Funérailles d’un code pénal bancal mort-né !

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Une messe expresse s’impose pour chanter les obsèques des mœurs perverses propulsées par le code pénal immoral, déloyal, dépravé, stéréotypé et mal calqué qui plonge la barque nationale dans une confusion abyssale à l’image d’une tour de Babel qui rend la part belle aux gueules belliqueuses qui traitent l’ancienne Perle des Archipels  caribéens de la seule poubelle de l’Hémisphère.

Lundi 6 juillet 2020 ((rezonodwes.com))– Le moment est urgent pour que la jeunesse, la sagesse et la hardiesse populaire se dressent contre la maladresse transgenrée, l’ivresse des dérangés et la bassesse des dégénérés, en organisant des kermesses morales, pastorales, professorales et magistrales par le truchement des chorales, à l’oral comme à l’écrit, exprimant les maux subis et les mots ras-le-bol pour mettre fin à cette détresse anomique, atypique, diabolique, tragique et chronique. Sinon, ce scandale cérébral, carcéral, amoral et animal causera la mort subite de notre république, quoique prestigieuse, altière, fière comme notre bière-prestige et singulière par son passé historique féerique qui jaillissait une lumière universelle à travers la trilogie magique liberté-égalité-fraternité.

Depuis belle lurette, une gouvernance mazette – engendrée par des vedettes de dettes non honorées, des têtes déshonorées et des gueules de logorrhée – génère un stress systémique résultant en des dysménorrhées, des diarrhées et des aménorrhées de toute une société lamothée, martelée et jovenelisée dans un navire ivre badigeonné d’imposture, de rature, de sinécure et d’inculture.

En effet, la sonnette d’alarme doit être amorcée pour sortir de cette léthargie et donc sauver la patrie pourrie, décatie et meurtrie de cette hémorragie critique provoquée par une décennie d’hérésie, d’ineptie, d’inertie, d’épilepsie et de médiocratie rancie causant une grossesse politique ectopique en perdition. A quand donc la césarienne salvatrice à inciter par les pensées libératrices et les forces motrices pour extirper les fils corrompus et pervertis de la matrice de cette Haïti souffrante et agonisante?

D’une poussée démoniaque des plus maniaques, ces pestiférées parachutées dans les postes clés de la cité sont possédées par l’ange déliré de la cécité, la surdité et de la lignée des pires prostitués. Ainsi, l’exécutif, le législatif et le judiciaire sont dépossédés des facultés de la raisonnée pour penser, superviser, cogiter et méditer la destinée dans la direction de la beauté, la bonté, l’intégrité, la félicité et la magnanimité. Pendant que les infortunés de la communauté nationale s’évanouissent dans l’insomnie, l’atonie et l’agonie, les sadiques du régime sanguinaire, bouteilles de vinaigre et rigoises en main,  les font monter le calvaire de la Gethsémané pour les acculturer, les accoupler contre leur gré, les déshumaniser et les décapiter. « Peuple, pardonne-leur, car ils savent bien ce qu’ils font ».

Le plat complet de la médiocratie

Dans la foulée, cette équipe tachée, hantée, damnée on dirait émanée en dehors de la méditerranée, de tendance délabrée, désorientée et obsédée, verse dans la monomanie, la mégalomanie, l’érotomanie, la nymphomanie et la démonomanie pour compliquer le contexte miséréré débordé, occasionnée par une présidence uppercutée, électrocutée et percutée par l’iceberg du Petrochallenge. La vanne de la caravane a été verrouillée à triple tour suite à l’effervescence populaire pour exiger de stopper la valse de la caverne d’Ali baba cernée en des contrats publics paraphés dans la folie, la pédanterie, l’anomalie et les délits d’initiés couplés de surfacturation et de pluri-facturation.

Sur une autre facette, les requêtes dévergondées des vedettes sexuelles de l’extérieure pour déshydrater la grandeur, la pudeur et les valeurs internes, sans conteste en contrepartie de promesse de recettes électorales opaques, ne souffrent guère. Aujourd’hui, les coquettes pantalettes Victoria Secret des silhouettes des markets d’en haut, les couchettes des fillettes à peine pubères  comme les culotes obsolètes et sans étiquette des porteuses de sandalettes vont se déchiqueter à l’aveuglette, en des pirouettes zokiki et des navettes crasseuses si aucune arrête ne s’apprête dans la célérité de remonter les bretelles et les jupons des valeurs intrinsèques de la cité sacrifiées par les marionnettes de cette société secrète du PHTK.

Haïti est sur la sellette pour devenir la prochaine destination des débandades d’un tourisme sexuel juteux pour les forces chtoniennes mais honteux pour la société digne. Les gonzesses vont tomber dans des grossesses indésirables et non désirées agrémentées de leucorrhée, de pyorrhée et de proctorrhée pour accoucher dans la césarienne des progénitures immatures abandonnées par des aventuriers épicuriens et des géniteurs vauriens.

En plus des orphelins paternels multipliés par des mesquins, des coquins et des vilains de la Minustha et d’une palanquée de factices institutions philanthropiques, de nombreux autres malandrins renforçant leurs engins spatio-corporels planifient de déguster et dépuceler des fillettes juste en contrepartie d’une surette ou d’un pain baguette dans des libertinages autorisés par les dérapages, les déboitages et les sabotages du beau paysage via la promotion d’un esclavage sexuel moderne scellé par des sauvages officiels au service du matraquage de l’équipage vers un carnage et un naufrage à la Titanique.

