Omettre le bien, c’est commettre le mal ; cependant, dans les circonstances présentes, déformer sciemment un article de la Constitution dans le but de tromper en vue d’un gain personnel constitue une infraction pénale. Celle-ci est aggravée par sa publication au journal officiel, datée du 12 avril 2024. Coup de maître ou coup bas ?
L’administration Biden est embarrassée et des têtes vont finalement tomber au Département d’État américain. Ni Brian Nichols, ni Karine Jean-Pierre (promue confirmée en date du 9 avril 2024), ni l’ambassadeur Dennis Hankins n’ont pris les mesures nécessaires pour réviser/corriger cette œuvre maléfique BIDEN-CARICOM, heureusement finie en catastrophe.
Ceci entraîne nécessairement :
- l’invalidité de l’acte défectueux (le décret « fait au Palais National », bien que celui-ci soit sans président, sauf si Josué Pierre-Louis a été investi secrètement) ;
- l’annulation de l’accord entaché de ruse (concocté par le leadership de la CARICOM le 12 mars 2024) ;
- la réfutation de toute prétention à l’existence d’un collège présidentiel désirant 7 fois en fumée ;
- le recours tardif à l’Article 149 de la Constitution (contre lequel toute tentative d’amendement avait échoué en raison d’un manque de « conformité ») ;
- l’échec colossal et spectaculaire de toutes les « parties prenantes » (engagées dans ces négociations secrètes depuis le début de février 2024, en concert avec les ambassades impliquées) ;
- l’incompétence ratione loci du Palais national en matière de juridiction administrative (boycott délibéré ou incompétence avérée : dans les deux cas, le mal est infini pour les investisseurs passionnés par ce désordre ou ce scandale d’État multinational).
Enfin, qui se cache derrière ce message subtil et inhabituel : « Fait au Palais National » ?