un billet de la rédaction
Pour tenter de faire croire qu’ils ne sont pas derrière l’occupation du territoire national, selon un plan bien défini qu’ils exécutent à la lettre en divisant la République en petits » territoires perdus » et en mettant Port-au-Prince à feu et à sang, les gangs terroristes demandent à la population de se soulever contre la présence des Blancs, les patrons de leurs patrons, commente-on en privé.
Ces voyous, dont la plupart savent à peine lire et écrire, politiques d’apprentissage et d’alphabetisation et d’insertion inexistantes, ont déployé une autre stratégie, sur conseil de leurs maitres-esclaves apatrides appelant le peuple à dire non à l’occupation, alors que les vrais patriotes haïtiens voient dans leurs actes de violence aveugle, pendant les 30 longs mois du règne d’Ariel-André Michel-Edmonde Beauzile, le leitmotiv de la résolution 2699 de l’ONU.
Le retour d’une force non onusienne, quelque temps après le départ exigé de la MINUSTHA, à l’origine d’une recrudescence du mortel choléra en Haïti, est perçu aujourd’hui comme » yon pen beni » une aubaine pour les Haïtiens qui attendent désespérément le rétablissement de la sécurité dans le pays et la libre circulation des biens.
Les gangs, quant à eux, revoient leurs plans, et des images vidéo montrent un chef terroriste distribuant des billets de banque aux plus démunis, arrachés à des malheureux qui peinent à obtenir des prêts bancaires.
Dans tout ce brouhaha, une seule question s’impose. Les Haïtiens vont-ils une fois de plus se laisser piéger par les bandes armées terroristes qui travaillent à la destruction du pays au point de nous conduire à l’occupation du territoire national par des forces kenyanes et jamaïcaines qui n’ont goûté aux idéaux de l’indépendance que plus de cent ans après l’épopée de Vertieres, le 18 novembre 1803 ?
Gare à vous si vous vous laissez piéger par les gangs, souvenez-vous de la prise de contrôle de Varreux par le chef de gang terroriste Barbecue jours d’avant la convocation du Conseil de sécurité en octobre 2022 quand Ariel Henry et son gouvernement défaitiste ont demandé et obtenu le déploiement d’une force « robuste » en Haïti? Cette force « robuste » a maintenant l’approbation du Lavalassien Lesly Voltaire et du Montanien Fritz Jean. Ah. La politique à l’haïtienne what a dirty game of interests!