20 novembre 2025
Kenya : la NTSA et la police figurent en tête de liste des institutions les plus corrompues du pays, selon un rapport publié mardi
Actualités Corruption Société

Kenya : la NTSA et la police figurent en tête de liste des institutions les plus corrompues du pays, selon un rapport publié mardi

Imaginez le référendum Lavalas-Tet Kale de Voltairte/Fils-Aimé sous la supervision de la police kenyane, le pain bénit du CPT en cadeau de BINUH !

Le National Police Service et le National Transport and Safety Authority (NTSA) ont été classés parmi les institutions les plus corrompues du Kenya, selon le dernier rapport de la Ethics and Anti-Corruption Commission (EACC).

Le rapport publié par l’EACC mardi a révélé que les familles et les professionnels des personnes travaillant au sein des institutions corrompues sont les entités qui encouragent la corruption.

Le rapport a également mis en évidence que le ministère des terres, l’aéroport international Jomo Kenyatta (JKIA) et les personnes travaillant dans les services de santé portuaires figurent parmi les personnes et les entités les plus corrompues du Kenya.

En outre, le rapport a révélé que les fonctionnaires et les professionnels déployés au sein de la Kenya National Highways Authority (KENHA), de l’hôpital de référence de Kericho et du comté de la ville de Nairobi figuraient parmi les institutions les plus corrompues du Kenya.

« Nous avons observé une tendance émergente où les fonctionnaires enrôlent les membres de leur famille, leurs enfants, leurs épouses, leurs maris et leurs proches pour être leurs mandataires dans le vol du public. Leurs enfants, leurs femmes, leurs maris et leurs proches sont leurs mandataires pour voler le public », a déclaré le président de l’EACC, David Oginde.

À la KENHA, le département des ponts-bascules s’est révélé être l’un des plus corrompus, et de nombreux citoyens ont déposé des plaintes officielles à ce sujet auprès de la Commission.

Dans sa tentative de faire face à la menace, l’EACC va déployer ses agents dans ces entités pour enquêter sur les cas de corruption qui, selon elle, ont entravé la prestation de services au Kenya.

Nous allons déployer notre personnel dans ces institutions afin de pouvoir accéder aux services que ces personnes offrent au public et de découvrir ce qui se passe lorsqu’une personne s’approche, par exemple, pour payer une licence », a révélé le PDG de l’EACC, Abdi Mohamud.

L’EACC a également indiqué qu’elle avait reçu 5 000 plaintes de la part de membres du public concernant des transactions corrompues au sein des institutions.

source

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.