16 décembre 2025
La cheffe de cabinet de la Maison Blanche affirme que Trump a une “alcoholic’s personality” et pense qu’“there’s nothing he can’t do”
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La cheffe de cabinet de la Maison Blanche affirme que Trump a une “alcoholic’s personality” et pense qu’“there’s nothing he can’t do”

La cheffe de cabinet de la Maison Blanche affirme que Trump a une “alcoholic’s personality” et pense qu’“there’s nothing he can’t do”

Source : Fox News – Hanna Panreck

La cheffe de cabinet de la Maison-Blanche, Susie Wiles, s’est exprimée sans détour dans un entretien accordé à Vanity Fair, publié mardi, au sujet de plusieurs figures de l’administration Trump, y compris le président lui-même, qu’elle décrit comme animé par une conviction d’illimitation du pouvoir et de l’action.

Selon les propos rapportés, le président Donald Trump « has an alcoholic’s personality » et « operates [with] a view that there’s nothing he can’t do. Nothing, zero, nothing ». Susie Wiles a toutefois, par la suite, dénoncé un article qu’elle estime « disingenuously framed ».

« Some clinical psychologist that knows one million times more than I do will dispute what I’m going to say. But high-functioning alcoholics or alcoholics in general, their personalities are exaggerated when they drink. And so I’m a little bit of an expert in big personalities », a-t-elle déclaré au magazine.

Susie Wiles a rappelé que son père, le célèbre commentateur sportif Pat Summerall, aujourd’hui décédé, souffrait d’alcoolisme. Elle avait participé, avec sa mère, à une intervention visant à l’orienter vers des soins. Pat Summerall est resté sobre pendant vingt et un ans avant sa mort.

L’article de Vanity Fair rapporte également que Susie Wiles aurait affirmé que le vice-président JD Vance était « a conspiracy theorist for a decade ». Le magazine précise qu’elle a qualifié son ralliement à Donald Trump — après l’avoir critiqué par le passé — de position « sort of political ».

Chris Whipple, auteur de l’article et interlocuteur de Wiles, indique l’avoir interrogée en mars sur la politique migratoire. Selon lui, elle aurait reconnu la nécessité d’un contrôle plus rigoureux des procédures d’expulsion, à la suite de la déportation de migrants vénézuéliens vers le Salvador. La Maison-Blanche avait alors soutenu que ces personnes appartenaient au gang vénézuélien Tren de Aragua et se trouvaient en situation irrégulière aux États-Unis.

« If somebody is a known gang member who has a criminal past, and you’re sure, and you can demonstrate it, it’s probably fine to send them to El Salvador or whatever. But if there is a question, I think our process has to lean toward a double-check », a-t-elle déclaré, selon Chris Whipple.

Mardi, Susie Wiles a rejeté la version de Vanity Fair dans un message publié sur X, qualifiant l’article de « disingenuously framed hit piece » et affirmant que des éléments déterminants de contexte avaient été volontairement écartés afin de construire un récit excessivement négatif et chaotique sur le président et son équipe.

La porte-parole de la Maison-Blanche, Karoline Leavitt, a réagi par communiqué, affirmant que Susie Wiles avait contribué à faire des onze premiers mois de Donald Trump « les plus réussis de l’histoire présidentielle américaine », ajoutant que le président ne disposait « d’aucun conseiller plus loyal » et que l’administration lui apportait un soutien unanime.

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