Me Elco Saint-Amand : « Trop de poésies politiciennes! »

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Il s’arrêterait d’en parler! Rien ne se fait autour de lui pour l’arrêter…

Il pense que les démarches empreintées du  » rablabla « , sont jusqu’ici simples…

Il lui faut de la violence dialectique – trop de poésies politiciennes!

Selon lui, parler de la politique c’est comme une malédiction qui lie le pays aux hommes de pouvoir – ils ont tous, la même aspiration  » détruire Haïti « .

Il ne prétend pas être un expert de l’analyse politique, il s’adapte à l’exorcisme d’une chasse perpétuelle.

Il est un citoyen léger, mais convaincu que la démarche individuelle va donc brûler l’horizon d’espoir d’une catégorie de citoyen, même au delà des frontières.

Il est lui parmi ils, ceux là qui sont des envoyés de satan – cet ange paternel d’une pratique qui se conjugue dans la tête des politiques du pays.

Il décide de faire confiance à la mer des eaux de pluie, ce phénomène électoraliste qui rend la vie du peuple haïtien plus difficile dans un enfermement de suicide collectif…

Il n’est plus lui, en cette période d’intempéries électorales, il souhaiterait retrouver des hommes et des femmes qui veulent tout chambarder (…) détruire le statu-quo.

Il endurcit de plus en plus, ses propos – en des solutions de révolte. Il se pose des questions en une seule:  » Pourquoi recycler les mêmes tétés? – c’est un manège corruptif et acide au développement du pays.

Il voit l’échec venir, mais comment l’empêcher dans cette pratique délétère où tous les indignes responsables d’État s’accusent mutuellement tout en dressant les vocabulaires d’un patron qui arrive pour la dictée…

Il baisse la tête avec ses mains toutes tremblantes – il consomme l’incompétence dans sa tête de nul.

L’espoir prêché par des candidats est comme le miroir d’une génération étant vide de contenu de révolte. Une révolte pour réussir.

NY, le 5/10/2015

ESA.’.

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1 COMMENT

  1. C’ est super. Il faut nous s’ immiscer dans les affaires politiques du pays pour barrer la route a des gens nuls qui osent dire qu’ il sont sont elus. C’ est donc notre faute si nous laissons la scene libre. Au regne des aveugles, les borgnes sont rois.

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