Salaire minimum, chômage et pensions : Lors de la commémoration de la Journée des travailleurs, le président Gabriel Boric et les parlementaires des commissions du travail du Congrès se sont accordés sur la nécessité d’aborder ces questions avec rapidité.
Lundi 1er mai 2023 ((rezonodwes.com))–Ce lundi 1er mai, lors de la commémoration de la Journée des travailleurs, le président chilien, Gabriel Boric, et les parlementaires des commissions du travail du Congrès national, ont convenu de souligner les principales dettes qui existent en matière de travail, dans le but d’améliorer les pensions, le chômage et le salaire minimum.
Le président a souligné que sa première année à la tête de la nation « a été intense en matière de travail et nous sommes heureux parce que c’est l’un des domaines où nous pouvons montrer des progrès significatifs ».
« L’augmentation du salaire minimum en 2022 avec l’accord de toutes les parties, l’approbation de la réduction de la journée de travail à 40 heures après six ans et demi et également avec l’accord de toutes les parties, la ratification de la Convention 190 de l’OIT, et maintenant le débat sur le salaire minimum, qui atteindra 500 000 pesos en juillet de l’année prochaine », a-t-il déclaré.
Sur ce dernier point, M. Boric a souligné qu’ils doivent avoir « une préoccupation sincère pour la situation des PME, où nous travaillons ensemble pour trouver des mécanismes qui ne laissent personne de côté, car nous sommes en mesure d’améliorer la qualité de vie de nos citoyens ».
« Nous avons également promulgué la loi courte de la PGU qui bénéficiera à 70 000 personnes de plus, un travail qui provenait également du gouvernement précédent, et nous sommes en train de traiter l’augmentation de la pension universelle garantie à 250 000 pesos.
En outre, nous avons déjà versé la prime de mars, qui a doublé le paiement à 120 000 pesos pour chaque travailleur », a-t-il déclaré.
Dans ce contexte, le chef de l’État a souligné que « chacune de ces avancées a impliqué beaucoup de dialogue. Il s’est agi d’abaisser les barrières avec lesquelles nous étions peut-être venus auparavant, de détruire les préjugés. Il a fallu se rendre compte que ceux qui pensent différemment de nous peuvent avoir une idée qui mérite d’être acceptée ».