Au plus fort d’une crise impliquant les deux têtes de l’Exécutif et les deux branches du parlement, le sénateur américain Marco Rubio a révélé avoir discuté de la formation d’un nouveau gouvernement, alors que le premier ministre Jean-Henry Céant refuse de démissionner suite à un vote de censure des députés contre son gouvernement en son absence
Mercredi 20 mars 2019 ((rezonodwes.com))– Le Sénateur américain, Marco Rubio élu sous la bannière du parti républicain dans l’État de Floride, s’est entretenu mercredi au palais national avec le président Jovenel Moise et a rencontré, entre autres les présidents des deux chambres du parlement haïtien et des membres de l’opposition et de la société civile.
Dans une publication sur Twitter, le sénateur n’a pas révélé s’il avait rencontré Jean-Henry Céant, premier ministre désavoué par son président et censuré par la Chambre des Députés.
Il a par contre affirmé avoir discuté avec ses interlocuteurs « de la formation d’un nouveau gouvernement et de la nécessité d’un dialogue et d’élections de bonne foi ».
Le chef de l’Etat, sur son compte twitter, n’a pas fait état de ce sujet. Jovenel Moïse a indiqué que son entretien avec le sénateur Rubio a porté sur le renforcement des relations d’amitié et de coopération entre Haïti et les USA, ainsi que sur l’investissement, la sécurité et les élections.
Marco Antonio Rubio, d’ascendance cubaine, a été président de la Chambre des représentants de la Floride entre 2006 et 2008.
Candidat malheureux aux primaires du parti républicain, durant les dernières élections présidentielles remportées par Donald Trump, Rubio a été réélu au poste de sénateur de la Floride.
Swadizan “dirijan” Ayisyen yo toujou konpote tet yo an “tineg” , de vre kolonize devan reprezantan peyi enperyalis yo. Sa tre repiyan! Kile nap gen de dirijan nan tranp Rosalvo Bobo, moun ki gen DIYITE?
Le sénateur fait bien son boulot à la satisfaction de son pays. C’est dommage, depuis 1986, les Haitiens sont dans l’Impossibilité de trouver des gens comme le sénateur de la Floride pour sortir le pays dans le « Shithole. » Les militaires n’avaient pas fait la différence à l’instar de Pinochet. Ne parlons pas des lavalassiens Aristide/Preval et Co, c’est la Catastrophe. Ils ont fait preuve de Faux Démocrates. En 2010, une partie des votants préféraient tenter leur chance avec Martelly, « Banm Chawony Mwen. » Ci- git Lavalas. Et pourtant, ce n’était pas la fin de l’État paria.
M dako ak tout sa w di yo. Gwo kesyon Syek la se: QUE FAIRE?
Antouka, neg aysyen yo tèlman fin tounen tichen nèt, blan-an pa menm fè diplomasi osijè entansyonl ak zak li an Ayti, li di klèman ke se lòd li sot bay.