Nairobi – Le sénateur de Nandi, Kiprotich Cherargei, a proposé d’adopter une approche rigoureuse de la lutte contre la corruption, similaire à celle de la Chine, qui comprend l’exécution publique des personnes reconnues coupables de corruption.
M. Cherargei a fait cette suggestion en réaction aux récentes informations selon lesquelles le gouvernement chinois aurait exécuté un ancien fonctionnaire pour des accusations de corruption s’élevant à 412 millions de dollars.
Il a affirmé que le Kenya devait mettre en œuvre des mesures plus sévères pour lutter contre la corruption, qu’il a décrite comme un problème omniprésent à tous les niveaux du gouvernement.
« Pour combattre et éradiquer la corruption au Kenya, nous devons suivre la voie chinoise et exécuter publiquement les personnes corrompues au sein des gouvernements nationaux et des comtés, du système judiciaire, du parlement et de tous les secteurs », a déclaré M. Cherargei lundi.
Il a souligné que des mesures aussi radicales permettraient d’éliminer ce qu’il appelle le « dragon de la corruption » et de créer une société plus transparente et plus équitable. M. Cherargei a ajouté que la responsabilité et la transparence sont essentielles pour garantir une distribution équitable des ressources et une bonne gouvernance.
The senator attributed his proposal to ideas championed by Gen Z protesters during anti-government demonstrations in June. He noted that the initiative is feasible under the current administration, which has shown commitment to tackling corruption. « This was one of the Gen Z proposals, which is achievable under the current administration, » he said.