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L’approche synthétique qui suit prouve que des milliers d’enfants et de jeunes Haïtiens auraient pu sortir du cercle pernicieux de la pauvreté pour frotter avec des corps et des cerveaux sur les sols compétitifs de l’Amérique du Nord et de l’Europe en faisant valoir leurs potentiels dans ce jeu physique et psychotechnique dominé par Serena Williams, Nadal et Federer.
Vendredi 31 janvier 2020 ((rezonodwes.com))– Il n’est besoin que d’une vision éclairée, un leadership avisé et un sens poussé de l’intérêt collectif pour transformer ce projet virtuel en pure réalité.
Défier l’impératrice et la plus titrée de la « Women’s Tennis Association” (WTA), couronnée championne 23 fois dans les compétitions de Grand Chelem, les observateurs sportifs les plus curieux continuent d’explorer des pistes pour fournir des explications plausibles susceptibles de décrire avec clarté la majestueuse victoire1 d’une « novice » de vingt-et-un (21) ans face à la géante Serena Williams à l’US Open, en septembre 2018. Quatre mois plus tard, la nouvelle icône mondiale du tennis féminin, Naomi Osaka François, allait confirmer ses talents en réalisant le « back to back » à l’Open d’Australie2 en savourant sa victoire sur la longiligne Tchèque, Petra Kvitova.
En dehors du champ de jeu, Nahomie est d’une souplesse et d’une candeur sublime qui frôlent la magnificence. Sur le terrain, les adversaires tremblent devant l’agressivité du jeu précis de la championne multiethnique du tennis féminin. D’une force de service filant à 125 miles à l’heure, Nahomie a déjà vendu la mèche en créditant les mets succulents3 préparés par ses grands-parents paternels comme la principale source de sa vigueur à la Samson lui permettant de ravir des triomphes impossibles aux lionnes Américaines et Européennes de ce beau jeu individuel.
N’étaient le climat politique malsain et la mauvaise gouvernance qui sévissent au pays, à l’issue du sacre de Nahomie Osaka François, Haïti serait l’objet d’une destination touristique savoureuse pour les sportifs internationaux évoluant au plus haut sommet.
Les managers, les compétiteurs, les clubs, les entrepreneurs de l’industrie du sport cherchent à marquer une différence dans le plus petit détail pour se démarquer de leurs rivaux. Qu’il soit le régime alimentaire, les qualités techniques ou les capacités physiques, tout est mis en valeur pour prendre des longueurs d’avance sur ses concurrents.
La corpulence physique, la taille, l’élégance, la rapidité, la vista, la vitesse, les habilités, l’endurance, la réactivité, l’esprit de créativité, le sens de l’imagination, la précision, la discipline, le mental, le package méritocratique exigé au professionnel pour s’épanouir dans l’arène surchauffée de la concurrence internationale déborde de facultés intrinsèques et extrinsèques.
La limpide et véridique déclaration virale de Nahomie Osaka sur la toile et dans les médias les plus prisés du monde entier, pour attribuer une énorme partie du crédit de son sacre au « food local » devait faire grimper de manière exponentielle la valeur du café, du cacao, du riz, de la mangue, de l’ananas, de la banane, du pois et du maïs haïtien. Mais, hélas ! Depuis des années, en plus de ses effectifs de touristes annuels qui vont decrescendo à cause de la gouvernance « mazette » de ce régime d’amateurs, Haïti est devenue un importateur net qui reçoit des salamis, des œufs pourris, des viandes « fondanman », des produits avariés et cancérigènes de ses partenaires commerciaux.
Aujourd’hui, Haïti achète la maladie, le risque, la déficience physique et mentale de ses partenaires de la région, notamment de la République Dominicaine, qui se foutent pas mal du bien-être des consommateurs Haïtiens. Parallèlement, le poulet dur haïtien, le cabri, le cocotier, le riz Shella, le maïs et le millet local, tous des produits bio, sont en voie de disparition.
Serait-il vraiment confirmé que certains produits importés du pays voisin, toxiques et de piètre qualité, seraient étiquetés aux usines de fabrication « Made exclusively for Haïti » ? Si tel est le cas, des investigations objectives devraient être menées par l’Etat haïtien pour adresser cette injustice et cette discrimination auprès de l’OMC.
