Quelle réflexion ces MAUX vous inspirent!
Jeudi 15 décembre 2016 (rezonodwes.com).- Pourquoi la chose publique est-elle considérée comme étant un tour de passe passe aux mains des nantis pourris de la nation? Ce comportement est tragique! Ce qui nous dégrade le plus: c’est la constance dans la bêtise – bêtise qui caractérise la vie de notre peuple. Notre mal c’est que nous avons perdu notre morale de société dans une indignité qui depuis des générations ne donne aucun résultat (…) sinon que « faire de la politique » pour s’enrichir. C’est inadmissible!
La morale des bulldozers de la politique
Comment peut-on laisser tout ceci sans l’ombre de tout cela ! Énigmatique! Paradoxal!
C’est de la philosophie qui ne sert à rien… un discours des pauvres de la politique qui s’enlise le pays dans la merde. Nos politiques qui se laissent diriger certainement très à charge contre le peuple depuis l’indépendance se sont faits domestiquer par la bourgeoisie et ces petits fonctionnaires de la communauté internationale établis dans le pays. Nous avons un grave problème, qui est celui de la manifestation d’un « zéro idée » de ce qui devrait être le « real man » qui donnerait le ton – dans un esprit de pragmatique de « realpolitik » de développement.
Absence de modèles
Un « fake politic » qui est au-dessus de nos valeurs historiques. Un comportement qui pourrit l’avenir de ce peuple de moutons. Un état émotionnel de ces adolescents-politiques qui dansent dans un bal masqué où la confusion se mêle de la cacophonie…Une indignité entre les guillemets de la morale.
« Depi yon nèg gen yon ti blan manan dèyè li, li vini pi frékan« … Il est devenu le « one man show » d’une politique de destruction liée aux idées des mercenaires du monde entier… des pourris de tout bord et tout pays.
Une mauvaise foi expérimentée
Une bourgeoisie qui ne produit rien ! Un peuple naïf qui ne demande pas compte! Nous vivons carrément dans un pays de science-fiction… Une thématique de gonflement fait place à l’arithmétique.
Quand la politique d’indignité prend place des intérêts du peuple. Que faire?
Nous retenons une seule chose dans ce film « du déjà-vu » que le monde fonctionne sous le régime de la loi du plus fort. Qui sont ces acteurs des égouts qui nous tirent le souffle? – ils sont tous imbibés de corruption. Et, nous ne sommes que des spectateurs/misérables qui consomment toutes histoires cauchemardesques de ces animaux qui miaulent en lieu et place du peuple d’Haïti qui pensent aux mots à panser quand ce ne sont pas des maux qui nous inspirent de bonne réflexion.
Elco Saint Amand, av.
