le 7 février 2021, Jovenel Moise entre en rébellion avec la Constitution sur laquelle il avait prêté serment et juré de respecter et de faire respecter.
Ni Jovenel Moise, ni son ministre de la Santé, prouvant qu’ils sont des irresponsables au plus haut niveau, ne devraient plus être habilités à parler de coronavirus en Haïti. La population devrait désormais se mettre uniquement à l’écoute des consignes données par les professionnels de la santé, les seuls faisant de leur mieux pour ne pas démériter leur confiance après que la politique eut pris le dessus.
Flashback 7 février 2021, jour de l’exécution du faux coup d’Etat planifié par Jovenel Moise, Joseph Jouthe, Léon Charles, Dimitri Hérard…
Avec 18/100 obtenus dans le rapport de Transparency International, quelle fierté devrait éprouver un homme « tèt dwat » quand ses concitoyens nagent dans la crasse, sans un système de santé…
Jovenel Moise donne raison à Donald Trump assimilant Haïti à un « shithole ». Il ne peut être président que d’un « shithole » pour agir de la sorte. Dans un PAYS, la dictature des lois allait le mettre hors d’état de nuire et le foutre dans un cachot pour délits de crimes présumés et de corruption.
Dimanche 7 février 2021 ((rezonodwes.com))–Inculpé de blanchiment d’argent bien avant sa prestation de serment, le 7 février 2017, le président de facto Jovenel Moise, sous haute protection d’hommes en cagoule, déambule dans les rues de Jacmel en donnant l’air d’un conquérant et d’un président jouissant encore de légitimité.
Pour tenter de faire croire, qu’il est encore aux commandes de la Nation alors que le CSPJ vient de constater la fin de son mandat constitutionnel, sans ambiguïté, Jovenel Moise accompagné de son épouse Martine Moise dont le nom est cité dans l’assassinat du bâtonnier Montferrier Dorval et les cartes Dermalog,est venu assister à un défilé de ban’n a pye composé en grande partie des partisans acquis à la cause du régime.
Le carnaval traditionnel de Jacmel qui, dans le temps, et bien avant la pandémie de covid-19, attirait des milliers de touristes locaux et internationaux, est devenu dimanche le centre de propagande d’un président entré en rébellion avec la Constitution sur laquelle il avait prêté serment et juré de respecter et de faire respecter.
