5 juillet 2024
Haïti parmi les 10 pays devant organiser des élections en 2021, reprend Luis Almagro devant la Commission des Affaires Etrangères du Sénat américain
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Haïti parmi les 10 pays devant organiser des élections en 2021, reprend Luis Almagro devant la Commission des Affaires Etrangères du Sénat américain

Le secrétaire général de l’OEA annonce mercredi que des élections se tiendront en 2021 dans les pays suivants : Ecuador, El Salvador, Chile, Haiti, Peru, Mexico, Argentina, Paraguay, Nicaragua, Honduras.

Mercredi 24 mars 2021 ((rezonodwes.com))–Pour paraphraser Marc-Antoine Legrand, « qu’il pleuve, qu’il vente, qu’il tonne, rien désormais ne » […] pourrait empêcher la communauté internationale d’imposer aux petits nègres haitiens, les descendants d’esclaves africains, leur quatre volontés, car des élections pike kole avec Jovenel Moise et son CEP-Dermalog exclusif auront lieu, confirme mercredi Luis Almagro de l’OEA.

Le plan de l’international, selon toute vraisemblance, devrait passer par Jovenel Moise, l’homme aux dossiers louches de corruption, de blanchiment d’argent et de ultiples violations de droits humains.

« Thisyear, ten countries in ourhemisphere are scheduled to holdelections1against abackdrop defined by a pandemic that has all buterased a decade of economic progress. With unemployment and inequality rising, more and more families are being forced back into poverty », affirme le secrétaire général de l’OEA.

« Cette année, dix pays de notre hémisphère doivent organiser des élections dans un contexte marqué par une pandémie qui a réduit à néant une décennie de progrès économique« , a indiqué M. Almagro, dans son intervention mercredi devant la Commission des Affaires Etrangères du Sénat américain. « Avec l’augmentation du chômage et des inégalités, de plus en plus de familles sont contraintes de retomber dans la pauvreté« , a-t-il ajouté sans directement faire référence à Haïti plongé dans le chaos institutionnel avec un président illégal et inconstitutionnel encore au pouvoir, grâce aux forts appuis de la communauté internationale au grand mépris de l’article 134-2 de la Constitution haïtienne.

Le représentant de l’OEA, très critique à l’égard de Nicolas Maduro et des dirigeants cubains, n’a rien relevé devant le Congrès américain de négatif du côté du dictateur haitien et usurpateur de titre Jovenel Moise qui fait mettre en prison des opposants politiques et transformer Haïti en état de banditisme et de voyoucratie et de pays le plus corrompu de la région des Caraïbes.

Cependant, le président de facto est dénoncé de complicité avec les membres des gangs G9 an fanmi et alliés pour sa passivité à faire arrêter et traduire en justice Jimmy Cherizier – Barbecue – publiquement dénoncé dans le massacre meurtrier de la Saline en 2018.

Pour démontrer le mépris de la communauté internationale, incluant l’OEA en particulier, face aux multiples révélations des haitiens face à une dictature en gestation dans le pays, Luis Almagro s’est seulement contenté de rappeler au sénateur de New Jersey, Robert Menendez de la Commission des Affaires Etrangères du Sénat, qu’ « actuellement, nous travaillons avec Haïti sur son projet de réforme électorale« , sans donner plus de détails.

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