Game Over ! La « Trumperie » est détrônée

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par Carly Dollin

Quatre années de tromperie, de xénophobie et d’hypocrisie officielle, la science et la bienséance ont vu de toutes les couleurs au cours de ce quadriennat d’un schéma de gouvernance oblique concocté au Bureau ovale dévalué et scandalisé.

Figure 1 : Nombre de grands électeurs[1] et de votants au niveau national remportés selon les candidats démocrate et républicain     

Source: Federal Elections Commission (FEC)             Graphique : Best & Orientation

Jeudi 12 novembre 2020 ((rezonodwes.com))– Trois jours après le grand rendez-vous aux urnes, l’incertitude continuait de hanter les esprits à ces élections présidentielles farouchement disputées avec la trame principale de la gestion de la pandémie et de l’économie. A la matinée du samedi 7 novembre, Joe Biden a franchi la barre de la victoire à la suite du décompte exhaustif des bulletins de la Pennsylvanie, mettant le candidat démocrate à 273 votes. Ainsi, le verdict est rendu, le statuquo a perdu, le suspense est suspendu après le décompte exhaustif des voix de la Pennsylvanie qui ont permis au fils arrosé du liquide amniotique de la matrice de Delaware de dépasser le seuil des 270 grands électeurs. D’autres Etats, dont le Nevada et l’Arizona,  allaient s’y ajouter pour conforter le succès démocrate à ces remarquables élections en pleine période de la Covid.

A la vérité, contrairement au courroux trumpiste hypertendu, il n’a été question d’aucun malentendu ni d’agenda inattendu dans le dénombrement des bulletins reçus par correspondance. Stratagème de brouillage des cartes, pions déloyalement déplacés – à travers ses discours pyrogènes et ses manigances dans une déclaration délirante de victoire électorale déloyale à la soirée du 3 novembre, puis d’allégations de fraudes de « bulletins magiques » le lendemain matin – la réaction de monsieur Trump se traduit par une fuite en avant d’un vaincu ridicule.

Au crépuscule de sa gouvernance de déchirure, le détenteur des pécules pas totalement catholiques – désarticulé par la température fiévreuse que procure l’investiture d’une nouvelle ère de droiture – spécule, accule les médias et continue de confirmer qu’il est sans scrupules envers les institutions qui véhiculent les principes de recherche de l’harmonie dans les relations humaines.

Ce cri cacophonique du candidat républicain à l’apparence pharaonique s’apparente aux scénarios électoraux africains et haïtiens tout le temps intoxiqués par des laboratoires internationaux experts des calculs falsifiés qui éjaculent des liquides pestilents en posant leurs tentacules en majuscule pour y imposer sous couvert d’une démocratie farceuse des nuls et des crapules aux fonctions politiques les plus prestigieuses.

Sur l’échelle de l’ironie et sur l’autel de la ploutomanie, les plaques tectoniques des plaintes mensongères astronomiques d’élections contestées viennent de s’activer dans les couloirs de la voix supersonique du concert des ténors démocratiques. Même si les institutions régaliennes s’attèlent à ne pas la laisser clouée au pilori, la démocratie occidentale a quand même perdu quelques plumes à l’atteinte de ces uppercuts perpétrés par monsieur Trump, dépourvu de la vertu de la luminosité de se détromper.

On ne s’y attendait pas à ce contraste de constater que la plaque tournante des références méritocratiques serait tourmentée à cause de la folie et de l’orgueil de l’un d’entre eux, un candidat indélicat qui scandait haut et fort qu’il ne ferait pas concession au cas où il serait défait.

Expirant comme un poisson hors de l’eau, ce gros requin de la finance veut noyer le poisson pour que la compétition électorale se termine en queue de poisson. D’aucuns le taxent déjà comme un « cons sans temps » consentant à gaspiller des énergies dans la vanité, car ses velléités de poursuites judiciaires sont sans fondement.

Quand même, le désordre est inversé ; un gros requin américain se mettrait à suivre le courant de la turbulence de scandale post-électoral médiéval et chronophage des petits poissons africains qui se concluent constamment en des scènes sauvages de blocage, de gaspillage et de lynchage.

