minute de la rédaction
L’intelligence, cette faculté aux multiples facettes, se décline en nuances lumineuses ou ténébreuses. Elle peut s’élever vers l’édification du bien ou se consumer dans l’abîme du mal. A la croisée de ces chemins, Jimmy Chérizier, dit « Barbecue » et ce n’est pas une gloire, incarne avec une acuité troublante cette intelligence pervertie, celle qui se nourrit du désordre, du chaos et prospère sur les cendres d’une nation en ruines mal administreé. Dans son combat prétendument dirigé lundi matin contre Dr Claude Joseph et Me André Michel, il ne fait que jouer un rôle, orchestrer une mise en scène où le crime se pare des oripeaux de la révolte. Ou f… bay manti.
Ce retournement apparent, cette mise en accusation soudaine de ceux qui ont longtemps façonné les structures du pouvoir Tet Kale 2 et 3 ensuite le CPT gpt, ne trompe personne. Car qui, sinon Jimmy lui-même, s’est érigé en bras armé d’un système où l’anarchie se substitue à la Constitution, aux lois, où la violence supplante l’ordre républicain ?
Qui, sinon lui, a fédéré sous la bannière du chaos un régime que certains, autrefois, applaudissaient en silence, y compris sous l’œil bienveillant d’instances internationales ? Aujourd’hui, alors qu’il feint de dénoncer (Ti Claude et ex-Avoka pep’la) ceux qui lui auraient autrefois tendu la main, il ne fait que perpétuer la logique du mal qu’il incarne. Vole, piye, vyole, met dife.
Mais jusqu’où peut aller cette intelligence malveillante ? Mais qui va arrêter le désir de domination de ce malade mental qui s’effondre ? En tout cas, ce n’est pas le référendum-bidon Voltaire-Fils Aimé prévu pour le mois de mai qui apportera la réponse à cette question encore moins leurs élections-sélections aux résultats programmés de novembre 2025.
L’ intelligent BBQ finira comme tous les autres : non pas comme un héros du crime, mais comme une note de bas de page dans le grand livre d’une nation qui, malgré ses blessures, refuse de mourir. Désolé, nous vous épargnons l’audition de son dernier clip, dans lequel il a volé la vedette à Claude Joseph et André Michel, ses deux bienfaiteurs auprès de la Caricom.
