Les terroristes « révolutionnaires » détruisent tout sur leur passage, et pourtant certains prétendent les amnistier après tous ces actes de destruction irrémédiable !
Port-au-Prince, dimanche 21 avril 2024 ((rezonodwes.com))–Après la fermeture forcée de l’Hôpital Général d’Haïti, une nouvelle vague de terreur secoue le système de santé haïtien. Dans la nuit de samedi à dimanche, des bandits, en plein couvre-feu, ont lancé un assaut contre les locaux de la Faculté de Médecine et de Pharmacie de l’Université d’État d’Haïti.
Cet événement fait suite à une série d’attaques contre des institutions nationales, dont la Bibliothèque Nationale et, plus récemment, les Presses Nationales.
La Faculté de Médecine est maintenant la dernière victime des aggressions répétées de bandes organisées criminelles G9 et alliés rebaptisés « Viv Ansanm », défiant même le couvre-feu institué par le gouvernement de facto Tèt Kale 3 bis.
Les terroristes, opérant en pleine nuit malgré les restrictions en vigueur, auraient emporté des équipements essentiels aux études médicales. Ces actes de vandalisme s’inscrivent dans un contexte plus large où l’impunité règne, comme l’a souligné le Dr Josué Renaud, qui a qualifié Haïti de « territoire perdu programmé sous le régime macabre PHTK-Tèt Kale 1, 2 & 3″.