Ne faites pas toujours à Rome comme font les Romains !

Un contexte de singularité mélangé d’une pluralité d’animosité et de risibilité, le poids-lourd de la rhétorique des thèses démocratiques (les USA) s’embarque dans le même complexe d’autoflagellation de saccager l’intégrité et la légitimité de l’expression populaire. En effet, ce sont les coups à encaisser par la convenance quand une nation se laisse diriger par n’importe quel président poids-plume qui allume en permanence le volume des insultes tout en se fichant de ce que les plumes et les micros vont léguer à la postérité. A ce stade avancé de la modernité, c’est une véritable honte pour la grande puissance mondiale prise entre l’enclume trumpiste et le marteau des critiques acerbes.

Serait-ce des externalités négatives des acteurs du Sud qui ont enseigné de mauvaises leçons à ceux du Nord ou plutôt d’une situation typique relevant de la loi karmique qui voudrait que le bourreau réalise que les manœuvres de zizanie politique planifiée à dessein font extrêmement mal aux pays souverains victimes de la main étrangère qui leur donne des miettes sur la table mais qui s’en enrichit sous le tapis ?

On sait indubitablement que sans une politique d’autodétermination, aucune nation n’est en mesure de rattraper le train du développement soutenable. Nous prions le Créateur et nous invoquons tous les Saints en des cris stridents dans une foi ardente pour que l’Occident hypocrite cesse de fourrer son nez allongé dans les prochaines élections haïtiennes que l’équipe consciente et courageuse de la transition aura à organiser, après que les écuries d’Augias se soient nettoyées.

A priori, il faudra mettre en branle la machine vigilante et impartiale du procès Petrocaribe tout en restaurant l’autorité des entités de vigie en enterrant les décrets présidentiels démentiels comme des « faux-kòb ». La nouvelle équipe doit également foutre un coup de pied dans la fourmilière des bases criminelles officielles et officieuses, alliées du pouvoir en place et de nombreux autres groupes politiques et économiques mesquins.

Sans quoi, l’instabilité, l’insécurité et l’anxiété entacheront la faisabilité et la crédibilité de ce processus démocratique déjà vandalisé en 2010 par un certain Opont récompensé récemment à titre de membre honorable de la CMEP pour y festoyer en toute impunité. Dans une sombre clarté, Ricardo Seteinfus[2] nous a fait un éclairage poignant sur cette mascarade électorale de 2010 et ses conséquences désastreuses pour la stabilité politique du pays.

Les péripéties que les familles haïtiennes ont coltinées à l’issue des élections frauduleuses – concoctées sur le pont de la dérision et de la corruption avec Opont comme chef de file – s’avèrent les plus sévères punitions dans l’histoire de cette transition interminable. Bref.

En tout cas, la série des sorties médiatiques crabes et cauchemardesques de monsieur Trump n’est pas une surprise, encore moins une traîtrise des assises pacifiques requises pour éviter des crises multifactorielles. Tout le long de sa campagne, notamment lors des face-à-face présidentiels, ce perdant récalcitrant tenait mordicus que sa tribu politique serait victime d’abus et de comptage distordu des bulletins de vote. Une préméditation de la volonté de tout bousiller dans une politique de terre brulée si les résultats finaux ne sont pas publiés en sa faveur. En terme symbolique, ce comportement répréhensible de monsieur Trump est perçu tel un désastre astral d’une nation géante vers la descente des estrades des prestances et des substances de l’alternance politique.

Le silence est d’or, dit-on. Mais pas tout le temps. Sinon Socrate, Aristote, Galilée, Firmin, Mandela, …, Martin L. King seraient classifiés dans la taxinomie des complices de la mort cérébrale de la raison devant la cruauté de la royauté et de la papauté. La sagesse doit savoir aussi lever le petit doigt pour placer les mots du droit quand l’hérésie veut s’ériger dans une notoriété erronée pour obstruer la dialectique et la vérité. « You know something, you say something » !

Aucun hasard, comme un poisson dans l’eau, l’ancien vice-président de l’administration Obama – d’une fière allure, dans un éclat de quasar, tenant de temps en temps au timing approprié un rare discours rassembleur – rehausse l’étendard de la nation étoilée. L’autre concurrent, bizarre comme un soulard hébété qui a bu un salmanazar à un bazar de débauche, fauche le standard de la dimension présidentielle en de fausses allégations, des machinations et des malversations électorales inventées de toute pièce.