Comme le stipule la théorie du « Broken Window », quand vous imprégnez les esprits des enfants et des jeunes par des références malhonnêtes et des repères désastreux, ils vont avoir tendance à reproduire les images négatives imprimées sur leurs yeux et leurs cerveaux. Dans le même ordre d’idées, les beaux gestes, les belles actions, les références remarquables et les comportements exemplaires seront déposés et ancrés dans les fichiers de la mémoire, puis sortiront en sursaut du subconscient à la première occasion.
Voilà pourquoi n’importe qui, venu de n’importe où, faisant n’importe quoi, fréquentant n’importe qui et vivant de n’importe comment, ne devrait s’immiscer dans les affaires stratégiques d’un pays. Les ministres, les diplomates, les sénateurs, députés, magistrats, directeurs généraux, premier ministre et président doivent être des personnalités classe, de classe, de science et de conscience afin de sauvegarder les valeurs et le prestige de la nation en donnant des exemples inspirants à nos progénitures.
Quand ce sont des imposteurs, charlatans, menteurs, usurpateurs, cupides, flagorneurs et criminels qui siègent dans les institutions les plus prestigieuses du pays, ce sont des places que nous laissons à la mauvaise gouvernance et la médiocratie qui vont hypothéquer le bien-être des générations présentes et futures et détruire les vertus et les valeurs sacro-saintes de la société. Haïti doit sortir de ce marasme social en brandissant carton rouge à cette ère de médiocratie de la pire espèce pour enfin plébisciter la compétence et l’honnêteté au timon des affaires.
Haïti doit emboiter le pas aux pratiques modernes d’exposition des valeurs et de l’excellence
Un maillot porté par Neymar ne vaut plus 100 dollars ; un ballon de basketball dans les mains de Jordan prend de la valeur et ferait l’objet de vente aux enchères. Un livre n’est plus qu’une question de lettres et de mots harmonieusement combinés, s’il a été feuilleté des mystérieux doigts de Dany Laferrière. Les raquettes tenues des mains bénies de Nahomie Osaka sont devenues des objets d’arts à conserver dans les musés sportifs mondiaux.
Voilà pourquoi le Nike, l’Adidas, les grandes marques du sport, de l’esthétique et de la cosmétique se battent toujours pour voir leurs produits accoler aux corps des célèbres artistes et des figures sportives emblématiques de grand acabit comme Messi, Christiano, Ranaldhinho, Nahomie, Serena, Federer, Nadal, Jordan, Usain Bolt, Kobe Bryant, Stephen Curry, Lebron James, etc. Les nobles institutions internationales telles que l’Unicef, l’ONU et l’Unesco font véhiculer leurs messages de paix, de justice et de culture d’excellence par le canal de ces modèles de courage, de discipline et de succès incontestables.
Imaginer les merveilles qu’aurait accomplies Paul Kagame en orientant les programmations des médias, en envahissant les rues, les radios, les télévisions, au terroir et à l’étranger, si Nahomie Osaka était plutôt issue de racines héréditaires du Rwanda.
Profonde gratitude de Nahomie Osaka envers sa souche haïtienne
Une infime chance sur 7.7 milliards d’occuper la tête de peloton dans un domaine quelconque sur cette planète en permanente dynamique de guerre des talents. Une probabilité quasiment nulle de figurer sur la liste des sommités dans un sport quelconque. Une prouesse, un miracle, une merveille de pouvoir détrôner des américaines, des françaises, des canadiennes, des chinoises, des espagnoles, des suisses et des russes intelligentes et appliquées. Pourtant, une haïtienne a accompli ce miracle, avec brio.
Je ne lui confère pas cette nationalité ; aucun apatride, aucun traitre de l’international, aucun journaliste Américain ou asiatique n’a réussi à lui décoller cette fière étiquette et son attachement viscéral avec le pays qui a accouché son père biologique.
Après sa victoire spectaculaire pour décrocher le titre de champion face au génie Serena Williams, Nahomie Osaka n’hallucinait pas à diner avec le président américain, à visiter les multimilliardaires de la Sillicon Valley, à balader avec les stars de la Hollywood ni à faire des excursions à la terre natale de sa maman. Cette enfant nourrie de grands-parents Haïtiens du côté paternel ne tarissait pas d’éloges envers les bienfaits des produits indigènes, du terroir, qui font partie de son secret, de sa force magique.
