Cette information qui est en encore en développement, fait état de l’interpellation suivie de l’arrestation de plusieurs haïtiens à Saint-Bernard-de-Lacolle, ville située à la frontière du Canada avec les Etats-Unis. Leur téléphone (aléatoirement) qui serait soumis également au strict contrôle par des agents de l’immigration canadienne, contiendrait des fichiers de pornographie juvénile
Montréal, mercredi 16 août 2017 ((rezonodwes.com)).-« Adieu Québec…Je m’en souviendrai« , c’est presque le cas de le dire pour quelques haïtiens qui cherchaient cette semaine asile au Canada en fuyant les Etats-Unis d’Amérique, mais encore poursuivis par la malchance ayant conduit aux fouilles de leur portable ou tout autre équipement électronique qu’ils détiennent.
Selon le réseau de la chaîne de télédiffusion TVA dont le siège se trouve à Montréal, citant l’ Agence des services frontaliers du Canada (ASFC), « des demandeurs d’asile ont été arrêtés à la frontière canado-américaine et font face à des accusations en lien avec de la pornographie infantile« .
Ces demandeurs d’asile, contrairement à d’autres revenant des Etats-Unis, qui ont eu la chance de terminer leur journée jusqu’au Stade Olympique, ont été arrêtés à la frontière à Saint-Bernard-de-Lacolle, a confirmé mardi soir un porte-parole de ASFC expliquant que « l’Agence des services frontaliers du Canada dispose de mesures et d’arrangements de sécurité rigoureux en collaboration avec la GRC, y compris l’examen des bagages et des biens électroniques« .
« L’article 13 sur la convention de la Protection des Droits de l’Enfant, adoptée et ratifiée par le Canada, est strictement en vigueur dans ce pays« , a confié le juriste haïtien et ancien Commissaire du Gouvernement Me. Elco Saint-Amand, invité par la rédaction de Rezo Nòdwès à opiner sur ce dernier acte d’accusation.
Le partage des images sordides parfois de très mauvais goût, spécialement les clichés pornographiques juvéniles, sur les réseaux sociaux dont des adultes sont friands et se raffolent, a prouvé son mauvais côté avec des accusations de possession et d’importation de pornographie juvénile déposées par la Direction des poursuites criminelles et pénales du Québec (DPCP), contre des haïtiens ne demandant pas mieux avant que de trouver une nouvelle terre d’asile.
Cette information en continu sera développée au fur et à mesure que de nouveaux éléments parviennent en notre salle de rédaction en duplex avec Montréal-New York-Miami-Paris-Port au Prince-Santo Domingo.