Les saxophones détonent et les neurones des tonneaux vides officiels déconnent comme à la Babylone en des tonnes de mesures acculturées pour s’aligner avec les maldonnes des anglophones de la famille « Sisonne » et des francophones de l’Hexagone et de la Feuille d’Erable, en accordant le feu vert allochtone de travestir les testostérones en des progestérones.
Jeudi 2 juillet 2020 ((rezonodwes.com))– Grâce présidentielle grotesque, charlatanesque et cauchemardesque; mesures difformes orientées transgenre, masimadi, magigridis et figidis, un bordel sexuel, criminel et démentiel se dessine en filigrane, en italique et en gras sous la chapelle de ces officiels chanpwèl à travers les décrets indiscrets et arbitraires manipulés en secret par des pervers de l’extérieur, détenteurs du brevet des déchets culturels, de la dépravation et de la prostitution.
Dans le concret comme dans l’abstrait, l’ivraie de facto semé à la primature martyrisée aurait dit vrai en soutenant la thèse d’une détresse à vitesse titanesque sous l’ère de cette équipe pervertie dirigée par un Moïse dilapidateur, usurpateur, menteur, imposteur et dictateur qui chavire cyniquement le navire vers les mœurs répugnantes de la Babylone, sans turbulence, sous l’ingérence, avec virulence, dans l’insolence et en toute tolérance. Le Moniteur aura bu la ciguë, voyant de toutes les couleurs sous le monitoring, le consulting et le coaching de ces géniteurs du kidnapping et de la catastrophe de la patrie qui pourrit dans une décennie de médiocratie rancie convertie en kakistocratie.
Du train que ça va, la chute intégrale de la barque nationale est imminente si aucune force de rééquilibrage ne se dresse dans la célérité pour freiner ces Larrons du démon et de l’Armageddon dans leur schizophrénie, leur petrophobie, leur pyromanie, leur boulimie et leur flagornerie envers les patrons, les Tontons macarons et les Macrons qui leur procurent quelques bouffées d’oxygène toxique dans la bulle officielle badigeonnée.
Les anti-jeux du régime détraqué pour éviter son hors-jeu politique
Piège insidieux de renforcer les milices sinistres pour inviter le peuple comique en ses comices d’immondices, les affairistes politiques manigancent et manipulent les règles dans l’inélégance, l’insouciance, l’arrogance, la déviance et l’aberrance. A quand donc la prégnance de la vigilance des instances de défense de la collectivité en quête de la délivrance des âmes du terroir et de la diaspora de cette tendance vers la déchéance exhibée par cette équipe moribonde ?
Des officiels serviles et débiles « De l’Ile » véhiculent la pilule de la diffamation d’épingler des boucs émissaires tout en s’infiltrant dans la «Lucmanie» et la mégalomanie de péter rond avec leurs fesses carrées en promettant d’offrir du Barbecue à la société en contrepartie de la paix dans la Cité. Déclaré Wanted et Persona non grata, le criminel notoire au service de l’équipe en place prononce des discours toxiques dans les médias en ligne, en épousant la même posture que son homologue compatriote au contrôle des forces de l’ordre ténébreux, avec la trame du bicolore national. Cherisier passe en dérision le chef de file de la justice biaisée du pays qui prétend mobiliser des ressources colossales contre des terroristes et des assassins de grands chemins. « Lè ou tande pete lan bouda Timal, ou ka ba li chay li pa ka pote ».
La matrice du PHTK a accouché un dernier démon, G9 et Alliés. Ah oui, nos oreilles sont tout ouïes et nos « G » tout neuf, grands ouverts, pour assister à la course à la sénatoriale et à la députation de cette dernière entité chtonienne composée de «Wanted» renforcée avec la «disgrâce» présidentielle qui promet tôt d’élever à un plus haut niveau la bannière de la gouvernance mazette dans un guet-apens électoral au profit du régime politique en place.
« L’échec est orphelin et le succès a plusieurs pères ». Faudrait-t-il mobiliser le service des devins pour déterminer sur quel nom la feuille « du rituel circulaire du balaie et de chaise en paille » va être collée pour indexer le principal fautif de la bêtise présidentielle de faire sortir du Pénitencier 450 prisonniers dont des dealers, des kidnappeurs et des tueurs professionnels? Liste modifiée, inversée, désorientée et réorientée dans une boîte noire inventée de toute pièce, la présidence accuse, la protection du citoyen fustige et la justice se dédouane. La DAJ semble avoir le dos bien large dans cet outrage à dessein planifié d’en haut où les bandits officiels prennent le large pour offrir une dernière série à la Jack Bauer aux tifosis de la Hollywood impatients de déguster du neuf sous les auspices du G-9 et des nouveaux alliés Krisla, Tije, Groje, Nenkankan, Gwovan, Ti-Lapli. A défaut de se rassasier en passant et repassant des séries d’horreur, tragiques et comiques déjà vues, depuis la dictature de la Covid-19, les Mister-Bean, les mousquetaires, les Pinocchio et les Mohicans du PHTK promettent de gâter les cinéphiles « en vivo » avec une série originale, sans nécessité de débiter leurs cartes de crédit ou de débit. Il suffit de brancher les réseaux sociaux pour voir défilés tous les animaux, les chimpanzés, les serpents, les lions, les rats, les loups, les renards, rivaux comme alliés, dans des métamorphoses moroses de leaders à dealers et d’officiels à criminels. Le PHTK en action !
