Urgent ! Un Sénateur américain suggère de faire « assassiner Poutine », pour « mettre fin à la guerre ». Que répond la Maison Blanche ?

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Le dernier président assassiné s’appelle Jovenel Moise et jusqu’à présent les enquêtes traînent en langueur et que l’un des principaux accusés du magnicide du 7 juillet, Dr. Ariel Henry, selon CNN et New York Times – à partir d’un enregistrement audio certifié obtenu -, fait la loi en Haiti et se positionne pour trouver son remplaçant à travers des élections frauduleuses programmées !

« Assassiner Poutine » n’est pas une politique de la Maison Blanche : Jen Psaki.

Samedi 5 mars 2022 ((rezonodwes.com))–L’assassinat de dirigeants étrangers ne fait pas partie de la politique étrangère américaine, a déclaré Jen Psaki, porte-parole de la Maison Blanche, en réponse aux déclarations du sénateur républicain Lindsey Graham, qui a suggéré de supprimer le président russe Vladimir Poutine pour mettre fin à l’invasion de l’Ukraine.

Le sénateur Graham a affirmé lors d’une interview télévisée que « la seule façon de mettre fin à cette merde est que quelqu’un en Russie mette ce type (Poutine) hors d’état de nuire« , ce qui, selon lui, rendrait un « grand service » non seulement à la Russie, mais aussi au monde entier.

« La politique américaine ne consiste pas à chercher à assassiner un dirigeant d’un pays ou d’un régime étranger« , a répondu Mme Psaki vendredi lorsqu’elle a été interrogée lors d’une conférence de presse.

La porte-parole de la Maison Blanche, Jen Psaki, a déclaré que le président américain Joe Biden estime que la voie diplomatique pour résoudre le conflit par le dialogue reste ouverte.

Jen Psaki a affirmé qu’ils accueilleraient favorablement un cessez-le-feu et l’ouverture de couloirs humanitaires, mais pas l’assassinat de dirigeants étrangers.

L’ambassadeur de Russie aux États-Unis, Anatoly Antonov, a qualifié les déclarations de Lindsey Graham d’inacceptables et de scandaleuses, et a demandé une explication officielle des propos du sénateur républicain. Le diplomate russe a critiqué le fait qu’un pays qui, d’un côté, promeut les valeurs comme guide pour l’humanité, de l’autre, appelle au terrorisme.

Cette déclaration controversée a suscité des critiques au sein de son propre parti, le sénateur Ted Cruz ayant déclaré que la proposition de son collègue était « exceptionnellement mauvaise« . Pour sa part, il a appelé à intensifier les sanctions économiques et à envoyer une aide militaire « pour que les Ukrainiens puissent se défendre ».

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