Sauf en Haiti où l’on assiste des dirigeants accrochés au pouvoir en dépit de leur incapacité totale à diriger. Dr. Ariel Henry qui n’a été à aucune élection, ni nommé au second degré, et qui nourrit aucun amour pour la Patrie, en est l’exemple probant. Il accepte le poste juste pour détruire vite Haiti et faire plaisir à ses tuteurs.
Première ministre Magdalena Andersson: « Pour moi, c’est une question de respect pour le peuple suédois et pour la démocratie suédoise. Il est également important que la Suède puisse mettre en place un nouveau gouvernement le plus rapidement possible, compte tenu de la crise économique et de la gravité de la situation« .
Mercredi 14 septembre 2022 ((rezonodwes.com))–
La Première ministre suédoise, Magdalena Andersson, a annoncé mercredi sa démission après une défaite électorale.
Mme Andersson, qui est également à la tête du Parti social-démocrate, au pouvoir, a concédé la défaite lors d’une conférence de presse mercredi à l’issue des élections organisées dimanche.
Elle a indiqué qu’elle remettrait sa démission jeudi, après qu’il est apparu que l’alliance d’opposition « bloc bleu », réunissant le Parti modéré, les chrétiens-démocrates, le parti Libéral et les démocrates suédois, a remporté 176 des 349 sièges au Parlement.
« J’agirai également pour un changement ordonné de gouvernement. Pour moi, c’est une question de respect pour le peuple suédois et pour la démocratie suédoise. Il est également important que la Suède puisse mettre en place un nouveau gouvernement le plus rapidement possible, compte tenu de la guerre sur un territoire proche, de la crise économique et de la gravité de la situation« , a déclaré Andersson.
Le bloc rouge, comprenant le Parti social-démocrate, le Parti de gauche, les Verts et le Parti du centre, a remporté 173 sièges.
Les bureaux de vote se sont ouverts dimanche matin en Suède pour une élection particulièrement serrée entre les deux blocs opposés, bloc rouge et bloc bleu.
En attendant la nomination d’un nouveau gouvernement, Magdalena Andersson dirigera un gouvernement de transition conformément aux dispositions de la constitution. Tel n’est pas le cas en Haiti, pays devenu un « Banana Republic ».
