“If what we saw yesterday in Port-au-Prince is anything to go by, it speaks to the urgency of this mission.”
Le ministre de l’Environnement de facto, signataire de l’accord de « réciprocité », figure sur une liste de personnalités accusées par Luis Abinader de soutenir les gangs criminel en Haïti.
Vendredi 1er mars 2024 ((rezonodwes.com))– « Il y a un niveau de complicité avec le haut commandement de la police qui rend les gangs puissants et capables de commettre et d’agir de la sorte « , déclare Pierre Espérance, leader du RNDDH, imputant au DG de la PNH, Frantz Elbe, la responsabilité des violences suivies d’assassinat de 4 policiers, qui ont eu lieu dans la capitale, notamment à l’aéroport.
Il faut être myope et sourd-muet pour ne pas saisir le mouvement soudain et spontané des gangs à Port-au-Prince jeudi, laisse-t-il entendre.
De son coté, le président du Kenya a si bien capté le message qu’il l’a mentionné à Ariel Henry, venu demander l’occupation de son pays, 20 ans après le renversement d’un gouvernement constitutionnel en Haïti.
« Si l’on en croit ce que nous avons vu hier à Port-au-Prince, cela montre l’urgence de cette mission« , a déclaré le Dr Ruto en signant un accord avec le Dr Ariel Henry, qui n’a pas de mandat légitime et constitutionnel.
M. Ruto a ajouté que, outre la signature de l’accord de « réciprocité », lui et M. Henry, malgré l’illégitimité de ce dernier en tant que Chef du gouvernement haïtien, avaient « discuté des prochaines étapes pour permettre l’accélération de ce déploiement« .
Par ailleurs, « ce bogus accord de réciprocité est une manœuvre dilatoire qui n’est pas sans conséquences« , selon le Dr Josue Renaud, des droits humains NEHRO, qui annonce qu’un rapport l’organisation, a été déposé à l’Office des Nations Unies à Genève contre M. Henry « accusé de crimes contre l’humanité« .

