Décidément, le peuple haïtien doit aller au delà des urnes, contre cette communauté internationale qui veut, depuis un certain temps, imposer à tout prix son vote « anti-peuple » dans le choix des représentants de nos institutions étatiques.
Haïti reste le seul pays où il se produit des choses rocambolesques dépassant l’entendement de toute personne lucide… On a de la peine à vivre le « mal du blanc » dans le pays, vu le caractère inhabituel, irrationnel et intentionnel que revêtent certains des comportements de la Communauté Internationale.
Les agissements du blanc donneraient l’impression « qu’on est » (fait constant) dans un laboratoire où Haïti servirait de cobaye pour un nouvel ordre mondial qui s’appellerait: « politique de la méchanceté internationale. » Il s’agirait plus, ou parfois d’une politique de main mise des pays se disant amis d’Haïti…
C’est quoi « l’amitié » dans les Relations Internationales? – Amitié est synonyme d’intérêts! Au constat, une pure politique de domination face aux misères d’un peuple qui ne respecte pas son histoire. Une histoire d’émancipation des peuples du monde entier. …Et aussi, un pays étant très marqué par les montages du blanc.
D’après les faits, Haïti servirait de modèle d’exemple pour l’Organisation des Nations Unies (ONU) qui voudrait prendre ce cas particulier pour instaurer cette forme de mépris des valeurs humaines tendant au respect du choix politique des peuples à travers le monde. Il n’en serait rien de tel…s’agissant du pays de Jean Jacques Dessalines.
Au fait, Haïti se trouve enveloppée par toutes formes de bêtises.
1) Une posture sociale-publique
Statut d’échange!
Eh bien, c’est sur l’effondrement des familles que vivent la plupart de nos hommes et femmes politiques… Foyers bi-sexués – silence de conservation des privilèges – moralité morte – division des intérêts. Voilà: tout moun ap danse ZaZa ak Palaso.
Une génération détruite méprisant les repères d’antan. Chose, qui doit susciter l’inquiétude citoyenne de chaque entité du pays. Inexplicablement! On vit contrairement aux traditions du peuple de nos ancêtres, un certain élan de responsabilité. La haute modernité importée en » live » au grand jour de l’acceptation de tout le monde… Une politique à la mode du chez du blanc. Une politique dangereuse pour les institutions du pays et de notre mode de vie. Quel est l’avenir pour le peuple haïtien dans tout cela?
2) De la cupidité des hommes et femmes de pouvoir
Par ailleurs, on constate dans le cadre de l’augmentation des émoluments de nos chefs, l’effondrement de notre pont social….
Ne pas aller à l’école, est devenu une référence scolaire pour faire de la politique sexuée au sein d’un État malade de cerveau.
Aller à l’école, n’a définitivement aucune référence scolaire pour des mammifères politiques qui rongent l’espoir des jeunes dans un pays débranché par le mépris des efforts consentis des ouvriers de l’intelligence. Nous présentons nos inquiétudes! Nous n’avons pas la chance de vivre dans un pays qui innove dans le mépris de la masse ouvrière – une masse paysanne négligée et exploitée.
Ainsi, l’État ne crée pas des emplois, des richesses et n’offre pas des opportunités aux plus modestes d’entre nous, le pouvoir de gravir les marches de la réussite. Il nous faut rénover notre pensée nationale et pour cela nous devons aujourd’hui chasser la Communauté Internationale dans notre système électoral et politique. Nous faisons un pari sur les valeurs – non sur la morphologie. Des attitudes-prétextes-blanchâtres qui nous étouffent.
Le peuple relancera et redéfinira les données de la Coopération Internationale: machine de perfusion politique.
Aba! Non à la drogue politique. L’International a échoué. Le Conseil Électoral Provisoire nous a permis de découvrir ce virus mortel du blanc: Tout voum se do! – l’anti-virus est nous : Peuple Haïtien!
Après cette date maudite du 24 janvier 2016, dressée contre notre volonté : un retour à la pensée du peuple est plus que nécessaire.
Haïti a besoin de son peuple dans un élan de mete blan an deyò nan zafè peyi a!
NY, le 20/1/2016
Elco Saint Amand, av.
Kareman fon flanke tout blan deyo ki vle kraze peyi nou an.