« Chronique de la Décadanse du Chef Suprême », un livre de l’humoriste Castro Desroches

Port-au-Prince, vendredi 8 octobre 2016 (rezonodwes).- Après la publication par le jeune écrivain Waglet Livert, en mai 2016 dernier de « Martelly au pouvoir, une réplique de la conscience révoltée » un bouquin qui donne beaucoup à penser au travers de ses nombreuses lignes de réflexion ; et maintenant depuis le jeudi 6 octobre, est disponible sur Amazon, une autre publication de la radiographie sans concession des 5 ans du régime de PHTK au Palais National. Son titre « Chronique de la Décadanse du Chef Suprême ».




A l’instar de Livert qui a écrit que « Sous l’administration de Michel Martelly, penser l’Etat n’était pas au premier plan », l’humoriste Castro Desroches cloue le régime Tèt Kalé/PHTK au piloris, en plaçant son livre dans le contexte d’ « une guerre de guérilla, contre le régime anachronique et carnavalesque d’un autocrate du Quart-Monde ». Avec ce roman satirique, Castro Desroches qui a déjà connu un succès fou après la sortie de son premier roman « Les Enfants Malades de Papa Doc », confirme avec éloquence et inspiration ses talents de satiriste.




Le roman satirique de M. Desroches dans lequel il fait allusion à « un arsenal de gros mots et de gestes obscènes dont il (Ubu, personnage fictif) fait un usage abusif » survient à un moment où l’Amérique est révoltée contre Donald Trump pour des propos désobligeants tenus envers une femme en 2005. Pour l’auteur, le satrape en « décadanse » était incapable de mettre à exécution ses rêves répressifs, et pour finir selon lui, il se débat dans un labyrinthe de contradictions donnant « à voir tout le pathétique de la maladie du pouvoir » chez le Chez Suprême.




« Chronique de la Décadanse du Chef Suprême », un roman satirique qui reflète le miroir d’un homme d’état sans vision, à découvrir sur Amazon dès aujourd’hui. Avec ce nouveau livre, Castro Desroches, tout en ravivant notre littérature, se rapproche du genre de deux grands paroliers haïtiens, Justin Lhérisson et Maurice Sixto.