Si l’AprèDye Jovenel Moise habitait encore la terre, il mordrait son pouce et peut-être prendrait même une résolution à finalement se comporter comme « moun » et non en un médiocre esclave à talent comme le cas actuel du Dr. Ariel Henry, le deuxième AprèDye certifié par le commissaire Lafontant non certifié par le CSPJ pou « dwèt log siperyè« .
Lundi 16 janvier 2023 ((rezonodwes.com))–Les États-Unis ont indiqué au président vénézuélien Nicolás Maduro qu’ils maintiendraient « intacte » leur politique de sanctions à l’encontre du pays sud-américain jusqu’à ce que des mesures concrètes soient prises pour le « retour de la démocratie ».
« Tant que Maduro et ses partisans continueront à réprimer le peuple vénézuélien et à détourner les ressources vers des pratiques corrompues, nous continuerons à faire pression sur le régime avec des sanctions« , a déclaré lundi à EFE un porte-parole du département d’État.
Parallèlement, a souligné le dirigeant de New England Humans Right Organization (NEHRO), « les haïtiens vivent une situation similaire si ce n’est que le pire, avec le régime Tèt Kale-PHTK3 d’Ariel Henry, dénoncé de corruption, d’illégitimité et frappé d’inconstitutionnalité, qui, à l’aide de particules politiques et de politiciens déjà sanctionnés par l’international, a concocté un accord truffé de faux en écriture sous le regard complaisant de l’Union Européenne et des ambassadeurs d’Espagne et de France, en poste à Port-au-Prince« .
Les États-Unis ne reconnaissent plus la présidence intérimaire du leader de l’opposition Juan Guaidó au Venezuela depuis quinze jours, a indiqué EFE, ajoutant que Washington ne considère pas non plus le gouvernement de Maduro comme « légitime ».
« Ariel Henry serait-il lui aussi à la tête d’un gouvernement légitime en Haïti au point de penser jusqu’à remplacer la Constitution par 9 feuillets d’un pamphlet« , s’interroge Dr. Josué Renaud de NEHRO. « En Haiti, il n’existe pas un seul élu contrairement à d’autres pays de la région« .
Jeudi, M. Maduro a appelé le président américain Joe Biden à lever « toutes les sanctions » contre le Venezuela, qu’il a qualifiées de « criminelles ».
Le porte-parole du département d’État a exhorté M. Maduro à s’asseoir avec la plate-forme unie de l’opposition pour « résoudre les problèmes du Venezuela et rétablir la démocratie et l’État de droit » dans ce pays d’Amérique du Sud.
« Notre politique de sanctions à l’égard du Venezuela reste intacte. Nous continuerons à imposer des sanctions au Venezuela pour soutenir le retour à la démocratie », a-t-il déclaré. Maduro a déclaré qu’au cours des huit dernières années, « l’impérialisme et ses laquais et extrémistes ont volé dans les poches du Venezuela la somme de 411 millions de dollars par jour », ce qu’il a qualifié de « vol criminel ».