De faux bergers, si légers dans les règles !
« Je jure, comme avocat, d’exercer mes fonctions avec dignité, conscience, indépendance, probité et humanité ». Foutaise au bercail !
A l’aune de l’éthique, la dignité, la légalité et la moralité, la balance calibrant la tête, le tronc et les membres des moches racketteurs de la basoche marque le néant. La toge se décroche dans l’infamie et patauge dans la bamboche pour compliquer même des anicroches moyennant que les poches et les sacoches «judiciaires» se remplissent de pactoles en provenance douteuse.
En référence à la vanité, l’avidité, l’inanité, la cupidité et l’indignité, c’est plutôt vers la borne plus l’infini que converge l’indicateur qui capte le poids de ces individus ignobles qui changent de langue, de ton, de son, de fonds, de bâton, de direction et de position comme on change de chemise.
Sous les auspices des magistrats malfrats, des juges injustes, des avocats renégats, des greffiers chosifiés et des notaires faussaires, la justice est cette femme aux yeux bandés qui voit de toutes les couleurs. La sagesse de Salomon crucifiée, le sens de l’équité méprisé, la pitié pour la veuve oubliée, l’indulgence envers l’orphelin refoulée dans l’inconscience, ces personnages de loi sans foi ni loi font les enchères avec des verdicts susceptibles de se solder cyniquement à libérer la délinquance et incarcérer l’innocence. Jeux malsains de mesquins, de coquins et de vilains, ces juristes affairistes y sont passés pour des experts. « Catch them if you can ! ».
Difficile de coincer légalement les criminels, dilapidateurs et bandits dans leurs œuvres lucifériennes dans la mesure où ils souscrivent au jeu pervers du plus offrant, leur seule porte de sortie. On sait que c’est le scénario le plus probable alimenté par les espèces de dégénérés de la société secrète du «Bas-Haut» instable qui sont déterminés dans les envolées déséquilibrées pour générer de la fortune mal acquise.
L’esprit des lois de Montesquieu stipulant « Le pouvoir arrête le pouvoir » est tordu en « Le pourboire libère le pouvoir ». Les racketteurs du barreau taraudent les socles du noble métier empoisonnant ainsi les eaux de la paix et de l’équité. Par la même occasion, la justice se prostitue, se marchande, se vend et se vilipende dans toutes les sphères de la république.
Les bandits, sous les jupons receleurs de l’exécutif
La justice et la police ont très peu de jus pour faire face aux dealers de cocaïne et de kidnapping bien connus dans la cité qui détraquent, matraquent, outragent et prennent la sécurité et la paix en otage. Réseaux de falsificateurs, vols de véhicules, enlèvements et criminalité, ce ne sont pas les preuves qui manquent pour mettre des anciennes têtes officielles en situation d’échec et mat. Malgré les preuves tangibles et les pièces à conviction à la disposition des institutions de vigie – exposant dans une clarté obscure les morsures, les ratures, les rages et les actes odieux de certains animaux officiels détraqués et protégés par le régime – les suivis ne sont jusqu’à présent pas assurés pour les traquer et les mettre en cage. Tant que cette équipe inculte et cupide surfe dans l’imposture et la sinécure officielle, « l’enquête biaisée se poursuit dans une boucle infinie » !
Des antennes de l’OAVCT, la PNH, la DGI et la Douane parlent et déparlent dans les auditions dressant leur connivence avec des réseaux mafieux, soit leurs patrons respectifs. Règne de banditisme officiel aidant, ces crapules circulent, sirènes tonitruantes, comme des poissons dans l’eau dans toutes les sphères de l’administration du pays. Outre les backups officiels, ils ont des avocats grosse gorge comme les Georges derrière leurs bananes. Ce ne sont surtout pas les fébriles des nouvelles promotions de la section juridique qui vont radoter et objecter en des notions ampoulées de circonstance atténuantes, In Limine Litis, pour s’opposer péremptoirement à un vieux de la vielle à l’image d’un gourou du nom d’Osner. Même Chévry, issu de la même famille d’ailleurs, ne peut déguerpir Févry de ses terrains mal acquis. A y penser seulement, « il aurait buté sur Georges ».
Ce n’est pas sans raison que l’on retrouve en permanence ces grandes gueules et experts en écritures et palabres louches dans le sillage des institutions maculées et des mains souillées comme le palais national, les organismes autonomes et les ministères. Il n’est pas donné à tous le don de transformer des 6 en 9 et des bourreaux en victimes pour faire paraître blancs comme la neige des individus extraits dans des sacs de charbon. Compliments à cette hégémonie cupide de la basoche qui salit la toge !
La Cité est énervée et écœurée de constater de hauts degrés du légal et du pénal dénigrés au gré de l’argent facile pour se désintégrer de la classe des fiers disciples de Cicéron et de Jules César pour plutôt émigrer vers le canal de l’injustice et la terreur.
Dans un bref délai, la société doit faire rentrer ces décrets pervers comme des « faux kòb» afin de cesser cette dérive vers la Babylone !
Vox Populi, Vox Dei ! Haïti n’en peut plus !
Carly Dollin
carlydollin@gmail.com