L`homme d`affaires et ancien président de la Chambre de Commerce et d`Industrie d`Haïti (CCIH), Réginald Boulos, a confié au journal Le Nouvelliste que le temps est venu de discuter sur la façon d’assurer la gouvernance du pays après le 7 février, car selon lui, le président de la république, Joseph Michel Martelly doit laisser obligatoirement le pouvoir le 7 février prochain.
L’ex-coordonnateur de la commission consultative présidentielle de 2014 estime, pourtant, que Martelly a un rôle à jouer dans les discussions autour de l`installation du gouvernement devant prendre en charge les affaires de la nation, car jusqu`à présent, il reste le président de tous les Haïtiens, jusqu`au 7 février.
Par ailleurs, Réginald Boulos avoue qu`il n`appuie pas la décision du président de la république, Joseph Michel Martelly,de solliciter du Conseil Permanent de l`OEA, l`envoi d`une mission en Haïti en vue de résoudre la crise actuelle.
«J’aurais préféré que ce soit les acteurs haïtiens, c’est-à-dire le président de la République, le Parlement, les responsables des partis politiques regroupés au sein du G-8 ainsi que ceux qui sont engagés dans la course, qui s’assoient autour d’une table afin de trouver le plus petit dénominateur commun», a déclaré Réginald Boulos,
sources Danio Darius, Le Nouvelliste
Sa martelly te kompran tout Bagay Se pou Ou bout tan