Ariel Henry : Vol vers l’incertain à 41 000 pieds d’altitude

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un billet de la redaction

Vers une fin de règne ! Le bilan de Ariel Henry, Emmelie Prophète Milcé, André Michel, Edmonde Beauzile, Mirlande Manigat et autres traitres à la Patrie, est marqué par un échec retentissant, leur règne se terminant dans un océan de désillusion et de mécontentement. Ayant débuté sans véritable programme ni vision claire pour l’avenir, ces konze ont navigué à vue, réagissant aux crises plutôt que de les anticiper et de les résoudre de manière proactive.

Alors que la violence régnait en maître sur sa terre natale d’Haïti, Dr Ariel Henry, tiraillé entre l’espoir et l’incertitude, tentait désespérément de regagner son pays mardi. Ballotté de territoire en territoire dans les airs, à l’instar de ses compatriotes pourchassés sauvagement des « territoires perdus » par les gangs G-9 pro-pouvoir et alliés, son parcours reflétait l’instabilité politique et socio-économique qui sévit en Haïti depuis plus de 30 mois.

A bord de l’avion immatriculé aux États-Unis N129NS, un Gulfstream IV opéré par la société américaine Netjets, Henry a pris son envol depuis l’aéroport international de Teterboro, dans le New Jersey, à 11h07 (heure de Port-au-Prince), avec comme destination l’aéroport international Las Americas, en République dominicaine.

Le chef du gouvernement de doublure, se révélant être un conze, un vrai esclave domestique, espérait rentrer chez lui et éteindre les flammes de l’anarchie en arrosant à coup de millions puisés dans le Trésor public. Pourtant, il n’était pas étranger à cette situation, ayant conservé le pouvoir de manière illégale, illégitime et inconstitutionnelle, sans remplir aucune de ses responsabilités pour le maintenir.

Cependant, alors qu’il tente désespérément de rejoindre son pays dans une crise préfabriquée, le voyage d’Henry est entravé par les circonstances turbulentes de la situation haïtienne. À 13h55 (heure d’Haiti), l’aéronef est entré dans un schéma d’attente à environ 100 milles au nord de la région d’information de vol (FIR) de la République dominicaine. Pendant près d’une heure, l’avion a dû maintenir son altitude de croisière à 41 000 pieds, faisant face à des retards imprévus et à une incertitude grandissante quant à la possibilité de poursuivre le voyage vers Haïti.

Finalement, à 13h27, l’avion a abandonné son schéma d’attente et a entamé sa descente. Dans une décision de dernier recours, la destination a été modifiée pour l’aéroport Luis Muñoz Marín de San Juan, à Porto Rico. Henry et les passagers à bord ont été contraints de dévier de leur itinéraire initial en raison des troubles persistants en Haïti.

À 17h06 (heure de Porto Rico), l’avion a touché terre à San Juan, mettant fin à un voyage tumultueux marqué par l’incertitude et les défis. Malgré tous ses efforts pour retourner dans son pays en proie à la crise, Henry a dû faire face à des obstacles inattendus qui ont mis en évidence les complexités et les dangers de la situation politique et sécuritaire en Haïti.

Il est à noter que, pendant tout le trajet, l’ « avion d’Ariel » n’a jamais pénétré dans l’espace aérien de la République dominicaine, soulignant ainsi les restrictions et les obstacles imposés par les conditions chaotiques qui règnent dans la région.

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