Men kiyès ki pa konnen ke Ariel se yon « 3e tragédie électorale PHTK » kap prepare la?
Le leader d’UNIR s’est-il déjà publiquement prononcé contre le choix du représentant de la presse au sein du CEP « pacotille » d’Ariel Henry?
à lire également : Loin de s’unir au projet Montana, Clarens Renois demande à Ariel Henry de définir un agenda pour l’organisation des élections | Rezo Nòdwès (rezonodwes.com)
Mercredi 9 février 2022 ((rezonodwes.com))–Loin de s’unir au projet Montana, Clarens Renois, leader du parti « Unir », a demandé le 27 janvier dernier au Premier ministre de facto, Ariel Henry, installé par un tweet de l’international, de « définir un agenda pour l’organisation des élections« . Or, il se trouve aujourd’hui, sur les plateaux de Télé Métropole, les yeux finalement grands ouverts, que M. Renois du Parti de l’Union Nationale pour l’Intégrité et la Réconciliation (UNIR), a reconnu que « le Premier ministre Ariel Henry n’a pas la légitimité nécessaire pour organiser des élections équitables en 2022« .
L’ancien journaliste senior devenu un personnage politique, oubliant complètement la formation illégale et inconstitutionnelle d’un « Conseil de Sages » en mars 2004 – dont faisait partie Dr. Ariel Henry – pour élire un Premier ministre malgré la présence du président Alexandre Boniface au Palais National, s’est montré très critique à l’égard de la situation actuelle du pays. Clarens Renois a également indiqué que « les personnes élues comme président et premier ministre dans le cadre de l’accord de Montana, ainsi que les 10 sénateurs dont le mandat est toujours actif, n’ont aucune légitimité pour diriger le pays« .
L’ancien animateur de l’émission de dimanche variétés sur Métropole qui monopolisait l’écoute, il fut un temps, a averti que la situation sociopolitique, le climat d’insécurité et la polarisation des différents acteurs nationaux menacent sérieusement les fondements nationaux et a appelé au dialogue entre les protagonistes de la crise.
M. Renois a souligné que seul un dialogue pouvait résoudre les différends politiques, maintenir la paix et la sécurité, relancer l’économie et progresser vers la démocratie. Une démocratie qui se cherche depuis 36 ans.