Elle ne jurait que de faire plaisir à son papa, son premier coach, pour aller célébrer à sa manière, en terre natale de son formidable géniteur qui a façonné son caractère de gagnante. Malgré l’instabilité politique, les risques, les hostilités, les gabegies présidentielles, les scandales judiciaires et l’ignominie parlementaire qui salissaient la toile et l’image d’Haïti, la brave Nahomie Osaka s’est rendue très vite en Haïti, à Jacmel, pour donner de l’espoir à un peuple bafoué, à des enfants démunis et des jeunes désespérés, pour les inciter, les galvaniser, les inspirer et les inoculer le virus de l’excellence, du succès et de la compétitivité qui prend corps d’abord dans le mental.
Les dirigeants cupides de cette décennie catastrophique, ces myopes qui n’ont d’yeux et d’oreilles que pour les sujets qui éveillent les indécences, les impudicités et les distributions déloyales de billets rouges et de billets verts, n’ont pas compris la portée symbolique et historique de la palme remportée par cette digne fille, descendante des génies de la liberté et des victoires impossibles, pour se hisser en première position à la galerie des tenniswomen sur la scène internationale.
Ces indignes officiels n’ont besoin que d’une posture photogénique pour alimenter leur imposture. Sinon des posters avec la célébrité haïtienne du tennis mondial, qu’est-ce que ces gens fort minables ont-ils défendu au profit du pays avec la formidable Nahomie Osaka et la batterie de commanditaires imposants qui déclarent des conflits pour visualiser leurs marques vulgarisée par cette obsédée d’un pays historique, mal administré, qui a vu son père pousser les premiers cris ?
Aucun projet, aucun suivi, aucune émotion, aucune compréhension, aucun comportement objectif et rationnel dans cet acte spectaculaire et face à cette promotion dans les prises de paroles de Nahomie, imprégnées de gratitude et d’un amour agapè pour la patrie.
Le Nike tire sur la corde face à Adidas, les industries de cartoons et de poupées se battent pour faire augmenter leurs indices boursiers en exposant des effigies, des statuts et des photocopies de Nahomie Osaka.
L’original, l’authentique, la vraie se réclame être Haïtienne de sang et de cœur ; elle se livre à corps perdu entre les mains du pays qui a bercé son père. Pourtant, les dirigeants cupides de ce régime politique kwashiorkor n’ont rien compris.
Tous les projecteurs, les yeux, les curieux, les industries sportives et de marques de classe sont braqués sur cette diva, cette surdouée ; tandis que la présidence n’en est pas éblouie. Haïti n’en est pas fascinée. La championne devait elle offrir quelques « gouyads » exhibitionnistes en l’honneur de la présidence pour que cette dernière ait été épatée par cette héroïne de lignée Jacmélienne ?
Humble, sereine et d’une force de caractère exceptionnel, aux invitations incessantes de certains journalistes étrangers pour buffer sa nationalité haïtienne, Nahomie Osaka leur fait des leçons en soulignant d’une fière allure et en caractères gras ses origines ainsi que les mérites des mets haïtiens succulents dégustés dès l’âge puéril à New York et à Boca Raton, à la base de ses frappes surpuissantes et d’une rare précision chirurgicale.
Ils sont légions, les héros Haïtiens de ce siècle ignorés par Haïti
L’écrivain Dany Laferrière dignement assis sur le siège de Montesquieu, au Quai de Conti ; la docteure Shella Saint-Fleur Lominy fièrement placée dans le staff professoral de l’université de New York ; le docteur Samuel Pierre maintes fois honoré par le Canada, pourtant aucune de ces sommités internationales n’est désignée ambassadeur pour vendre et soigner l’image du pays au niveau international. Haïti n’a rien compris.
Parallèlement, des artistes « chawa pete » et « blengbendeng » qui accélèrent l’effritement des valeurs, en faisant exhiber les corps de nos jeunes filles comme des marchandises exposées dans les programmes de carwash, Ti-Sourit, Plat-Atè et Ti-mamoun, sont désignés ambassadeurs de la jeunesse. Définitivement, quels sont le mobile de ces imposteurs, ces usurpateurs et ces acteurs ignobles qui prennent d’assaut les rouages des institutions nobles du pays ?
Le paradigme « Ouvè lespri » doit enfin supplanter celui de « Ouvè le ko ! » afin d’assurer le contrôle du sol, du sous-sol, de la mer et de cet espace riche et merveilleux de 27 750 km carrés. Temps de cesser cette dérive ; Haïti doit emboiter le pas au Rwanda, aux tigres asiatiques et aux pays émergents qui ont su accorder une place princière au renforcement de leur capital humain afin d’emprunter des sentiers de croissance durable et florissant.
