Indice de Perception de la Corruption (IPC)|Rapport 2021 : Haïti avec PHTK obtient une note de 20/100 et s’enfonce dans la zone rouge, le champion de la corruption dans la Caraïbe

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Malheur aux Haïtiens s’ils se mettent en tête que ce régime corrompu PHTK, le dernier dans la Caraïbe à l’école de l’IPC, pourra organiser de bonnes élections… Pas question de se laisser prendre dans le piège d’Ariel Henry, Rosny Desroches… de venir avec une Assemblée Constituante. On ne compose pas avec une équipe corrompue, les faits parlent d’eux-mêmes 20/100.

Haïti – le déclin dans l’indice de perception de corruption de 2017 à 2019 : score obtenu en 2017, 22 sur 100 ; 20/100 en 2018 et 18/100 en 2019

Le gouvernement du Canada prend-il réellement plaisir à supporter un régime corrompu en Haiti?

Mardi 25 janvier 2022 ((rezonodwes.com))–Alors que la République Dominicaine (30/100) gagne deux places dans l’indice de perception de la corruption 2021, l’Haiti de Michel Martelly, Laurent Lamothe, Jovenel Moise et Ariel Henry et tous leurs supporteurs, pour le malheur du peuple haïtien, s’enfonce dans la zone rouge aux côtés du Venezuela (14/100) et du Nicaragua (22/100). Haiti où un gouvernement autoritaire et illégitime est en passe de s’installer après le 7 février 2022, est le pays le plus corrompu de la région des Caraïbes, selon le dernier rapport de IPC.

Le score d’Haiti dans l’indice de perception de la corruption (Ipc) de 2021 qui est de 20/100, devrait être considéré comme un coup dur pour ce régime au pouvoir depuis mai 2011, car un tel score vient carrément lui enlever tout degré de crédibilité pour parvenir à l’organisation de bonnes élections, sans le procès des milliards des fonds de Petro Caribe dilapidés.

À propos de l’Indice de perception de la corruption

Depuis sa création en 1995, l’Indice de perception de la corruption est devenu le principal indicateur de la corruption dans le secteur public au niveau mondial . Il classe 180 pays et territoires dans le monde en fonction de la perception de la corruption dans le secteur public, à l’aide de données provenant de 13 sources externes, dont la Banque mondiale, le Forum économique mondial, des entreprises privées de conseil et de gestion des risques, des groupes de réflexion et d’autres. Les scores reflètent les points de vue d’expert(e)s, et d’hommes et femmes d’affaires.

Cette année, la région des Amériques et des Caraibes compte 22 pays qui ne montrent aucun changement statistiquement significatif dans leurs niveaux de corruption. Au cours des 10 dernières années, seuls la Guyane (score IPC : 39) et le Paraguay (30) ont fait des progrès et ont enregistré des améliorations notables.

Sur la même période, trois des plus fortes démocraties de la région – les États-Unis (67), le Chili (67) et le Canada (74), qui sont en tête du classement cette année, enregistrent une baisse, tandis que seul l’Uruguay (73) reste stable.

LA CORRUPTION NUIT À LA DÉMOCRATIE ET AUX DROITS DE L’HOMME

Le Venezuela, Haïti et le Nicaragua, des États pseudo-démocratiques en proie à des crises humanitaires, socio-politiques et économiques, obtiennent les scores les plus bas avec respectivement 14, 20 et 22 points.

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