Bienvenue en Haïti, où tous les dirigeants, sans exception, (CPT/PM…) se placent au-dessus de la Constitution et des lois établies.
Nairobi—Le secteur privé a été identifié comme un acteur majeur de la corruption et il est vivement encouragé à collaborer avec les secteurs public et la société civile pour éradiquer ce fléau au Kenya.
Lors de la Conférence sur l’intégrité des affaires organisée par le Global Compact Network Kenya (GCNK), les participants ont souligné l’importance de stratégies communes pour lutter contre la corruption et promouvoir un environnement commercial intègre.
Impact de la corruption au Kenya La corruption a été mise en avant comme un problème mondial touchant les entreprises de toutes tailles, avec des pertes financières substantielles. Judy Njino, Directrice exécutive de GCNK, a insisté sur l’urgence pour les entreprises de privilégier une conduite éthique, surtout à la lumière des récents scandales. Cristina Ritter, responsable anti-corruption à l’ONU, a indiqué que les pertes annuelles dans la chaîne d’approvisionnement atteignent environ 600 milliards KSh.
Lutte contre la corruption au Kenya John Lolkoloi, Directeur de l’éthique à la EACC, a appelé à une collaboration stratégique entre les secteurs public et privé pour élaborer des législations et des codes de conduite anti-corruption.
Les agences gouvernementales les plus corrompues La Commission d’éthique et de lutte contre la corruption (EACC) a révélé que, selon l’Enquête nationale sur l’éthique et la corruption de 2023, 60,6 % des Kényans estiment que le département de la police est le plus enclin à la corruption, et que les demandeurs de services rencontrent fréquemment des demandes de pots-de-vin.
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