Les nations modernes présentent aux enfants et aux jeunes, le courage, le sens de justice, la culture de l’excellence, l’effort, la discipline et l’intégrité comme des modèles à répliquer pour consolider les assises sacro-saintes de la société. Par leurs actes magnanimes, Martin Luther King, Nelson Mandela et Mère Teresa ont été immortalisés dans le panthéon de l’histoire des âmes fascinantes du monde civilisé pour avoir tenu des plaidoiries de justice et la promotion des vertus qui doivent gouverner les nations.
Des musées, des bibliothèques, des prix, des concours et des centres de savoir sont inaugurés, portant les noms prestigieux des écrivains, des artistes et des scientifiques qui ont envoûté les esprits par leurs chefs d’œuvres. Des statuts sont dressés à l’effigie des professionnels du sport en Europe, en Asie, en Afrique et en Amérique. Des compagnies attribuent avec fierté les noms des artistes et des professionnels à leurs marques de vêtements, de chaussures et de parfums pour attirer une clientèle à l’échelle planétaire. Les Municipalités baptisent des rues et des patrimoines culturels avec les noms et les statuts des brillants scientifiques, artistes, sportifs et les honorables leaders politiques dans la perspective de stimuler les générations présentes et futures aux « best practice ».
Aujourd’hui, Paris est en lutte face à Montréal, dans une guerre froide, pour accaparer le patrimoine littéraire né à Petit-Goave, trônant au deuxième siège de l’Académie Française. Le Japon a mené une bataille dialectique acharnée face aux Etats-Unis pour lui ravir l’exclusivité de la nationalité japonaise de cette enfant choyée du tennis mondial, issue de chromosomes haïtiens.
Pourtant, les chronophages de ce régime d’imposture conjuguent les mêmes verbes et font décliner les programmes et objectifs effroyables, au plus haut niveau de l’Etat : bluffer, banaliser, profaner, diffamer, menacer, procrastiner, tergiverser, gaspiller, massacrer, décimer, dilapider, mitrailler, saouler et faire « gouyer » les enfants et les jeunes. Les dirigeants Haïtiens de ce régime politique kwashiorkor sont tombés sur la tête.
Le projet viable à implémenter, sous l’auspice de Nahomie Osaka comme ambassadrice
Au cours de l’année X, Un millier d’enfants et de jeunes Haïtiens décrochent l’opportunité de pratiquer le tennis en Floride, à New-York, à Paris, à Cuba, en République Dominicaine, etc.
De cette cohorte de boursiers-stagiaires, 50%, soit 500 de ces enfants et ces jeunes, parviendront à convaincre les coachs, les managers et les entrepreneurs de leur aptitude et leur habilité à tenir allumé le flambeau de l’excellence jusqu’au niveau professionnel. 30%, soit 300 de ces recrues sont en mesure d’évoluer dans l’arène du semi-professionnel où ils bénéficieront de programmes de bourses de sport-études au sein des écoles et des universités qui les accueillent pour réaliser leurs études en contrepartie de services sportifs au profit de leurs écoles et universités d’appartenance. Les 20% n’ayant pas réussi la première phase en raison de quelques déficits physiques sont quand même prometteurs. Ces derniers ont la possibilité de récidiver dans des stages à l’étranger après une période de six mois où des régimes alimentaires, des techniques et des principes additionnels leur seront pourvus pour refaire surface sur l’échiquier international.
Les sources de financement pour faciliter les stages de ces professionnels en herbe sont multiples. Des ambassadeurs et ambassadrices de ce sport s’attèleront à faciliter des coopérations avec des organisations internationales et des fondations philanthropes qui propulsent le développement personnel et l’épanouissement des enfants dans les domaines sportifs, artistiques et culturels.
Sous l’égide de Nahomie Osaka, figure emblématique du tennis mondial, accompagnée d’autres ambassadeurs tels que Dany Laferrière, Philippe Vorbe, Victoria Duval, Ronald Agénor, etc. les fondations Bill & Melinda Gates, Georges Sorros, Mastercard, Federer, Nadal, Jordan, Oprah et le WTA sauront satisfaire les contraintes budgétaires relatives à ce projet qui vise la diminution de la délinquance juvénile, l’épanouissement des jeunes, la mobilité sociale des enfants et ipso facto la réduction des inégalités économiques et sociales.
