La juge Wendelle Coq-Thélot a dénoncé, hier, l`accord du 6 février 2016 et les décisions prises par seulement deux pouvoirs de l`État, à l`exclusion du Pouvoir Judiciaire.
Installée à vice-présidence du Conseil Supérieur du Pouvoir Judiciaire en juillet 2014, Wendelle Coq Thélot est issue d’une famille d’hommes et de femmes de loi bien connue dans la cité de l’indépendance.
Juge à la cour d’appel des Gonaïves, elle a quitté la ville en 2004, et a occupé à Port-au-Prince le poste de substitut commissaire du gouvernement près le parquet de la cour d’appel de Port-au-Prince avant de rejoindre la cour d’appel.
Juge à la Cour de cassation, elle a été sur une liste de trois postulants recommandés par le Sénat. Cependant, le sénateur Steven Benoit avait contesté la désignation de Me Wendelle Coq Telot à la vice-présidence du CSPJ, évoquant des irrégularités graves dans le processus de sa nomination a la cour de cassation, tout comme il avait condamné la façon dont Me Anel Alexis Joseph, avait intégré la cour de Cassation.