« À la solde de qui agissent-ils ? » : la Conférence Épiscopale d’Haïti exige la vérité sur les forces occultes derrière la destruction systématique du pays. Dans cette dynamique de délitement institutionnel, certains membres du Conseil Électoral Provisoire (CEP), par leur insistance à promouvoir un référendum dépourvu de légitimité et de consensus national, s’inscrivent
Après plusieurs jours de silence face à l’escalade de la violence, la Primature a finalement pris la parole samedi soir, annonçant une vaste opération de la Police nationale d’Haïti (PNH) contre les gangs armés « terroristes » et accusés d’être en mission « commandée ». Le communiqué laconique, publié dans un contexte marqué par la
Terreur et chaos dans les quartiers populaires de Port-au-Prince. Un vent de panique s’est emparé, ce vendredi 28 février 2025, des habitants de Mòn Dede et de Ruelle Vaillant, contraints de fuir sous la menace des groupes armés qui ont pris le contrôle de la zone. Des familles entières, constatent des journalistes, avec leurs maigres
Rfi À Port-au-Prince, les habitants de certains quartiers continuent de fuir face à la violence des gangs armés, qui continuent à tuer et à imposer leur loi sous les yeux des autorités. Mardi 25 février, ils ont obligé ceux des quartiers de Delmas 30 et ses environs à abandonner leurs maisons. Entre-temps dans la commune
Le silence officiel de la Primature haïtienne face à l’effondrement social et à la violence qui lacère le pays interroge. Depuis le 21 février, aucune communication n’a été diffusée sur les canaux numériques officiels de la Primature, laissant place à une absence qui résonne avec la brutalité du quotidien. Le dernier acte consigné remonte à
Pour les Haïtiens dont le sort est disputé à New York, selon une proposition de M. Antonio Guterres, un autre bureau, après une éventuelle nouvelle résolution du Conseil de Sécurité bien sûr, devrait voir le jour, et ce pour soutenir les forces étrangères dans le pays. La correspondance de M. Guterres ne fait pas mention
CHAIR À CANON DES PROVINCES Par Pierre Robert Auguste Port-au-Prince n’est plus une capitale. Elle a été transformée, sous les assauts meurtriers et incendiaires des gangs commandités et tolérés pour des motivations politiciennes, en un « port aux crimes », donnant une dimension odieuse à l’expression prophétique du président Pierrot. De l’Est à l’Ouest, du Nord au
Alors que le Conseil Présidentiel de Transition (CPT) échoue, ce mercredi 26 février 2025, à écarter le directeur général de l’Unité de Lutte Contre la Corruption (ULCC) – en représailles à la publication d’un rapport impliquant trois conseillers accusés de braquage à la Banque Nationale de Crédit (BNC) – les groupes armés poursuivent inexorablement leur
Haïti : une violence incontrôlée sous fond de luttes de pouvoir, tandis que Smith Augustin, accusé de braquage à la BNC, ambitionne la présidence de transition du CPT. Dans les rues endeuillées de Port-au-Prince, un silence lourd pèse sur les cendres des foyers dévastés. La nuit, les balles déchirent l’obscurité, et au petit matin, les
Une séquence vidéo circulant sur les réseaux sociaux alimente la polémique en Haïti. On y voit un imposant véhicule blindé noir de la police haïtienne stationné au carrefour de l’aéroport à Port-au-Prince. Autour de lui, des hommes en civil paraissent récupérer du matériel à l’intérieur. Selon certaines interprétations, le véhicule blindé aurait livré des munitions
