Le GRIAT appelle à la dissolution du cartel de la Mairie de Port-de-Paix au cas où le présumé Josué Alusma serait condamné!
Port-de-Paix, dimanche 6 août 2017 ((rezonodwes.com))– Le Groupe de Réflexion et d’Intervention aux Affaires Territoriales (GRIAT) condamne avec la plus grande rigueur l’incident survenu le 3 août dernier à proximité de la commune de Bassin bleu. Ce dernier doit être considéré comme la dernière goutte d’eau qui fait déverser la vase.
Le nommé Josué Alusma, le maire principal de la commune de Port-de-Paix s’est transformé en un véritable guerrier face à l’autobus ‘’Papayo’’, qui assure le trajet Port-au-Prince/Port-de-Paix.
Cet événement malheureux a faillit couter la vie à un jeune étudiant qui voyageait abord de l’autobus.
Le GRIAT suit de près le fonctionnement de cette nouvelle administration qui ne travaille pas en vue de l’amélioration des conditions de vie de la population de Port-de-Paix, la cité de Capois-La-Mort, chef-lieu du département du Nord-Ouest.
En effet, sous le soi-disant leadership de cette nouvelle équipe, la ville de Port-de-Paix est plongée dans l`insalubrité totale, la non transparence dans la gestion des affaires publiques locales et le non respect du protocole municipal.
Le GRIAT constate que la division règne au sein de l’administration municipale, avec d’un coté le Maire principal et l’un de ses assesseurs, et de l’autre coté, le journaliste Tony Vernio, celui qui a permis à ce cartel de bénéficier ce vote populaire. Malheureusement, ce dernier est victime de ses erreurs, en choisissant de laisser sa place au commandant Josué Alusma, celui qui porte toujours son revolver.
Face à cette situation révoltante, le GRIAT appelle à la mobilisation totale de tous les secteurs vitaux de la commune : les étudiants des universités publiques et privées, les commerçants, les ouvriers, les autorités locales, les organisations de la société civile locale et nationales etc., pour forcer les autorités policières et judiciaires à pencher en toute impartialité sur l’acte de banditisme causé par le présumé criminel ‘’Josué Alusma’’ au préjudice du jeune étudiant ‘’Bethovens Noel’’.
Le GRIAT appelle à la vigilance de ces institutions étatiques (UCREF, ULCC et la CSC/CA(art-200)) de diligenter une enquête sur la gestion de cette nouvelle administration aux fins de dissiper les doutes, et de produire leurs rapports dans le meilleur délai. Au cas où le présumé sera condamné, le GRIAT réclame l’application stricte de l’article 72 de la constitution de 1987, qui se lit ainsi : «Le Conseil Municipal ne peut-être dissous qu’en cas d’incurie, de malversation ou d’administration frauduleuse légalement prononcé par un tribunal compétent (….) ».
Pour éviter tout vide institutionnel, il propose de remplacer le Conseil par une commission intérimaire, qui aura pour mission :


