-sic- « Mais la société haute et cultivée à fermé les yeux et l’état s’en fiche… »
Dr. Harrison Ernest, vos mots sont vrais et résonnent ; mais quelques questions svp ?
L’hôpital général est-il devenu dans cet état de délabrement à partir du jour où vous avez été viré de la RTNH ?
Comment pouvez vous écrire ces mots après que vous ayez été directeur général de la Radio Télévision Nationale d’Haïti et qu’à aucun moment, je ne vous ai vu ni écrire concernant l’hôpital général ni expédier vos équipes effectuer des reportages sur l’état de délabrement extrême de cet hôpital ?
Ne pensez-vous pas que des reportages fréquents de la RTNH (et de la presse en général) auraient peut-être aidé à attirer l’attention de vos patrons (tant ceux de l’état -sic « qui s’en fiche »- qui vous avaient nommé que ceux du secteur privé -sic « de la société haute et cultivée »- que vous cotoyiez régulièrement) ?
Ne pensez-vous pas non plus qu’en 4 ans et demi de ce gouvernement, des réparations auraient pu être effectuées pour offrir un « minimum » de soin de santé à la population ?
MAIS QUI S’EN FOUT ?
QUI Y A PENSÉ ?
Certainement pas vous (non plus), Dr. Harrison, avant cet accident qui a coûté la vie à un compatriote (membre de la presse) dont le corps en coma poirotait dans cet hôpital.
Vos paroles sont vraies, Dr. Harrison, mais taisez-vous, vous n’avez pas la parole.
Je considère sans dignité un homme qui change de paroles en perdant le pouvoir.
(Mais, que dis-je, je ne suis ni conseillère, ni médecin et n’évolue pas dans le domaine de la santé. Je ne suis qu’une conne en colère qui essaie de réfléchir.)
Lisez le texte de Harrisson Ernest sur sa page Facebook.
Tan m renmen tande ti figi san nen sa yo, depiw wè yo fin souse sou yon gouvenman yo vin pase moun figi moun nan tenten. Aprè nan pwochen gouvenman kap moute ya wap tj wè figi yo tankou ti chen vin ap voye l moute.
Gade vigi ti sousou yo, yo san diyite, san karaktè yo pa menm sonje si sosyete ya t pran yo pou moun. Depi se kote ki gen lajan ak pouvwa yo la, yo prè pou yo fè tout vye deal pou yo ka parèt. Pou yo menm yo panse pa gen moun ki konprann ti jes visye yo a.
Roxane Ledan, Je comprends votre position.Vous vous senti piqué, blessé, c’est normal. Après tout c’est vous et votre establishment que le Dr Harrisson pointe du droigt. S’il a été viré, comme vous le dites, Je comprends qu,il a essayer et qu,on a pas accepter ces intervention. Comme il n’est plus sur le dicta de l’establishment, il peut se permettre de dénoncer le non sens. C’est normal que vous vous sentez blessez jusqu’à lui demander de se la fermer. Je sais que vous pouvez la lui fermer et de me la fermer aussi, mais après nous, il y en aura d’autre et votre conscience n,aura nulement de refuge.Je me souviens, qu’en 1985 la meme situation s’était produite et j’ai fais tout mon possible pour sauver la madame malchanceuse, depuis ce temps combien de citoyen ont du faire face à la mort de manière aussi indigne et répugnante. Lorsque nous savons que la minorité possédante s’organise tous au dépend de la masse. Un exemple. Nombreux sont ceux qui utilisent nos pauvres université pour faire des études et, sans meme faire leurs résidence pour payer un peu de ce que leurs études ont coutées, sont partie s’installer à New York sans aucun remord ni peine pour ceux qui ont payé pour eux. Le Dr a trouvé une opportunité pour parler, il a bien fait de parler. Je suis sure que le message est envoyé pour la lui fermer mais la population prend note aussi. Fok sa chanje.