En septembre dernier, soit 2 mois avant la présidentielle américaine, j’avais prédit avec précision, malgré les sondages, une victoire de Donald Trump, révèle l’ haïtien Jean H. Charles, un détenteur de Maîtrise en Travail Social (MSW)
Port-au-Prince, dimanche 30 avril 2017 ((rezonodwes.com)).-A moins de 6 jours de la tenue du second tour de la présidentielle française, un haïtien prédit la victoire de Marine Le Pen, comme la première femme-présidente de la France. Un pays qui, jusque-là n’a été dirigé par une femme, sauf Edith Cresson à la Primature, de mai 1991 à avril 1992.
Jean H. Charles qui collabore à Carribean News Now, en avait fait cette même prédiction pour les élections de novembre 2016, aux Etats-Unis. M. Charles base ses dernières prédictions non seulement sur la carte électorale française où, écrit-il, Le Pen marque des points rouges principalement dans le nord de la France, mais aussi à travers toute le pays où un nombre grandissant, toujours d’après lui, d’électeurs mécontents sont prêts à faire un saut dans le train avec Marine Le Pen, nonobstant que ce train porte l’étiquette de raciste et de xénophobie.
Le deuxième tour des élections françaises qui arrive dimanche prochain, est vu autrement par des analystes politiques et d’institutions de sondage qui donnent 60+1 à M. Emmanuel Macron dont la candidature est appuyée par une majorité de leaders.
Le travailleur social haïtien, Jean H. Charles, de son coté, avance d’autres éléments d’informations pertinents pour asseoir sa prédiction. Son analyse, affirme-t-il, est essentiellement basée sur des concepts qu’il a lui-même développés dans ses études amenant à la conclusion que la plupart des gens du monde sont malades et fatigués de l’hypocrisie des valeurs libérales de l’éthique du marché libre où l’argent, pas l’être humain, est le roi.
Ce sentiment, préconise-t-il, a gardé les nations développées dans un asservissement depuis 30 ans moyennant qu’elles maintiennent depuis 60 ans, dans un esclavage moderne, sous d’autres termes, les pays sous-développés.
De deux choses l’une, Emmanuel Macron ou Marine Le Pen, aux français libres d’en décider dimanche 7 mai prochain, contrairement aux élections haïtiennes dont un CTV infesté de « coquins« , depuis sa constitution par l’administration Boniface-Latortue, décide du sort final des candidats. Macron ou Le Pen, à pareille heure, François Hollande saura à qui transmettre officiellement les codes d’accès de la force de dissuasion nucléaire.
A rappeler qu’en France, il n’existe pas de Collège Electoral, contrairement aux Etats-Unis. Le président français est élu au suffrage universel direct.
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