Mardi 13 décembre 2022 ((rezonodwes.com))–L’ex-Premier ministre de Michel Martelly, Laurent Salvador Lamothe, qui, selon le New York Times, en aout 2021, par un simple coup de fil passé à des hommes lourdement armés, a épargné son ex petite amie américaine d’un « kidnapping » à Port-au-Prince, n’en peut plus aujourd’hui. Les internautes ont mis sa patience à l’épreuve par force de l’acculer après la décision du gouvernement du Canada de le reléguer dans la catégorie de citoyens les plus indésirables en Haïti.
M. Lamothe, le high-tech accusé de faire un usage abusif des BBMs, durant son règne de gestion de la mane Petro Caribe qui s’est échelonné sur environ trois ans à la Primature Tèt Kale-PHTK1, sans remplir toutes les exigences constitutionnelles, a mis fin depuis quelque temps à tout commentaire au bas de ses tweets, ont commenté ailleurs des internautes.
Le pseudo-démocrate, en dépit de nombreux documents exhibés et publiés, depuis l’éclatement de la nébuleuse affaire de ‘sponsoriser les gangs », a néanmoins refusé d’admettre que ses arguments sur un quelconque rejet de ses liens directs avec les gangs criminels, selon le gouvernement canadien, soient commentés et démontés par certains de ses « followers ».
L’ancien chef tout-puissant de la Primature (4 mai 2012-14 déc. 2014), avec les décharges de Jovenel et Claude Joseph en main, est sorti de ses gonds et à défaut de brandir des menaces de poursuites judiciaires aux auteurs des demi-vérités, a préféré fermer les paramètres de commentaires de son compte officiel Twitter, pour inventaire de ses caprices et de son incapacité totale à écouter d’autres sons de cloche non flagorneurs et partisans.
Rappelons que l’actuel Premier ministre de facto, Dr. Ariel Henry, avait également recommandé au gestionnaire de son compte Twitter de ne plus laisser le soin aux internautes de commenter ses tweets émanant d’un dirigeant affichant le plus grand mépris pour le peuple au nom duquel il continue de jouir des privilèges d’esclave à talent et manyen lajan san konte jusqu’à obtenir la licence des membres extrémistes de l’ancienne opposition.