A la faveur de circonstances propices à la conspiration, l’opacité, la caducité, la voracité, la parasité et la promiscuité, l’ineffable splendeur de la médiocrité prend de la maturité et de la vivacité dans la barbarie, la boucherie, l’ânerie, la chicanerie, l’apatridie, la flatterie et la scorie. A s’interroger si à l’issue de cette idiotie cavalière de la présidence bananière, la polyandrie et la polygamie de l’insu au visu légal, sous la bénédiction de la cathédrale, ne se mêleront pas très bientôt de la causerie de la fâcherie envahie par la travestie défendue à cor et à cri par les pervertis d’habitude suspecte et d’attitude infecte au service de la platitude.

Des experts pervers, derrière cet impair

A bien analyser la pénalisation sociétale de ce code pénal de publication secrète et d’acquisition aux enchères qui propulse la perversion, l’inversion, la gangstérisation et la malversation, l’esprit avisé est perplexe, se demandant si ce ne sont pas de nouvelles versions des missions de distraction, de pression, de persécution, d’aversion et de diversion afin de nourrir la stratégie de procrastination pour dégager des jours supplémentaires au profit des tonneaux vides quitte à ce que les moteurs de la sécurité, la stabilité, la santé, la longévité et la prospérité continuent d’être laminés et tourner à vide dans un contexte « post-Covid » dubitatif.

En théorie comme en pratique, tant que la badinerie, l’escroquerie, l’escobarderie et la gloutonnerie ne soient déguerpies pour laisser la place à l’affinerie, la buanderie et la curie, la patrie appauvrie ne fera que languir dans la peur, la douleur et des odeurs puantes.

Le peuple n’en peut plus de gober les pilules hostiles de ces séniles débiles et pédophiles qui procurent des biles et des afflictions amères fabriquées aux laboratoires sacrificatoires pour incinérer les richesses immatérielles. Le peuple exige à ces bandits, maigris et figidis de gommer leurs ramassis de majigridis pro masimadi d’ici Lundi, Mardi ou Mercredi, sans prolongation, sans procrastination ni masturbation intellectuelle.

Que cette débauche se fauche au stade de l’ébauche!

Sans vignette, sans pincette, sans sonnette, les maisonnettes, les fillettes à chênette et aux gencives violettes, nos sœurettes, les Renettes, Poupettes, Choupettes, Ginettes et Pierettes seraient libres de monter des piécettes de sucettes « pornographiques » sur des planchettes et des tablettes, avec des bêtes comme des coqs, des serpents, des chiens, des chats, des poulettes et des mulettes, sans sourciller et se soucier du reste. Merci ingénieur !

Quel est le véritable «target» de ces squelettes sans têtes aux manettes stratégiques entêtés à anéantir ce petit coin convoité de 27 750 km carrés de la planète en des tempêtes de matinettes et de soufflettes pour transférer dans le réel les maquettes virtuelles en des bordels sexuels au profit de faux amis de la patrie en des séries de septième ciel démentielles? 

Les balises pétrissent, périssent, s’enlisent, s’avilissent et se dévalisent dans une kyrielle de bêtises inédites. La presse défraie la chronique en caricaturant une société embrayée, broyée, débraillée et déraillée qui effraie les adeptes des institutions sacrées versées dans l’éducation, la santé, la famille, la culture, le loisir et la saine ambiance. A qui ne sait où il va, le vent n’est jamais favorable. Une allumette s’allume près d’une cuvette de gazoline prête à exploser le corps social en miettes morceaux en un véritable théâtre à la Sodome et Gomorrhe.

De ce décor apocalyptique provoqué par les matadors kwashiorkors et les majors de la catastrophe, les morts n’auraient pas tort de partir tôt pour éviter d’être victimes consentantes, coupables ou responsables de cette chute en parachute déchiré pour créer à dessein des putes dans la puérilité, la précocité, l’animalité et l’animosité ? Les comportements pressants des bons vivants sauront infirmer ou confirmer, en des œuvres énergiques anthumes, cette hypothèse  de mauvaise presse en des exhibitions sexuelles interraciales, inter-espèces, inter-espaces sans contrôle, sans réserve, sans crainte.

Sans délai, sans détour, sans dilatoire, les secours oratoires, écritoires, notoires et méritoires sont sollicités pour forcer la victoire jubilatoire de notre territoire dans un retour à l’équilibre en vue d’éviter que ces vautours nous exterminent à l’abattoir.

Les forces vives de la société sont interpellées à se mobiliser en vue d’embrayer les moteurs de la vigilance, frayer les chemins de la gouvernance avisée, enrayer l’imposture, la « dénature », la désinvolture, les ratures, les déconfitures, les « chelbertures » des mauvaises pointures des préfectures, de la primature et de la haute magistrature. Il faut décidément expulser la bêtise, la hantise et la traîtrise de l’hypophyse des institutions stratégiques de la république si l’on veut renouer avec les Best Practices tangibles et intangibles.

Dieu dit que la lumière soit ; et la lumière fut ! La voix du peuple étant la voix de Dieu, le peuple fier et décent doit alors descendre sur le macadam, pour brandir sur la toile comme en des pluies d’étoiles, la bannière de la lumière et la justice dans une clarté lumineuse afin de bannir les actes odieux et faire jaillir la puissance de la science et de la conscience dans la quintessence, la magnificence et la luminescence.

Périssent les faussaires, les corrompus, les dévergondés, les ratés, les complexés, les menteurs, les imposteurs, les flagorneurs et les usurpateurs officiels. Haïti ne doit pas périr !

Carly Dollin

carlydollin@gmail.com 

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