Aucune évidence de fraude, la justice ne peut donner suite à la spéculation d’une inflammation de conspiration ou de théorie de complot en l’absence d’information cohérente. Des coups d’épée dans l’eau, monsieur Trump est incapable de faire la preuve de ses accusations qui vont se solder au final en des faux-pas aux recours judiciaires locaux et éventuellement par devant la Cour-Suprême. Alain Berberian nous rappellerait : « On peut tromper une personne mille fois. On peut tromper mille personnes une fois. Mais on ne peut pas tromper mille personnes, mille fois ».

Les démangeaisons, déraisons et péroraisons tonitruantes du locataire téméraire de la Maison Blanche contrariée ont été nourries par des analyses anthropologiques qui prévoyaient avec justesse que les adeptes du parti démocrate, plus enclins à adopter les mesures-barrières, allaient fidèlement adhérer à cette option de vote anticipé qui dissuadent la propagation démesurée de la pestiférée non encore apprivoisée par un vaccin trop languissant. La science ne fait pas de miracle, stipule la docteure Shella S.F Lominy. La science est assise sur des essais sensés, passés au moule fin des machines de vérification. Elle travaille de manière assidue dans l’expérimentation, la simulation, la recherche et la validation qui requièrent évidemment de la patience. La science évolue sous l’égide d’idées régies par des têtes siégées dans les entités assiégées par la démarche épistémologique couplée d’une dynamique permanente de l’éthique.

Mauvais perdant, un comportement antidémocratique

En grande pompe, Trump a soufflé la trompe en s’interférant de façon intempestive pour solliciter d’interrompre, sans argument valide, le comptage des bulletins de ce scrutin historique d’une grande nation qu’il a divisée davantage. Par son insouciance induite dans son inconduite et ses accusations gratuites de fraudes massives, le pyromane condescendant siégé à la plus haute institution du « Capitol Hill » – qui déconne, déraisonne et détone dans un discours pyrogène qui empoisonne les neurones – hypothèque les suites célères à donner aux projets de poursuite d’une réconciliation nationale.

La présidence s’est auto-dénigrée dans l’indécence et l’inconscience du risque génocidaire de déflagrer la poudrière sociale. Malgré tout, les institutions restent fortes en maintenant leur degré régalien. Puisque les carottes sont cuites, de gré ou de force, bon gré mal gré, le dernier émigré du Bureau ovale doit être éjecté du fauteuil bourré et escorté pour plier ses bagages vers d’autres rivages. Le manu militari n’est pas écarté dans l’ensemble des possibilités à la disposition des institutions régaliennes.

C’est bien dommage pour ce trompeur à la tête du géant de l’Amérique qu’il ne pouvait engager un deal débile avec l’OEA et consort qui n’ont certainement pas aux USA le pouvoir d’ingérence de s’infiltrer dans les centres de tabulation pour démantibuler, affabuler et infliger des faux-élus, des non-élus et des mauvais-élus au détriment des principes démocratiques.

Le détenteur du savoir infus de lire dans l’ombre pour crier à un scandale d’irrégularités, est éperdu dans un discours confus de refus anticipé de concéder sa défaite selon l’élégance requise. Ce faisant, monsieur Trump s’est montré insouciant dans sa mission d’attiser la colère de ses partisans dans un cadre de vie déjà tendu où le tissu social décousu nécessite un leadership empreint d’empathie, d’unité et de fraternité. Dieu merci, le discernement étant leur guide, les esprits avisés de la politique, du secteur médiatique, voire au sein même du parti républicain, avaient mesuré le danger des maladresses « trumpistes » qu’ils s’empressaient de condamner.

Chaque « mainstream » média, à sa manière, a censuré le discours dramatique, volcanique et violent du président narcissique interprété comme un coup de massue aux colonnes vertébrales de la démocratie. Les tops networks d’information ABC, CBS, NBC et bien d’autres chaînes de télévision ont vite coupé le micro à l’ancien président turbulent pendant sa conférence de détresse. Même la télévision FOX News, à quelque titre organe de prédilection de la Maison Blanche, a tourné le dos à la colère « trumpiste » débordée d’une surdose de mensonges de forfait électoral, vécue comme l’expression paroxystique de la « Trumperie ».

