« Paroles, paroles » est une chanson qui incarne parfaitement l’élégance et le charme de la culture française des années 1970. Interprétée par la légendaire chanteuse Dalida et l’acteur charismatique Alain Delon, cette chanson est devenue un véritable classique.
Sortie en 1973, « Paroles, paroles » se distingue par son mélange unique de chant et de dialogue. Dalida, avec sa voix douce et mélodieuse, interprète le refrain en chantant les mots d’une femme déçue par les promesses non tenues. À cela s’ajoute la voix grave et sensuelle d’Alain Delon, qui intervient en parlant, prononçant des phrases séductrices qui, selon la chanson, ne sont que des « paroles, paroles ».
La magie de ce duo réside dans l’alchimie entre les deux artistes. Dalida incarne la passion et la déception, tandis que Delon, avec son timbre distinctif, représente la séduction et le charme désinvolte. Le contraste entre le chant et les paroles parlées donne à la chanson une profondeur émotionnelle qui résonne encore aujourd’hui.
« Paroles, paroles » a marqué son époque, non seulement par son originalité, mais aussi par la manière dont elle capture une certaine esthétique française, mêlant l’élégance, la mélancolie et la subtilité des sentiments. Cette chanson reste, des décennies plus tard, un témoignage vibrant de l’art de la séduction et du désenchantement amoureux.
Pour écouter un extrait de cette chanson iconique, vous pouvez le trouver sur YouTube.
Voici les paroles de la chanson « Paroles, paroles » interprétée par Dalida et Alain Delon :
Dalida :
C’est étrange
Je ne sais pas ce qui m’arrive ce soir
Je te regarde comme pour la première fois
Alain Delon :
Encore des mots, toujours des mots, les mêmes mots
Je ne sais plus comment te dire
Rien que des mots
Mais tu es cette belle histoire d’amour
Que je ne cesserai jamais de lire
Des mots faciles, des mots fragiles
C’était trop beau
Tu es d’hier et de demain
Bien trop beau
De toujours ma seule vérité
Mais c’est fini, le temps des rêves
Les souvenirs se fanent aussi
Quand on les oublie
Tu es comme le vent qui fait chanter les violons
Et emporte au loin le parfum des roses
Dalida :
Caramels, bonbons et chocolat
Par moments, je ne te comprends pas
Merci, pas pour moi
Mais tu peux bien les offrir à une autre
Qui aime le vent et le parfum des roses
Moi, les mots tendres enrobés de douceur
Se posent sur ma bouche mais jamais sur mon cœur
Encore un mot, juste une parole
Paroles et paroles et paroles
Écoute-moi
Alain Delon :
Paroles, paroles, paroles
Dalida :
Je t’en prie
Alain Delon :
Paroles, paroles, paroles
Dalida :
Je te jure
Alain Delon :
Paroles, paroles, paroles
Dalida :
Encore des paroles que tu sèmes au vent
Alain Delon :
Voilà mon destin te parler
Te parler comme la première fois
Dalida :
Encore des mots, toujours des mots, les mêmes mots
Alain Delon :
Comme j’aimerais que tu me comprennes
Rien que des mots
Dalida :
Que tu me comprennes
Alain Delon :
Rien que des mots
Dalida :
Que tu m’écoutes au moins une fois
Des mots magiques, des mots tactiques
Qui sonnent faux
Tu es mon rêve défendu
Oui, tellement faux
Mon seul tourment, mon unique espérance
Rien ne t’arrête quand tu commences
Si tu savais comme j’ai envie
D’un peu de silence
Alain Delon :
Tu es pour moi la seule musique
Qui fait danser les étoiles sur les dunes
Dalida :
Caramels, bonbons et chocolat
Si tu n’existais pas, déjà je t’inventerais
Alain Delon :
Merci, pas pour moi
Mais tu peux bien les offrir à une autre
Qui aime les étoiles sur les dunes
Moi, les mots tendres enrobés de douceur
Se posent sur ma bouche mais jamais sur mon cœur
Encore un mot, juste une parole
Paroles et paroles et paroles
Écoute-moi
Alain Delon :
Paroles, paroles, paroles
Dalida :
Je t’en prie
Alain Delon :
Paroles, paroles, paroles
Dalida :
Je te jure
Alain Delon :
Paroles, paroles, paroles
Dalida :
Encore des paroles que tu sèmes au vent
Alain Delon :
Que tu es belle
Dalida :
Paroles, paroles, paroles
Alain Delon :
Que tu es belle
Dalida :
Paroles, paroles, paroles
Alain Delon :
Que tu es belle, belle, belle
Dalida :
Paroles, paroles, paroles
Et encore des paroles que tu sèmes au vent