la condescendance. Devrait-on croire que les mœurs sont inversées, ou que les défenseurs des valeurs sacro-saintes sont cloitrés dans une léthargie proliférative ?

Une infamie aiguë ; des coopérations ambiguës ; les valeurs et les vertus semblent avoir bu la ciguë et la porte de sortie est devenue de plus en plus exiguë. La toile de l’intégrité est décousue avec la complicité d’une communauté internationale intéressée à sécuriser des débris pour précipiter notre chute en parachute déchirée, on ne sait dans quel but.

Des noces de gré engendrées par le butin Petrocaribe puis des divorces de force en des votes fratricides en vue de maintenir quelques bouffées d’oxygène toxique supplémentaires dans la bulle officielle ointe de puanteur, les forces de l’international ont fait vaciller les officiels démentiels en des discours sinusoïdaux, des actes pervers et des crimes de lèse-patrie indicibles. 

Dubitatifs, nous croisons les doigts dur comme fer pour que les pratiques sportives, méditatives, compétitives, éducatives, persuasives, normatives, performatives et objectives reprennent la main sur le quotidien oisif, passif, érosif, destructif et dépressif qui croise ses pieds sur le coup d’une population naïve. Haïti a besoin de respirer à pleins poumons.

Please, We Need to Breathe!

Carly Dollin

carlydollin@gmail.com 

1 COMMENT

  1. Ces deux la, Jovenel et Martelly sont tellement laids physiquement! Ressemblent a deux bayakou. D’ou viennent ces energumenes! Rouch. Yo vole en plus! Et chacun , ils ont une truie pour epouse! Wow. Qui se ressemble s’assemble.

LEAVE A REPLY

Please enter your comment!
Please enter your name here

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.