Depuis un certain temps, circuler à travers les rues de la capitale, notamment au centre ville, représente un véritable chemin de croix pour les usagers. Tout le monde en parle. Que ce soit à pied ou en voiture, la circulation est très loin d’être fluide.
Une situation qui a provoqué la grogne chez les chauffeurs publics ou privés dans la majorité des cas sous l’effet de la frustration. Ainsi, certains imputent ce genre d’embarras de la circulation aux véhicules de transport en commun généralement mal entretenus qui sont tombés en panne par ci par là.
D’autres ont pointé du droit les personnes occupant de manière anarchique et illégale les trottoirs et surtout une bonne partie de la rue à des fins privées ou commerciales (garage, car wash, commerce , etc), ajouté à cela, l’état lamentable de certaines rues trouées, ravineuses ou le dysfonctionnement de la majorité des feux de circulation et des panneaux.
En outre, les véhicules munis de plaques officielles et les services de l’État disposant de sirènes ne cessent d’aggraver les choses. Ils ne respectent ni les feux rouges ni les panneaux d’indication à sens unique. Ils vont comme le vent sous les yeux passifs des policiers.
En ce sens ,les officiels se sont vus pour de véritables agents de désordre. Sont-ils déjà conditionnés dans le désordre ? Mais, il faut souligner aussi avec rigueur l’intolérance des conducteurs. Chacun croit être dans son droit, personne n’a le droit, tout le monde est pressé. Circuler mal est parfois le seul moyen d’échapper aux embouteillages monstrueux……
Bonjour les dégâts ! Cette situation qui indigne quotidiennement mérite aujourd’hui une attention toute particulière de la part des nouveaux dirigeants de la ville. En attendant une solution appropriée, les usagers doivent prendre leur mal en patience. Pour l’instant, chacun doit essayer d’être vecteur de solution.
Alcidor Jodel


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