28 septembre 2025
Biden : »…lorsque les dictateurs ne paient pas le prix de leur agression, ils provoquent davantage de chaos »
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Biden : »…lorsque les dictateurs ne paient pas le prix de leur agression, ils provoquent davantage de chaos »

« Ce soir, je peux annoncer que les États-Unis ont travaillé avec 30 autres pays pour libérer 60 millions de barils de pétrole des réserves du monde entier », a annoncé le président Biden.

President Biden called out Putin–by name–at least 9 times at the beginning of his first #SOTU address.

Mardi 1er mars 2022 ((rezonodwes.com))–

Le président Joe Biden remplit une exigence constitutionnelle lorsqu’il prononce un discours sur l’état de l’Union – son premier – devant le Congrès mardi soir.

Le président a parlé de plusieurs initiatives de son administration bloquées au Sénat, telles que son projet de loi « Build Back Better » (1,75 billion de dollars) et la législation sur le droit de vote. Il a abordé en début de la pandémie de COVID-19 en cours et très certainement de l’invasion russe en Ukraine.

Une fois que le président Joe Biden aura quitté le podium après avoir prononcé son premier discours sur l’état de l’Union mardi, au moins deux dirigeants politiques donneront des réponses distinctes à ce discours : Le gouverneur de l’Iowa, Kim Reynolds, pour le parti républicain, et la représentante démocrate du Michigan, Rashida Tlaib.

Tout au long de notre histoire, nous avons appris cette leçon, a déclaré le Président Biden : lorsque les dictateurs ne paient pas le prix de leur agression, ils provoquent davantage de chaos. Ils continuent d’avancer. Et les coûts et les menaces pour l’Amérique et le monde ne cessent d’augmenter.

C’est pourquoi l’Alliance OTAN a été créée pour garantir la paix et la stabilité en Europe après la Seconde Guerre mondiale. Les États-Unis en sont membres avec 29 autres pays.

C’est important. La diplomatie américaine compte.

La guerre de Poutine était préméditée et non provoquée. Il a rejeté les efforts de diplomatie. Il pensait que l’Occident et l’OTAN ne répondraient pas. Et, il pensait qu’il pouvait nous diviser ici, chez nous.

Poutine avait tort. Nous étions prêts.

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