Si la CNN a laissé ses déclarations mensongères pénétrer l’ouïe, c’était pour rapidement décortiquer au peigne fin la finalité destructrice et schizophrénique d’un Donald egocentrique bouleversé par une défaite évidente, concept qui ne serait pas inscrit dans son champ lexical à lui. Atavisme paternel qui l’a poussé dès son plus jeune âge jusqu’à ses vieux jours septuagénaires à des anti-jeux réactionnaires dans tous les jeux de la vie ; c’est ce que nous révèle sa nièce victime de sa gourmandise multimilliardaire.

Dans son livre[3] au titre captivant publié le 14 juillet dernier, exposant le vécu de son oncle, la psychologue Mary L. Trump a dressé le portrait d’un cas clinique classique nourri par une famille toxique. Consanguine de l’opulent du Bureau ovale, mais d’une autre lignée humaine, la psychologue a étayé que la vie perturbée de son oncle serait la cause de son attitude désinvolte à envenimer les relations économiques et sociales de la nation étoilée, égarée dans l’option de plébisciter un danger à ce poste stratégique.

Le NY Times et le Washington Post ont également tapé fort sur la toile en fustigeant le pédant Donald de sa démarche grossière de tenter de saboter les nobles institutions du pays. De cette brèche béante, la Chine en a profité pour qualifier le théâtre effarant offert par Trump de scénario d’une démocratie tournée à la farce.

Carrure lacunaire, posture arbitraire d’un leader non avisé, la grosse pointure de la première magistrature a failli bousiller les pylônes imperturbables de la faculté de discernement. Au cours de sa mandature de fracture, l’outsider politique de l’après Obama a laissé une facture salée en gâchant le pacte de la fraternité signé entre les citoyens, qu’ils soient bleus ou rouges, Noirs ou Blancs, hommes ou femmes, de gauche ou de droite.

Les va-et-vient du président déchu en ses messages périlleux inféodés dans un complexe de cafard, pour dénoncer des anomalies électorales injustifiées, ont été des catalyseurs pour amplifier les dissensions et inciter à la violence. Lapsus ou manque d’un cursus personnel, le bon sens ne peut tolérer ce vecteur pervers d’un collapsus à la crédibilité du processus le plus démocratique de l’ère moderne.

A l’image de McCain en 2008 ou de Gore en 2000, America réclame qu’un bon citoyen soit au-dessus de la mêlée. Il doit se démêler pour éviter une certaine volupté occulte de culte de personnalité en privilégiant la faculté de consensus et de dépassement de soi. Il saura dès lors faciliter des victoires de la patrie sur sa partie et admettre la primauté du logo national sur son ego personnel, quitte à ce qu’il mouille plusieurs tissus. Sir ! We are tired ; and You are Fired !

En bon leader, le vainqueur tient un discours rassembleur

Face aux intox républicaines, la riposte démocrate qui s’accoste aux valeurs démocratiques du respect du décompte de tous les votes, y compris ceux attendus de la Poste, a été plutôt impeccable.

Bien bandé sur ses deux pieds malgré ses 78 ans, Joe Biden ne joue ni ne badine avec ce timing décisif qui requiert proactivité vis-à-vis de cette volonté kamikaze de l’autre camp de tromper l’œil. A travers son discours zen et open, en guise de correction au zenyè du Bureau ovale, Joe rassure son band qu’il remportera la « golden medal », après comptage exhaustif des votes de tous et de chacun. Et jure-t-il, à la suite de la proclamation de son triomphe, il ne sera ni bleu ni rouge. Il se mettra au service de tous les citoyens et de toute la nation, sans distinction de couleur, de genre, de religion,…, et de parti politique.

