Le président Jovenel Moise va sans doute en faire autant jeudi à la tribune de l’ONU, oubliant qu’il est le président d’un des pays les plus corrompus de la planète, avec un taux d’inflation élevé et un niveau d’Indice de développement humain (IDH) le plus bas des Caraïbes et de l’Amérique, selon le PNUD. Pour le président Donald Trump, « son administration «avait accompli plus en moins de deux ans que presque n’importe quelle administration dans l’histoire de notre pays (USA)»
New York, mardi 25 septembre 2018 ((rezonodwes.com))–Les premières minutes de l’intervention du président américain Donald Trump, le troisième personnage à prendre la parole mardi, à la tribune des Nations-Unies, ont déclenché le rire de l’assistance.
M. Trump a en effet, dès les premières minutes, provoqué des éclats de rires de la salle en louant les succès de son administration occupant les espaces de la Maison-Blanche, il y a presque deux ans.
« Mon administration avait accompli plus en moins de deux ans que presque n’importe quelle administration dans l’histoire de notre pays » a affirmé le président Donald Trump qui aurait vite oublié les années de lutte menée par l’administration Obama pour sortir l’Amérique d’une période de récession économique.
Bien malgré lui, le Président américain a réussi à faire rire mardi l’auditoire de l’Assemblée générale de l’Onu lors de son long discours pendant lequel il a également appelé à isoler le «régime corrompu» de Téhéran ainsi qu’à combatte le socialisme.
Le Président Trump qui était censé être le deuxième intervenant après le Brésil, mais arrivé trop tard dans l’immeuble de l’ONU, est monté à la tribune juste après le deuxième discours prononcé par le Président de l’Équateur Lenin Moreno.
Par ailleurs, jeudi un peu plus avant midi, le président Jovenel Moise fera sa deuxième apparition à la tribune de l’ONU, pour tenter de vendre une autre image du pays embourbé dans la corruption (spaghetti) et l’impunité avec pour toile de fond le dossier Petro Caribe dont le suivi est confié au major Basile, lui-même signataire de l’une des Résolutions mises en cause par #KotKòbPetroCaribe-a.