A cette étape cruciale, le montage d’un plan de lobbying agressif pour solliciter l’appui de ces entités, s’avère nécessaire afin de persuader les partenaires des effets positifs de ce projet soutenable qui préconise le partage, la culture de l’excellence, la réduction de la pauvreté, la recherche du bien-être et de justice sociale au profit des plus vulnérables à travers la réalisation d’œuvres philanthropes.
Des préparatifs à assurer d’abord au bercail
L’Etat Haïtien aura la tâche de parapher des contrats avec les écoles de tennis pour approuver cette démarche incitative aux pratiques salutaires. Une délégation technique et administrative, composée du ministre du sport, du président de la fédération haïtienne de tennis, de trois coachs certifiés et d’un représentant des parents, vont coiffer cette structure. Laquelle entité administrative, évoluant sous la tutelle du ministre des sports, aura pour attributions principales de définir les conditions d’admissibilité et les critères de sélection à ce programme. Elle accomplira des missions pour détecter les talents dans les écoles primaires et secondaires du pays. Par ailleurs, les cohortes des pépinières suivront une approche dynamique en fonction des offres et des demandes émanant des acteurs et des institutions partenaires qui entreprennent le projet.
Le recrutement des enfants se réalise dans les écoles, réparties dans les dix départements du pays, sur une base méritocratique. En plus des critères sportifs, les candidats subiront des tests d’attitude et d’aptitude pour mériter leurs places dans l’effectif de départ. Des gestes spectaculaires, des exploits techniques, des facultés de réactivité mentale et physique seront établis comme principaux critères pour captiver les membres du comité de sélection qui devront sélectionner les meilleurs candidats pour poursuivre avec ce projet prometteur.
Pour faire face aux contraintes financières et logistiques relatives à cette étape embryonnaire, le comité compte réclamer notamment l’appui des institutions caritatives nationales et internationales dont les fondations Digicel, Sogebank, Unibank, Fokal, et toute autre institution œuvrant dans l’épanouissement des enfants et des jeunes. Orientation fait le vœu de voir ces institutions encadrer les jeunes tennismen et tenniswomen jusqu’à leur éclosion à l’échelle internationale.
Parmi les effets escomptés de ce projet, il convient de noter les résultats suivants :
- Faciliter la mobilité économique et sociale des enfants, des jeunes et des familles ;
- Réduire le taux de délinquance juvénile, particulièrement dans les quartiers défavorisés ;
- Offrir de meilleures alternatives aux enfants et aux jeunes, des deux sexes ;
- Connecter les ressources humaines du pays entre elles, dans les domaines sportifs et culturels ;
- Construire une masse critique de sommités haïtiennes tant au terroir qu’à l’étranger pour encadrer les jeunes, dans l’intérêt supérieur de la nation ;
- Améliorer les infrastructures sportives du pays ;
- Explorer et exposer les meilleurs talents du tennis en provenance de tous les coins géographiques du pays ;
- Encourager l’esprit de saine compétition chez les enfants et les jeunes ;
- Favoriser la cohésion sociale par l’entremise du sport ;
- Améliorer les conditions de vie des familles bénéficiaires ;
- Mettre en exergue les patrimoines culturels et sportifs du pays.
Ce scénario miroitant, pour l’instant virtuel et synthétique peut se tourner en une réalité chatoyante qui fera sourire et prospérer des enfants, des jeunes ainsi que leurs parents.
ORIENTATION cerne au peigne fin les multiples facettes de ce projet viable et prometteur qu’elle partagera avec les partenaires en vue de faciliter son implémentation de concert avec les acteurs préposés à le concrétiser. A l’Etat Haïtien, aux personnalités physiques et morales concernées, de bien vouloir jouer objectivement leurs partitions. L’équipe ORIENTATION est à la disposition de la société haïtienne pour soumettre des offres économiques et sociales, profitez-en !
Carly Dollin
carlydollin@gmail.com
1 https://www.lepoint.fr/sport/us-open-naomi-osaka-l-emporte-serena-williams-s-emporte-09-09-2018-2249746_26.php
2 https://www.bbc.com/sport/tennis/47013268
3 https://www.haitilibre.com/article-25487-haiti-tennis-naomi-osaka-fiere-de-ses-origines-haitiennes.html
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