« Gardez vos calmes, soyez patients, nous sommes confiants que la victoire sera dans notre camp ». Il faut reconnaître aussi que l’ancien vice-président consensuel est « Barraké » par un coaching présidentiel protocolaire et persuasif avant de s’embarquer dans la guerre dialectique pour se tenir derrière le lutrin pour embaumer la toile, les ondes et les salons d’un discours rassembleur et respectueux. Les renforts énergiques fournis par la prometteuse colistière Kamala Harris, ont sans doute également corroboré la posture rassurée du nouveau président.

Capacité cognitive, écoute active et intérêt de s’accrocher aux références historiques et légales, cela fait une différence énorme entre les protagonistes de la logique qui raisonnent de manière vivide et les antagonistes qui résonnent comme des tonneaux vides.

Depuis le premier débat présidentiel d’ailleurs transformé en pugilat, on sentait que le cafouillage empêchait à l’éclairage de luire de ses mille feux. La stratégie du tapage, résultant en des feux de paille, constituait la méthode républicaine pour bloquer le message démocrate. Le radotage avait fait obstruction à l’étayage à la tribune de la « Case Western Reserve University »  qui avait été infortunée de se réjouir d’une bataille dialectique et maïeutique plutôt dégainée dans une rengaine de rancune. Le présentateur vedette de la Fox News, Chris Wallace, avait perdu le contrôle de ce tête-à-tête traditionnel galvaudé par une tête de pioche entêtée dans des interventions calamiteuses, sans queue ni tête.

Sur le plan de la forme, c’est vrai que des leçons ont été tirées pour éviter une deuxième confrontation de polémique chaotique à la « Belmont University », notamment en pourvoyant l’exquise modératrice Kristen Welker de la discrétion de couper le micro à volonté aux intervenants. Cependant, dans le fond, en termes de capacité d’implémenter des projets de politique publique, on y assistait à des échanges à sens unique. Le démocrate exposait des réflexions et des projets économiques et sociaux portant sur le climat, l’énergie, l’assurance médicale, les lois fiscales, la hausse du salaire minimum, etc. L’autre tuait le temps en des diversions, des inculpations, des accusations fallacieuses, voire des attaques familiales. Vu l’écart sur le fil constaté, il est avéré définitivement que les débats ont été payants pour le nouveau commandant en chef, Joe Biden.

L’indécence, les invectives, le mensonge ; Trump, c’en est trop ! Le peuple américain a joué sa partition pour redresser la barque en péril vers un retour à l’équilibre en restaurant la compétence, la convenance et la gouvernance avisée dans les sphères décisives pour assurer le destin de leur nation. Le règne de la médiocratie a certainement encaissé un sacré coup.

(Restez branchés pour les prochains articles traitant du même sujet)

Carly Dollin

carlydollin@gmail.com 


[1] Les résultats Georgia (16 votes) et le North Carolina (15 voix) ne sont pas encore définitifs. A cet instant où plus de 99% des bulletins ont été déjà dénombrés, nous faisons l’hypothèse que le candidat accueillant le plus de votes sera vainqueur dans ledit Etat.

[2] Dans « L’échec de l’aide à Haïti, dilemmes et égarements », 2019, C3 Editions.

[3] « Too Much and Never Enough: How My Family Created the World’s Most Dangerous Man », a été vendu à près d’un million d’exemplaires le jour même de sa publication le 14 juillet de cette année.

1 COMMENT

  1. « Le savant n’est pas l’homme qui fournit de vraies réponses ; c’est celui qui pose les vraies questions. » Claude Lévi-Strauss

    Dès le 2 novembre, j’avais prédit la Victoire de Joe Biden, en mettant en exergue pour le compatriote Gumais Jean Jacques ce qui suit, « La pandémie de Covid-19 constitue le 12è homme de Biden… » [1] Je ne veux pas analyser votre article comme je l’avais fait pour le compatriote Jean Jacques. Mais, je vous demanderais de regarder au-delà de la « Trumperie, »sans se presser. Et ce n’est pas le président élu ou des Mr « yes we can » qui peuvent donner un second souffle au chef du « free world. » Bagay yo grav… Konpatriyot, ouvè je w mwen konnen w kapab!

    [1] https://rezonodwes.com/2020/11/02/gumais-jean-jacques-pourquoi-joe-biden-na-davance-aucune-chance-contre-donald-trump/

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